AX

Réforme de La Jaune et la Rouge


Résultats de l’enquête par sondage


Document 2


SUGGESTIONS RELATIVES A LA REVUE TRIMESTRIELLE


Sommaire : objectif / contenu / lectorat / ouverture à l’international / Internet / format / organisation / questions / doutes / statu quo / divers


Attention : de nombreuses réponses contenaient des suggestions relatives à plusieurs domaines. Elles sont donc citées plusieurs fois ci-dessous.



  1. Suggestions relatives à l’objectif




Je crains qu'elle ne soit, à l'image de la revue actuelle que l'endroit où certains se font plaisir ou de la publicité, et que ce ne soit finalement qu'un joli distributeur de l'image la plus stéréotypée, qu'on classe sans y chercher quoi que ce soit. Comment aboutir aux objectifs de ton que vous avez fixés et qui sont très sympathiques ? Comment faire savoir à ceux qui auraient quelque chose à dire que leur contribution serait la bienvenue ? (je me suis toujours demandé comment étaient "choisis" les auteurs d'articles de fond...(ayant d'ailleurs moi-même découvert un article sur mon "entreprise" (JO D'Albertville) au moment de sa parution !)) Comment faire que le tout ait une certaine cohérence, constitue des dossiers ? Il me semble finalement que la communauté polytechnicienne n'a pas à avoir de position sur la marche du monde (sauf peut-être sur l'avenir de l'école...). Elle n'est que la somme des positions les plus variées de tous ses membres. Si on affiche cette diversité, cela risque d'être perçu comme une cacophonie par le monde extérieur, lequel n'a pas vraiment de raison de s'intéresser à un débat entre polytechniciens.


changer l'image des X passe apr... changer l'Ecole, changer les eleves. Je crois que le plus grand decalage n'est pas entre ce que sont vraiment les X dans leur ensemble et la maniere dont la population les voient, masi entre ce que les X aimeraient etre et ce qu'ils sont. Enfin le plus grand deficit d'image de l'Ecole est a l'etranger et non en France ; et ce n'est pas un magazine qui changera cela !! Pour moi le role de ce periodique doit etre essentiellement interne, meme si l'idee de separer le cote bulletin et le cote revue est bonne.


Pour moi, l'intérêt majeure de la jaune et la rouge est d'avoir une idée de ce que font les autres X dans leurs secteurs. C'est l'opportunite de profiter d'un vaste réseau pour se tenir au courant des enjeux majeurs des différents secteurs de la vie publique et privée. C'est aussi la possibilité d'ouvrir son propre champ professionnel à d'autres secteurs d'activités méconnus (la collaboration interdisciplinaire est un des credo de l'X). Ceci correspond principalement au volet interne de la revue. Un volet "externe" destiné à valoriser la formation de l'X (surtout à l'étranger!) me semble une bonne idée et devrait être physiquement séparé du premier.


Ce n'est pas parce que je ne lis pas certaines rubriques qu'il faut les supprimer; ex: je ne m'intéresse pas aux vins, mais d'autres y portent grand intéret Le but principal de la modification envisagée est de porter VERS L'EXTERIEUR une image cohérente de l'X qui vient d'être profondément modifiée et que même les très anciens (comme moi promo 37) ne connaissent plus ; le type même d'organisation n'est en rien comparable aux Ecoles et université du monde anglo saxon; c'est cela la cible principale à toucher Nous avons vécu pendant des siècles dans le monde hexagonal; la France n'est plus le centre du Monde mais l'X reste doit rester, peut rester l'une des meilleure ecole de formation de ce monde nouveau que nous découvrons et qui doit nous decouvrir BONNE CHANCE !!! G DREYFUS X 37

Bien qu'ayant répondu positivement au questionnaire, je suis cependant assez réservé sur l'opportunité de la création d'une nouvelle revue. La formule actuelle, avec un sujet cible par numéro, me donnait satisfaction, bien que les sujets choisis soient d'un intérêt inégal. Je m'interroge donc sur le bien fondé du changement envisagé et sur les chances de réussite du projet (lectorat cible restreint et déjà surinformé, concurrence avec les revues existantes déjà nombreuses) En outre, il ne faut en aucun cas qu'un échec ait pour conséquence de grever les finances de l'AX

ayant coordonné la communication du Bicentenaire en 1994, je rejoins en partie l'objectif du groupe de travail, notamment sur la séparation des informations polytechniciennes et d'une revue de large diffusion. Je ne pense pas que cette revue doive se présenter comme une revue de prestige, mais comme une revue de bonne qualité et de large diffusion (genre "Nature"); Son contenu devrait comprendre des portraits de manager, des réflexions de polytechniciens sur les sujets d'actualité et surtout un aspect de vulgarisation, valant formation continue de référence pour toute personne, quelle que soit sa formation d'origine, désireuse de rester pratiquement au courant, dans les grandes lignes, des avancées de la science et de la technique. Un exemple, qui d'entre vous sait dans quelles conditions et quels sont les repères de réaction individuelle face à un incident atomique?

J'ai aperçu l'épithète ICONOCLASTE, dans les ambitions de cette revue. Surtout pas, s'il vous plaît, on vient de voir depuis 35 ans à quoi cela conduit, de claster les icônes.

Il ne manque pas de revues haut de gamme et la communauté polytechnicienne me paraît trop diverse pour qu'une revue de réflexion puisse parler en son nom.

L'objectif n'est pas clair. Beaucoup ont rêvé de faire une revue de haute tenue, originale et rigoureuse. Mais qui l'a réussi ? Marianne ? Iconoclaste mais pas rigoureuse; Nouvel Obs ? Original à ses débuts mais vite copié, a perdu beaucoup de rigueur et de tenue; La Recherche ? Assez rigoureux, voire iconoclaste et courageux, mais n'arrive pas à la cheville de Scientific American; Commentaire serait dans le domaine des idées la revue qui s'approcherait le plus de ce que vous dites, mais pourquoi la concurrencer ? Elle rame assez comme ça. Il me paraît fondamental de revenir au rapport sur la politique de communication fait il y a qq années par l'AX. Très bon et qui disait bien qu'une politique de com demandait une action commune de 'Ecole, de l'AX, de la Revue, voire de la Fondation et de Sabix et que la Revue n'était qu'un élément de cette politique. Au lieu des réformes souhaitables en ce sens vous proposez une révolution très risquée : la séparation bulletin/revue. En effet, actuellement, le rôle bulletin est bien rempli. Le rôle revue n'est pas parfait, loin de là, mais il est perfectible. La JETR a sorti ces dernières années des numéros thématiques très réussis (effet de serre par exemple) Séparer les deux c'est courir le risque de rendre le bulletin insipide et de se casser la figure financièrement avec une revue très difficile à monter. Pour moi je pense qu'il faut 1/que l'AX affiche une politique de com presque sous forme de charte, soumise au vote de la communauté polyt. 2/que la charte de JETR soit éventuellement modifiée en ce sens Je réponds à la suite mais sans être d'accord avec la séparation proposée. Je suis partisan de réformes non d'une révolution irréaliste aux objectifs peu clairs.

Le mail d'accompagnement dit : "Nous envisageons la création d’une revue trimestrielle de haute tenue, originale, iconoclaste et rigoureuse". Pourquoi "iconoclaste"? Ce mot me fait penser à "provocation", voire à "révisionnisme". Attention!

Eviter un caractère trop luxueux. C'est une revue de travail , pas de "salon" Trouver une présentation propice à la lecture rapide, et au survol

on ne peut que souscrire à un projet aussi ambitieux; cela dit, il faudrait absolument éviter qu'il aboutisse à l'exaltation de notre image de caste, d'élitisme et d'arrogance, qu'il faut dépasser.La revue trimestrielle doit être OUVERTE et "GLOBAL"( avec articles en anglais si les auteurs sont anglais par exemple) pour espérer toucher le public visé:la description faites ci-dessous me paraît encore trop introvertie.

Les réponses que je viens de faire sont basées sur l'hypothèse que, en donnant un caractère nouveau à la Revue, en particulier en termes de cible visée et de lectorat, on peut améliorer le contenu actuel. La difficulté à résoudre est le côté "touche à tout" qui rend difficile, je crois, la fidélisation du dit lectorat; pour résoudre ce qui s'apparente à la quadrature d'un cercle, faut-il limiter les thèmes autour de la prise du décision et du management (mais cela donnera une image biaisée de notre communauté) ? En tout cas, séparer clairement un bulletin d'information (une "Newsletter") et la revue me semble aller dans le bon sens. Ca vaut au moins le coup de tenter ! Une question est : combien d'X s'abonneront à la Revue si elle est dissociée du bulletin d'information (à moins que la formule 'package' ne continue ?)

J'aimerai beaucoup voir disparaître le vernis type "GPX" (16ème, bridge, gentillet, conservateur) qui à mon sens colle encore à la revue.

La difficulté est que ce lectorat manque de temps libre, qu'il est inondé de lecture et qu'il ne prendra pas plus le temps d'en prendre connaissance que de bien d'autres publications, quelle que soit la qualité rédactionnelle de la revue

PARVENIR À DESSINER UNE APPROCHE GLOBALE DU FONCTIONNEMENT DE LA SOCIÉTÉ . LA REVUE NE DOIT PAS ÊTRE DU TYPE "LES ÉLITES PARLENT AUX ÉLITES" , MAIS DU TYPE "LES ÉLITES JUSTIFIENT LEUR STATUT PAR L' ÉVIDENCE DE LEUR RÉFLEXION ANALYTIQUE DE LA COMPLEXITÉ DES PROBLÈMES ET PAR UNE PÉDAGOGIE DE L' EXPLICATION QUI MONTRE LA DIRECTION COMME LE SENS DE LEURS EFFORTS AU SERVICE DE L' INTÉRÊT GÉNÉRAL".

Il me semble que l'objectif affiché devrait être moins prétentieux. Les améliorations recherchées pourraient être, si nécessaire, obtenues en faisant évoluer la formule actuelle de la revue.

La Jaune et la Rouge, dans l'état actuel, est un désastre pour notre image; elle nous présente comme des fonctionnaires poussiéreux, ou au mieux de gentils professeur Nimbus, mais pas comme des patrons responsables, efficaces, et recherchés... ce qui est pourtant le cas de beaucoup d'entre nous. Etant ancien ISA (donc recevant 'Hommes et Commerce' d'HEC) et ancien de la Stanford Business School (donc recevant la revue de Stanford), je suis tous les mois effondré de la comparaison au détriment de mon école favorite (l'X, bien sûr), et cette comparaison montre, mieux que toute autre, à quelle point l'X s'est progressivement sorti du marché haut de gamme, pour être maintenant rejointe, voir dépassée, par des écoles comme Centrale ou HEC, alors que de mon temps, aucun de ceux d'entre nous qui étaient brillants n'auraient ne serais-ce qu'envisagé de présenter ces concours de 2ème niveau (à l'époque) Il y a le feu: notre produit disparait du marché; encore quelques efforts, et nous serons un dinosaure... Ouvrons cette revue sur le monde d'aujourd'hui, qui ne se limite pas à la France, capitalisons sur tous nos anciens qui ont réussi, et Dieu sait qu'il y en a, que ce soit dans l'industrie ou dans les Sciences, arrêtons de parler des Fonctionnaires, espèce en voie de disparition, fort heureusement, et où ce n'est plus le sens de l'Etat (il est beaucoup plus fort chez les patrons et les chercheurs) mais de médiocres intérêts catégoriels (essentiellement la retraite et les vacances) qui est la motivation. Notre vocation n'est pas d'être une école de fonctionnaires (l'ENA est là pour celà, et est bien meilleure que l'X dans ce domaine), mais une école de scientifiques ouverts sur le monde, moteur de notre pays, at apte à adresser tous les défis de la modernité. De l'audace et du courage, que diable!

L'idée de séparer la Jaune et la rouge en un "bulletin des anciens" réservé aux anciens élèves, et une revue technique de haut niveau donnant uneimage plus ouverte et en pointe est séduisante dans l'absolu. Elle ne peut se concrétiser que s'il y a un marché pour cette revue de prestige : à ma connaissance peu de ceux qui s'y sont essayés ont réussi leur pari, le taux des abonnements "de courtoisie" à servir aux responsables économiques, sociaux et politiques que l'on voudrait toucher étant disproportionné par rapport au lectorat "payant".

Séparer les nouvelles de la communauté de la revue est une bonne chose. Quand on vise le haut de gamme, très bien sur le principe, avec toutefois : - attention au coût, les X ne sont pas tous à des revenus si ékevés que ça - donner une image de sérieux et de rigueur, c'est bien si ça ne devient pas élitiste : l'insertion dans la société est un point important à manifester. Or l'Ecole (même si elle s'en défend) a tendance à induire chez les élèves l'idée que la société leur doit quelque chose à la sortie : carrière, revenu,... Cela peut être très dangereux, et ne correspond pas à la réalité. De ce point de vue, l'interview récente de P. Suard à la TV est ambigüe : tous les X ne sont pas destinés à devenir de grands managers. L'excellence technique peut se manifester autrement. En résumé, oui sans réserve à l'excellence, non si elle se traduit par une forme de supériorité d'autant plus insupportable qu'elle est non-dite.

1 - Je n'ai pas très bien saisi ce que sera précisément le contenu de cette revue. D'où mon abstention à la question posée sur ce sujet 2 - J'estime qu'il y a deux qualités à mettre en avant chez le polytechnicien: - d'une part une certaine forme de désintéressement et d'engagement citoyen qui réside dans notre devise "Pour la Patrie, ..." même si celle-ci mérite un rafraîchissement - d'autre part une capacité à analyser et synthétiser les questions en les traitant sur le fond et donc a contrario en minimisant les a priori, les effets de mode, le "politiquement correct",... Après avoir sursauté en lisant le terme "iconoclaste" , j'avoue qu'il correspond finalement assez bien à l'esprit de notre Ecole, la connotation "destructrice" en moins.

- Si une revue aussi ambitieuse dans son contenu peut naître et durer, ce sera très bien. - Mais je ne suis pas certain que les forces rédactionnelles suffisantes soient disponibles au sein de la communauté des X, même aidée par des journalistes professionnels. - De toute façon, me paraît bonne l'idée de donner une diffusion plus large aux articles de fond qu'à l'information purement polytechnicienne.

garder une certaine simplicité de présentation et un prix modique ; éviter la dérive de prestige qui fait qu'on ne trouve la revue que dans les salons de PDG ; il faut qu'elle soit lue ! "haut de gamme" quant au contenu : oui ; mais pas pour la présentation ou le prix.

Une revue est-elle le meilleur moyen de repositionner l'image de l'école auprès des populations non polytechniciennes ? Je manque un peu d'objectifs plus précis de repostionnement pour avoir un point de vue sur le media à utiliser.

Il n'y a aucun besoin de donner une image externe de l'X a travers une revue. Il faut etre ambitieux dans le contenu, ce qui est en partie réalisé mais avoir comme unique préoccupation de public la communauté polytechnicienne. Si la revue en intéresse d'autres tant mieux, mais ce n'est pas l'objectif. Bref continuer l'esprit actuel en améliorant encore la qualité des dossiers thématiques.

Je crains que l'équilibre financier de cette publication ne soit atteint que par la publicité. C'est donc l'engagement des annonceurs traditionnels ou susceptibles d'être intéressés par le lectorat visé qui doit primer.

L'objectif est louable; la mise en oeuvre, qui finalement vise à faire de la "publicité" au sein d'un groupe déjà élitiste et ayant tendance à la suffisance, ne saurait contribuer ni à mieux faire connaître du "grand public" les qualités de l'école, ni à contribuer à son rayonnement. Créer une revue "polytechnicienne" destinée aux "principaux responsables de l8217;Administration et des services publics, les milieux politiques (gouvernement, élus, partis, syndicats) " , alors que l'école vise au contraire (paraît-il) à mieux s'insérer dans la vie économique à venir est particulièrement pathétique.

1. Sur la jaune et la rouge, la revue est de bonne qualité reprographique mais d'un interet très moyen quant aux sujets. Je lis assez volontiers des journaux (Le Monde) et des revues et dans ces journaux je recherche plutôt les articles techniques alors que je n'éprouve aucun interet pour les articles de la jaune et la rouge (je ne m'abonne que pour l'annuaire) 2. Sur le projet je ne suis pas convaincu de l'interet d'une revue (même de prestige) pour le rayonnement de l'X. La revue doit plutôt etre un outil interne pour cimenter le groupe X, creer des liens ou des centres d'interets communs. Le rayonnement de l'X passe plutôt par des actions de communication, des manifestations, du lobbying... que par une revue. Est ce que nous X, et en particulier les plus brillants d'entre nous (qui seraient donc la cible) irions lire une revue de prestige de Centrale ou d'HEC ???

Je crains qu'une revue de prestige ne soit incompatible avec une diffusion large, ou alors ce type de revue risque fort de devenir une "plaquette de com" pour grandes entreprises sur papier glacé. - j'ai une autre suggestion (mais peut-être complémentaire): faire une revue de think tank à l'américaine.

la liberté de ton et la qualité des acticles actuels de la jaune et la rouge ( souvent contrastant avec les positions "officielles de leurs auteurs ) seraient probablement affectées si la revue était distribuée plus largement. je ne suis pas contre l'idée d'une nouvelle revue pour une cible plus large, mais pas au détriment de l'actuelle revue. Je ne serais que très moyennement interessé par un bulletin ne traitant que des potins de l'X et des X.

On parle souvent de communauté, de réseau voire de mafia polytechnicienne. Force est de constater que cette communauté n'existe pas réellement, seules existent concrètement celles des corpsards (Mines, Ponts, Inspection des Finances etc). Quel contenu souhaite-t-on alors donner à cette notion de communauté X en ce début de XXI si complexe ? Lobby ? Association d'anciens "combattants" ? réseau d'entraide en tt genre ? porte-parole d'idées ? La réponse à cette question pourrait bien avoir un impact sur le contenu de cette revue "haut de gamme". Attention également à ne pas oublier que les PME existent, et contribuent autant que les "grands comptes" à la vie du pays. L'image donnée de la revue ne doit plus se réclamer implicitement d'un colbertisme dépassé mais hélas tellement ancré qu'il empoisonne la vie de bcp de PME.

Je ne suis pas d'accord avec le fait que les anciens X forment une communauté spécifique ayant vocation à s'exprimer sur de tels sujets, et encore moins que notre (en tant que communauté) avis soit attendu. "La revue se positionne d'abord comme la contribution des X aux débats sur les grandes questions du moment" ne me semble pas pertinent, et trop présomptueux.

faire l'équivalent scientifique de la revue Commentaires objectif: "l'honnête homme" d'aujourd'hui

Excellente idée. Je ne pense pas qu'il faille se concentrer sur le public cible. En l'occurence le meilleur marketing consiste probablement à se concentrer sur la qualité et l'intérêt des textes et laisser la revue trouver son public qui pourrait être plus vaste qu'on ne peut le penser a priori.

pourquoi alors ne pas être plus ambitieux et ne pas faire une revue mensuelle regroupant essentiellement des articles écrits par des polytechniciens, du style des articles de la rubrique idées (ou opinions ?) des échos en fin de journal, ou du monde en milieu de journal ?

Je ne crois pas à LA COMMUNAUTE de pensée "X".

Les articles actuels sont trop "professoraux" : - Ils manquent de vigueur sur le fond : il faut absolument sortir de la "pensée conforme" , montrer que nous sommes capables de créativité et d'intuition en même temps que de rigueur. - ils manquent de vie sur la forme : trop longs, de style souvent technocrate. Il faut diversifier les formes de communication, il n'y a pas que "l'exposé systématique en 4 pages". Idées ponctuelles : - ouvrir une rubrique, en anglais, pour passer des articles rédigés par des associations "homologues de l'AX à l'étranger" - objectif : exposés de points de vue à l'évidence originaux pour nous français, et / ou "regards sur la France". - Ouvrir une rubrique "créateurs d'entreprise" : témoignage d'expériences réussies, en évitant de se limiter à la high-tech. Nous sommes trop peu nombreux à nous lancer... - Dans le même ordre d'idées, je verrais bien une rubrique "parcours singulier" : Tout cursus atypique peut être le signe de la créativité et du dynamisme des X. Il faut revaloriser ces parcours dans notre inconscient (nous sommes trop imprégnés de l'idée que les belles carrières se font dans la haute-administration et à la direction des grandes entreprises... or cela ne concerne pas la moitié d'entre nous). J'espère que ces commentaires vous seront utiles. Rassurez-vous, La Jaune et la Rouge est une revue de bonne qualité, la critique que j'exprime ici ne doit pas le faire oublier. Si mes mots sont un peu crus, c'est pour être certain que les idées soient exprimées clairement. Amicalement, et bon courage pour ce projet de nouvelle revue ! Patrick LAURAS X78

Je ne comprends pas l'objectif "haut de gamme". Je prendrais exactement le contrepied en insistant sur la vulgarisation du savoir et sur l'ouverture de la "société polytechnicienne" aux réalités du monde.

En ce qui me concerne, la comparaison de la Jaune et la Rouge avec les autres revues d'anciens montre que les sujets abordés sont en général des sujets de fond (parfois techniques, parfois sociaux) traités dans le cadre de dossiers complets (et non pas d'articles épars) et d'une tenue supérieure aux autres revues. La question 5 de ce sondage me semble un peu orientée. En effet, - la JETR ne donne pour moi pas d'image mais ce n'est pas négatif. Simplement, ce n'est pas son rôle. De même, son rôle est plus une fonction d'initier la réflexion du lecteur et participer à son information (et non ssa formation) avec des articles objectifs et si possible rigoureux. En ce sens, une nouvelle présentationn peut être intéressante mais la revue ne doit pas se transformer en un simple outil de promotion ou de propagande de l'X. Ce n'est pas pour moi sa vocation. Il ne s'agit pas pour moi de vendre du papier mais d'informer et de faire réfléchir notre communauté. On a le droit de rester sérieux même si ce n'est pas vendeur et même si cela n'empêche pas l'originalité dans la pensée.

D'autres revues de ce type existent. Etre la "revue haut de gamme" des X nous interdirait d'y faire ecrire des non x. A l'inverse y faire intervenir des non x, ce qui esdt indispensable pour n('importe quel type de sujet, ne nous distinguerait plus des revues existant....

Je ne crois pas du tout à ce genre de "machins" prestigieux mais généralistes. Nous risquons de nous faire plaisir, à grand frais, sans beaucoup faire bouger notre image de marque. Mieux vaudrait : - une revue scientifique de haut niveau - une revue de management de haut niveau - pourquoi pas une revue du collège de l'X ou une revue scientifique publiée par l'Ecole

Les objectifs présentés dans l'annexe sont à mon avis louables. Ce qui me gêne souvent dans la Jaune et la Rouge acrtuellement, c'est : son style "vieux", surtout dans la forme et en particuleir dans la présentation des graphiques (voir dernier numéro sur le management par exemple) l'aspect un peu trop "polytechnicien" du style. Là je ne sais pas très bien comment faire, mais j'ai souvent l'impression que le style n'est pas toujours très convaincant car il est à la fois un peu pérelmptoire et pas toujours très convaincant. On n'a pas une impression très forte de légitimité et d'autorité. Il faudrait à mon sens faire relire et reformuler les articles par des professionnels de la rédaction. je ne sais pas si cela est fait actuellement.

1°) bravo de constater enfin que la vocation de la Jaune et la Rouge n'est pas de succéder à Dideot et d'Alembert, en donnat chaque mois la meilleure "somme" scientifique sur un sujet unique et de portée limitée. Il y a des revues scientifiques, la JETR n'en fait probalement paspartie, mais hélàs elle ne fait pas partie non plus des magazines utiles ou attrayants 2°) quittons aussi ce côté "bulletin des oeuvres de la paroisse" 3°) faisons une revue qui fasse vivre la commneauté en parlant des gens, des faits, éventuellement des idées, en reflétant la diversité et la "connection" des X avec le temps présent

Mes reponses sont favorables faute d'avoir vraiment un autre choix. Il est important de savoit si de telles initiatives ont jamais ete couronnees de succes. Afin d'etre lu, il faut avoir un contenu coherent. Les sujets de reflexions demandent a etre mieux precises. Afin de refleter la communaute des X, il faut aussi que des X soient les orchestrateurs des articles presentes.

BRAVO POUR CETTE INITIATIVE INDISPENSABLE (état actuel désespérant et nuisant à notre image ...) CI-JOINT QUELQUES COMMENTAIRES. JE SUIS INTERESSE (et sans doute un peu compétent ...) A FAIRE PARTIE D'UN COMITE PROJET ou REDACTIONNEL SI VOUS LE JUGEZ PERTINENT ! La maquette actuelle est d'une nullité affligeante ... resemble à un journal paroissial ou à une feuille de chou corpo ... du boulot en perspective -> faire bosser les meilleurs et faire les bons choix en amont ! Mots clés : qualité, modernité, puralité/diversité, vitesse de lecture, liberté. Les objectifs de rigueur "scientifique" ou de "très grande qualité" me semblent excessifs voire "paralysants" ... donc typiquement "X" ... Le contenu rédactionnel doit être vivant, varié (articles plus nombreux ... et plus courts ?) et aborder les sujets clés (social, financier, management, politique, sciences et technologie, axes de la formation à l'école) sous des angles originaux et surtout très libres (voire polémiques ou sujets à débat). Les auteurs ne sont pas nécéssairement tous X (personnalités ou profils pointus). Autre dimension : l'interactivité (sondages, réactions, création d'un site portant le nom de la revue). Ne pas oublier que le lectorat est varié (anciens élèves et lecteurs externes) ; le corporatisme ou les sciences "dures" sont à proscrire. Il s'agit d'un choix fondamental : renvoyer une image "rassurante" des "X moyens" vers eux-mêmes (sans être péjoratif ... on se comprend - c'est me semble-t-il le cas aujourd'hui) ou aux X et lecteurs + ou - leaders d'opinion ? Le lectorat "haut de gamme" est exigeant et très sollicité (je suis directeur général d'une société et mes amis X sont chefs d'entreprise ou dirigeants, banquiers, consultants ...) : cette revue doit apporter quelque chose de plus que les magazines "grand public" existants et aussi par rapport à des contenus rédactionnels d'"école" (type HBS ... je n'ai pas conscience de quelque chose de très intéressant en France), à diffusion restreinte (type McKinsey quarterly que je reçois en tant qu'ancien, publications de cercles politiques ou business). Cette publication devrait également intégrer des extraits/infos sur d'autres supports comparables existant dans le monde (papier ou internet). Enfin, ce pourrait être l'occasion d'unifier sites et points de contact - je m'y perds entre école, AX etc. Bon courage ! Et tous mes encouragements ! Bernard Flobert (X82) Directeur Général de The Phone House

1) Je ne comprends pas pourquoi cette revue intéresserait potentiellement des personnes non anciens élèves, car les revues "tous publics" abondent, même sans doute "prestigieuses" 2)Je n'aime pas du tout le positionnement dit "prestigieux" qui à mon avis d'une part ne se décrète pas ou ne se mesure pas à l'épaisseur du papier ou au prestige des annonceurs rendu nécessaire par le prix d'édition, d'autre part ne réflète pas à mon avis une approche adaptée des X modernes, au moins des secteurs privés(fort contenu international, compétitivité). Est-il vraiment impossible de marier ces derniers points avec les valeurs de l'X qu'on souhaite garder: rigueur, égalité (?), ...

Je suis fort decu que l'AX soit completement depourvue d'utilite pour moi, et que La Jaune et La Rouge en soit le triste reflet. J'esperais qu'on eut prit example des associations d'anciens eleves utiles et efficaces comme Harvard, Stanford, etc... le font si bien. J'ai bien peur que la publication d'une revue auto-proclamee intellectuellement ambitieuse et prestigieuse ne risque que de renforcer ce trait fort deplaisant d'arrogance et d'elitisme des X, dont la Jaune et La Rouge est un piteux example. Etonnant qu'une institution deja trop franco-francaise en soit encore a essayer d'exposer plus avant ses travers hexagonaux. Le prestige et le "haut de gamme" on n'en a rien a faire (on en a deja trop en France et tout le monde s'en fout dans le reste du monde), ce qu'il nous faut c'est des resultats, une association efficace qui facilite la communication du groupe des anciens X et nous aide professionellement. Je suggere que l'AX fasse une enquete aupres des camarades etablis ou ayant sejourne a l'etranger, particulierement aux US, dont le groupe est tres actif, et j'espere qu'elle y trouvera peut etre quelques bonnes idees pour ameliorer le mode de fonctionnement de son association d'anciens eleves. Je vous felicite par contre d'avoir le courage d'essayer de faire changer les choses et de consulter l'opinion des anciens eleves. Je vous encourage a perseverer dans cette voie et vous souhaite beaucoup de reponses pour vous aider a perfectionner votre projet.

Tirer vers le haut, oui, mais ne pas aller trop loin dans le haut de gamme et l'élitisme. L'image de la communauté est déjà très éloginée (en altitude) de la réalité de la société, de l'entreprise, etc.

Sur le projet : excellente idée, la JETR a besoin d'un coup de jeune, elle fait vaguement "années 70". Sur le lectorat (et l'objectif): - fait-on vraiment l'impasse sur les milieux scientifiques ? - n'y aurait-il pas également un intérêt à élargir le recrutement, donc à cibler les milieux de l'enseignement ? - et l'international (universités...) ?

Les gens que vous ciblez ont autre chose à faire que lire une revue, même très haut de gamme. L'image des polytechniciens est très bonne dans tous les milieux que j'ai pu fréquenter depuis 14 ans que je suis sorti de l'école. Il me semble nécessaire de poursuivre les évolutions de l'X pour que l'école reste en phase avec les réalités de la société actuelle, en évitant en particulier une auto-reproduction des "élites", mais la carence d'image est plus internationale que française même si il est toujours nécessaire de veiller à son image de marque. C'est plus à travers une réelle implication de la communauté des X sur des enjeux important qu'il me semblerait devoir être recherché une amélioration d'image.

Les mots "prestigieuse, haut de gamme, très ambitieuse intellectuellement" me font peur. J'aimerais une revue exigeante mais ouverte, pas l'écho d'une chapelle, de cette communauté fermée et corporatiste dont les gens ont l'image.

Les numéros thématiques déjà existants, lorsqu'ils traitent de sujets de société, technico-économiques, sociaux, environnementaux, sectoriels, etc... écrits par des spécialistes du secteur, issus très souvent de la communauté des anciens, mais pas seulement, me semblent être d'une très bonne tenue, et dignes d'être diffusés très largement. Exemples récents: climatologie, ville et environnement, démographie, médecine et santé. Il faudrait pour cela les débarasser des nouvelles purement "polytechniciennes" internes, et réduire le nombre de parutions à 4 à 6 par an (il semble que nous ayons du mal à alimenter plus que ce nombre-là de sujets intéressants). Mais en dehors de cela, j'en ai été très satisfait, et ai conservé des numéros entiers, qui sont pour moi des références sur des sujets rarement traités dans des titres de presse autres. Le côté "prestige" et luxe me semble très inapproprié: l'objet est de contribuer à la réflexion sur la société, à partir d'informations de qualité, d'ordre technique et scientifique (ce qu'on ne trouve pratiquement nulle part ailleurs, et manque au débat public). Le souci de créer / imposer une image artificielle, de communication, avec un objectif implicite de revendication de pouvoir / influence du "technicien terne" face au "brillant énarque" m'est également étranger. Ces numéros thématiques déjà écrits, avec sérieux et l'esprit de service à la communauté, apportant des propositions concrètes, souvent originales et toujours solidement argumentées, transmettent une image dans laquelle je me reconnais. Elle est forte, unique, contribue au débat dans des proportions importantes, surtout à un moment où les questions de société sont aussi des questions techniques et scientifiques (environnement, industrie, économie, démographie, médecine et biologie...). Élargir le cercle des questions traitées: pourquoi pas? Surtout si nous avons de la ressource interne ou externe mobilisable pour écrire des réflexions de qualité, qui enrichissent effectivement le débat public. Se faire plaisir, (se) démontrer qu'on est beaux, intelligents, et qu'on a autant le droit que les énarques de revendiquer le pouvoir, n'a aucun intérêt à mes yeux.

Enfin! Enfin un projet de refonte de la Jaune et la Rouge. Je suis X87, j'ai donc une activite professionnelle depuis plus de 10 ans et je lis donc la Jaune et la Rouge depuis plus de 10 ans ainsi que les revues concurrentes (Anciens eleves de Centrale, des Ponts, ...) et je dois dire que la Jaune et la Rouge est d'une nullite affligeante: je suis desole d'etre si dur. En quelques mots et sans m'etendre sur le sujet: La plupart des rubriques sont sans interet et donnent une image pire que vieillote de l'X: bridge (!), Allons au theatre, ... Cela ressemble a un journal interne de maison de retraite. Je suis sur qu'il existe des magazines specialises sur le bridge plus excitant que la Jaune et la Rouge. La revue est dans son ensemble tres nombriliste: elle ne parle que de l'X. Je suis personnellement tres interesse par le probleme de l'education des elites et les emails ou les debats qui ont eu lieu sur Internet ont ete tres interessant. Voir le nouveau site de presentation internationale de l'X ou le rapport sur l8217;activité internationale DES ECOLES D'INGENIEURS EN MATIERE DE FORMATION (Cas des Ecoles des Mines et des Ecoles des Télécommunications, Rapport par Robert Chabbal, Jacques Béranger, Philippe Follenfant). Rien de ce genre dans la Jaune et la Rouge. Les themes sont ininterressants et refletent l'orientation tres fonctionnaire de la revue: rien sur les themes actuels (mondialisation, creation d'entreprise, education des elites, corruption, developpement humain, ...) mais beaucoup sur des themes qui interressent peut-etre les fonctionnaires mais pas moi (et encore) Les articles eux-meme sont ininterressants: la plupart des articles et des rubriques sentent le marketing a plein nez ! Je ne vois que des articles par des gens qui se font de la publicite pour eux-meme ou pour leur entreprise: rien d'honnete. Sans exagerer, j'ai souvent trouve que dans la Jaune et la Rouge, les articles les plus honnetes etaient les publi-reportages ! J'arrete la le massacre! Je vais vous dire ce que j'aime: les debats et les initiatives lancees par Jean-Michel Yolin, le emails qui ont ete diffuses lors de la conception du nouveau site de presentation internationale de l'X, le rapport sur l8217;activité internationale DES ECOLES D'INGENIEURS EN MATIERE DE FORMATION (Cas des Ecoles des Mines et des Ecoles des Télécommunications, Rapport par Robert Chabbal, Jacques Béranger, Philippe Follenfant). les emails du groupe X-US le livre de Pascal Baudry que j'ai decouvert grace au groupe X-US le groupe X-Asie les temoignages d'X sur leur vie et leur carriere a l'etranger de facon generale, tous les debats de type forum: c'est pourquoi dans tous les journaux, je lis toujours le courrier des lecteurs En conclusion, OUI, il y a moyen de faire mieux que la Jaune et la Rouge actuelle! Mais attention, il y a de gros pieges a eviter: 1) Ambition = greed. Dans votre presentation des objectifs de la nouvelle revue, vous avez utilise plusieurs fois le mot "ambition", ce qui est tres dangereux. Oui, si l'ambition c'est de faire un magazine qui plaira aux lecteurs, qui abordera tous les sujets, qui donnera la parole a tous, qui suscitera la reflexion et debat, etc. Non, si l'ambition cela signifie etre lu par des gens importants (je vous cite: "les principaux dirigeants des grandes entreprises, les principaux responsables de l8217;Administration et des services publics, les milieux politiques (gouvernement, élus, partis, syndicats), les journalistes, les historiens."). Les gens importants ne vous liront que si le contenu est interessant et donc que si le contenu plait a des gens simples! 2) Prestigieux = artificiel. Quand je lis que vous voulez une "revue prestigieuse, haut de gamme, très ambitieuse intellectuellement", j'ai peur que cela ne soit que du marketing: N'oubliez pas que les plaquettes marketing sont sur papier glace et Le Monde est sur papier journal! Pour moi, c'est incimpatible avec d'autres mots que vous utilisez: "diversite" et "originalite" 3) Un nouveau nom pour la Jaune et la Rouge? Ca aussi, cela n'est que du marketing! OK, la Jaune et la Rouge, ce n'est pas terrible comme nom mais c'est le nom de la revue des anciens eleves de l'Ecole Polytechnique. changer le nom du magazine et l'imprimer sur papier glace sont des exemples de la meme catastrophe qui s'annonce: mettre la forme avant le fond c'est courrir a l'echec! Voila ce qu'il faut faire selon moi: - garder le nom de la Jaune et la Rouge - garder le courrier des lecteur et le carnet polytechnicien car cela doit rester la revue des anciens eleves de l'Ecole Polytechnique, les autres lecteurs apprecieront cette authenticite - faire un magazine abordant des problematiques variees: 25% "ultra-liberal" de type L'Expansion, La Tribune ou Les Echos 25% "gauchiste intello" comme Le Monde de l'education ou Le Monde diplomatique 25% Ouvert sur le monde comme Le Courrier international 25% Management a l'americaine comme la Havard Business Review Favorisant les temoignages personnels d'X "divers" et "originaux": dirigeants de grandes entreprises traditionnelles, entrepreuneurs, X d'Afrique (il y a a beaucoup) ou X d'Asie (il y en a peu), X partis aux US (ils ont beaucoup a dire), X hommes politiques ou syndicalistes, ... Les articles doivent etre soit "objectifs" et donc ecrit par des journalistes professionnels, soit "engages" et donc ecrit par des gens qui racontent leurs experiences. De grace, oubliez le pseudo article objectif sur le management ecrit par un consultant en management, il vaut mieux une honnete interview ou meme un publi-reportage. Et aussi, de grace ! laissez tomber la focalisation sur une revue "prestigieuse, haut de gamme, très ambitieuse intellectuellement". Best regards. Laurent ABED Sydney, Australie laurent.abed@polytechnique.org

Je trouve ce projet passionnant. J'ai vécu deux lancements de journaux qui avaient des positionnements très différents. je suis disponible pour vous aider si vous organisez des réunions de travail. Il faut, je pense définir une ligne éditoriale, avec un comité de rédaction. Des tribunes libres bien entendu, mais aussi quelques plumes régulières. Cordialement, Jean Ferré

Je soutiens tout à fait l'orientation prise, en particulier montrer la diversité des métiers et filières suivies par les X en France et à l'étranger. La revue devrait être un fin mélange entre articles de fond/thématiques, réflexions sur l'actualité (et comment les X y contribuent), et témoignages d'X sur leur expérience professionelle. J'introduirais bien quelques pages en anglais et la participation des nouveaux diplomés étrangers. Cette revue doit être un vecteur de l'image et du rayonnement international de l'X.

La revue ne doit pas montrer l'ambition de corriger une image, sinon elle ne fera que la renforcer. Expurgée des infos "communauté", elle peut apporter une petite brique à une démarche de changement d'image en montrant une volonté d'animation de cercles de réflexion. Mais une démarche d'amélioration de l'image doit être plus globale. Pour ce faire, elle doit contrer le premier reproche fait à la communauté... ne pas écouter les autres. La JETR est déjà ouverte à des contributions extérieures et doit le rester. Exemple : il faudra supprimer la référence ostentatoire à la promotion.

il y a ce me semble un total inalignement entre l'objectif d'ouverture sur le monde extérieur (notamment économique) et le positionnement très pointu (en termes de cibles et de contenu) Ce qui fait le rayonnement d'une école sont à mon avis deux points : Quant à la séparation du contenu pur polytechnicien, cela me semble en effet une bonne chose pour augmenter la diffusion.

L'idee de base est excellente: remplacer le mensuel actuel par un trimestriel complete par un bulletin periodique (celui-ci sous forme e-mail de preference). En revanche, la revue trimestrielle devrait avoir une audience essentiellement polytechnicienne. L'idee d'assurer un rayonnement au-dela des anciens eleves me semble inappropriee et potentiellement contre-productive.

Il faut s'ouvrir au maximum. Je pense que des rapprochements ponctuels avec d'autres grandes écoles, scientifiques ou autres (HEC, ENA, etc...), ou autres grandes organisations (pourquoi pas l'Académie Française, ou l'Hôpital, ou la NASA, etc) donneraient une image plus attractive d'un monde qui paraît, somme toute, assez fermé pour les gens de l'extérieur. Ce serait tout à notre honneur de montrer que nous allons vers les autres. Ne faut-il pas également penser à en faire une revue exportable hors de France. Qui sait ce que vaut un X hors de nos frontières. Par expérience, pas grand monde... Au moins quelques pages en anglais seraient les bienvenues. Enfin, n'oublions pas de montrer qu'on peut faire quelque chose de grandiose et rigoureux, sans se prendre trop au sérieux... Rions un peu à nos propres dépends (tout en restant raisonnables, attention à la presse), nous n'en paraîtrons que plus humains. Good luck. J'aime bien ce projet.

Je ne comprend pas pourquoi vous souhaitez réaliser une revue aussi élitiste ("très ambitieuse intellectuellement"). A mon avis, la cible doit être plus large. Le contenu graduellement présenté (en terme d'"ambition intellectuelle"). Une revue trop hermétique voire ésotérique n'apportera rien si ce n'est de consolider cette image élitiste. Il faudrait d'abord parler des objectifs de communication (intra et extra communauté X). S'il s'agit simplement de nous crédibiliser intellectuellement, alors effectivement, la nouvelle formule est dans la bonne direction (cf "pertinent à l'objectif fixé"). S'il s'agit de nous promouvoir à l'extérieur au sens le plus large du terme (véritablement plus large, je pense que c'est essentiel même pour toucher une cible plus restreinte in fine) la forme et le fond ne sontpeut être pas optimisés.

Il s'agit notamment de faire du lobbbying, donc il faut viser tous les décideurs européens et les technocrates de Bruxelles. Notre appartenance à une communauté de valeurs militaires, même si son côté napoléonien est désuet (d'ailleurs toute référence historique à la France impériale combattante est absolument à proscrire pour prendre sa place dans le concert européen), est un avantage qu'il faudrait valoriser à travers cette publication. La tendance actuelle (mais pas nouvelle) à atténuer progressivement le "caractère" militaire de l'Ecole ne peut que résulter, à long terme, dans la transformation de l'X en une fac banale, sous-équipée et surpeuplée, bref "normale". Or nos spécificités, bien que étranges aux yeux de nos partenaires européens, ne doivent-elles pas contribuer à nous faire reconnaître au-dessus de la mêlée? Même si, évidemment,le diplôme des X doit avoir un équivalent au standard européen (aujourd'hui nous n'avons ni master ni PhD donc nous ne valons rien). Quant au ton de cette revue, je ne sais pas s'il faut chercher à tout prix l'impertinence et le style journalistique. Certaines revues traitant de sujets socio-économiques, de bon niveau, sont plutôt "chiadées", je pense dans des registres très différents à Défense Nationale, Géopolitique... Tout dépend de la cible: si l'on veut faire du lobbying à l'UE quel est le style à adopter?

Je crois que vouloir publier une revue "prestigieuse, haut de gamme, très ..." (j'imagine aussi froide que X-passion) et vouloir donner "une image moins convenue des X, moins conformiste, plus proche des réalités humaines, sociales et plus conforme à la diversité des responsabilités, une revue excitante, originale, surprenante, alerte et vivante" sont deux objectifs contradictoires. J'adopterais une attitude plus modeste et je bannirais les termes "prestigieuse" et "haut de gamme".

Toute modification dans le sens d'une revue moins nombriliste me semble de toute façon la bienvenue. J'espère que la volonté d'ouverture affichée par ce projet ira dans ce sens.

Les X sont déjà bien connus et introduits par rapport au lectorat visé. Justement, il faudrait viser un autre lectorat, qui a une méconnaissance ou une image très dégradée de la communauté (dont, justement, le fait que ce soit une communauté fermée). La majorité des X (que je connais) souffre de cette méconnaissance, en particulier dans les milieux professionnels et industriels. Pourquoi parler de "la rigueur X" alors que, justement, c'est cette "rigidité X" qui nous est souvent reprochée ? Le résultat risque d'être contraire à l'objectif poursuivi, avec en plus une notion "les X font la pub des X car ils se croient meilleurs que les autres". Par contre, l'idée de séparer : . la communication extérieure (hors promos) . la communication intérieure (entre camarades) est intéressante, car la seconde permettrait justement de partager nos différentes expériences et donner quelques conseils (exemples : gestion, logistique, recrutement, prestataires, etc.), bref, sur tout ce que nous pouvons rencontrer au quotidien dans notre milieu professionnel, et pour lequel des conseils de camarades étant déjà passés par les mêmes questions / problèmes pourraient être d'une aide précieuse. Autre point : l'objectif actuel va coûter cher ! Il faudrait montrer l'exemple de la gestion rigoureuse dans le cadre économique actuel, sinon l'on paraîtra, une nouvelle fois, totalement en-dehors des réalités du monde actuel !

1) On pourrait rattacher cela à une fondation, à créer, type fondation à l'américaine (ou fondation St-Simon..., ou fondations que veut aujourd'hui créer l'UMP), mais qui aurrait l'avanatge d'être indépendante politiquement. 2) Pour être lue par lectorat viser, il faut que les X puissent construire une image d'intellectuels, concurrencçant les énarques, et que nous n'avons pas à cejour. La revue est un bon intrsument, si elle est reliée à une fondation, à un lieu d'échange , qui peremtte de faire témoigner d'autre horizon professionnels. Par exemple les groupes X (j'ai l'expérience de X-Banques) pourraient être mis à contribution pour créer de véritbales groupes de réflexion sur des sujets de sociétés, destinés à influencer les décisions notamment politiques. 3) Sur la volet entreprises/managériale, il faudrait des cas concrets de réalisation, permettant de montrer des solutions originales, mais aussi... que les X sont à des postes clés.C'est à mon avis important en terme de promotion externe et également pour être écoutés des chefs d'entreprises ou grandes entreprises. 4) Volet international : au moins un sujet par revude devrait avoir été traité en "partenariat" avec soit une revue similaire de grande université européenne ou américaine, soit des responsables (politique, entreprises)implantés hors de France.

Je vais etre tres franc, les camarades m excuseront. Le format actuel de La Jaune et la Rouge est celui d une revue pour retraités, je doute que le contenu puisse interesser les X dans la vie active. Le contenu scientifique et le serieux des articles avoisine pratiquement celui d une gazette de salle d attente. Je trouve que la revue ne donne pas une bonne image de l X et j ai entendu maintes fois des non X se moquer de tel ou tel article paru dans la Jaune et la Rouge, faute d etre accepte dans une revue respectable. Les articles portant sur la ve de l Ecole ne posent pas les vrais problemes, on dirait qu'ils sortent tout droit du Pavillon Boncourt et sont ecrits avec un langue de bois politiquement correcte...ce qui est comprehensible vu la position de l AX mais en tout etat de cause cela ne fait que diminuer l'interet de ces articles.

L'objectif me paraît dans le fond très bien mais trop prétentieux et trop élitiste dans son message. Je préfère que l'objectif soit penser comme un témoignage proposé aux lecteurs que comme un prestige clamé ! La richesse de la communauté des X est la diversité des origines, des sensibilités et des expériences professionnelles de chacun. La revue des X doit en être le témoignage vivant et humble!C'est le parler vrai, l'objectivité et la simplicité des articles qui seront les plus efficaces pour témoigner de la richesse de la communauté. Cette revue sera d'autant plus rayonnante que tout lecteur non X se sentira concerné par les thèmes et les expériences présentés. Pour rayonner utilement et efficacement, c'est le fait : - de s'appuyer sur des expériences vraies de plusieurs anciens ou non avec une confrontation des différentes idées, - de présenter des articles issues de confrontation d'anciens de différentes promotions et de collègues de travail de ces anciens issus d'autres formations parce que la revue d'aujourd'hui est trop uniquement X - de présenter des points de vue de personnes qui travaillent avec des X pour connaître de manière vivante (pour sortir des clichés) l'appréciation du monde du travail à la formation divulguée par l'école. La revue des X devrait donc être réalisée sous forme d'articles qui se basent sur l'expérience de groupes d'anciens dans un secteur donné ex.: le choix des premières expériences professionnelles,le management opérationnelle en production, en R D, dans l'administration, l'industrie pharmaceutique, l'industrie du luxe, les X dans l'enseignement, richesse d'une carrière à l'internationale, comment recruter ,..... avec des équipes qui vont sonder ces personnes dans leur travail ou vie associative en divulgant éventuellement pas le nom des interviewés pour rendre plus libre,plus objectif et moins narcissique la teneur des articles. Des articles qui présentent la vision d'avenir de plusieurs X sur l'avenir d'un secteur, industriel, de recherche, d'enseignement, d'administration pour attiser la réflexion du lecteur. Des articles qui présentent des méthodes de travail expérimentées avec succès ou réussite par chacun. Des articles qui présentent des résultats d'activité d'entreprises, d'administrations en comparant et en proposant des analyses ou des axes de réflexion. Une communauté est rayonnante lorsqu'elle s'enrichit de l'expérience de tous ces membres et surtout de tous ces non membres. Elle reste ainsi ouverte et donc rayonnante. Je vous félicite de proposer une remise en cause du contenu et de la forme de la Jaune et La Rouge.

Cette revue ne sera plus une revue d'anciens élèves mais un outil de publicité pour la formation de l'X. C'est un objectif autre, et il me manquera encore un journal d'anciens efficace et moderne. Je pense qu'il aurait simplement suffi de morderniser la jaune et la rouge, qui est tombée en désuétude. Par ailleurs, je pense qu'il est plus important de construire des réseaux polytechniciens efficaces et moins bruyants, que de vouloir "changer" une image "convenue" qui finalement correspond assez bien à la réalité des X. Assumons sans complexe que nous sommes des ingénieurs, pas des commerciaux ou des champions des sciences humaines ! Aujourd'hui, je reçois une revue avec des cours de bridge, demain je recevrai des articles fumeux de "haut niveau", alors que je voudrais simplement savoir ce que font des X de mon âge, dans la banque, la recherche, l'industrie, l'administration, dans leurs activités réelles et non "prestigieuses". Cela permettrait de créer/recréer des réseaux.

Ecellente idée que de promouvoir l'Ecole de cette manière, d'autant que d'autres (l'ENA pour ne citer qu'elle) s'y sont déjà mises. Puisqu'il s'agit notamment de faire connaître l'Ecole à l'étranger, il me semble indispensable que les articles - ou à tout le moins leur "executive summary" - soient traduits en anglais.

vous devriez lire CAM (Cambridge Alumni Magazine - il se trouve que je suis aussi un alumni de Cambridge) et vous verriez que l'actuelle JETR est nettement plus agreable, en particulier grace a ses "libres propos" qui sont le principal element non communautaire de la JETR. par ailleurs, le grand trait de la communaute X et de la JETR est son independance d'esprit. J'ai peur qu'une telle revue ne soit 'la voix de Moscou' et qu'elle se separe des anciens eleves, qui doivent etre la cible prioritaire. La JETR doit etre un ciment communautaire, pas un journal publicitaire. quand a la remarque sur le "style journalistique" de l'annexe, elle m'affole. La JETR est en general bien ecrite, et il ne faut pas la transformer en journal pour enfants de 6 a 12 ans. Enfin, LA LANGUE DE LA JETR DOIT RESTER LE FRANCAIS.

Je suis d'accord sur le principe. Juste une remarque sur l'objectif "très ambitieux intellectuellement". C'est déjà pour moi une caractéristique de la Jaune et la Rouge actuelle(ou celle des quelques années précédentes, puisque je ne la lis plus), or la lire nécessite (logiquement) un effort intellectuel soutenu. Il me semble que conserver de tels articles à fort contenu est nécessaire, mais contribuera essentiellement à renforcer l'image de rigueur intellectuelle des X et leur aspect technique/technocratique. En revanche, si le but est de montrer que les X sont proches des réalités humaines, sociales et commerciales, de part leur expérience professionnelle quotidienne, et qu'ils peuvent constituer des interlocuteurs de valeur pour débattre de problèmes quotidiens, et pas seulement des questions techniques, alors il me semble qu'il faudrait faire des articles de synthèse plus directement accessibles, ce qui ne les rend pas moins intéressants ni d'une valeur intellectuelle moindre (au contraire, ils sont généralement plus difficiles à faire). Je pense donc qu'un mélange d'articles de fond assez long, et d'articles plus courts, pourrait être satisfaisant.

Je trouverais un peu nombriliste cet objectif de valoriser les X auprès des non-X.

L'idee de refondre la Jaune et la rouge et l'orienter vers une revue plus riche en terme de contenu me semble tres appropriée... Personnellement, je serais plus intéressé par des articles scientifiques...

Je n'ai pas de suggestion particulière, mais je trouve que ce projet est une très bonne idée. Tous mes encouragements.

.une revue Les objectifs resumes ci dessous :"prestigieuse, haut de gamme, très ambitieuse intellectuellement" vont rendre cette pubication obscure et peu accessible. Le but n est pas de creer un micro magazine du type "philosophical review" aux US, pour un petit nombre d inities. Les objectifs principaux devraient etre: 1) Grande diffusion (augmenter le tirage), et garder la frequence d un mois 2) Traiter des sujets d actualite (le bois c est bien, mais c est pas vraiment d actualite). 3) Essayer d avoir des lecteurs "en dehors du club" des X et non pas d avoir une culture mandarine type enarque. IL SERAIT BON DE S INSPIRER DES MODELS AMERICAINS, ET DES REVUES ALUMNI DES GRANDES UNIVERSITES COMME STANFORD, MIT, OU BERKELEY

Je suis un lecteur régulier de la J et la R, et j'apprécie son format et la richesse de son contenu. Je pense que l'idée de diviser en deux revues est mauvaise. Qu'entendez vous par "revue prestigieuse, haut de gamme, très ambitieuse intellectuellement" ??? Le format actuel correspond tout à fait à ces exigences. Pour la diversité des thèmes abordés par les X, il existe déjà une revue "haut de gamme", et trimestrielle: X-Passion. Si l'idée de diviser en deux le bulletin pour les X et la revue pour les X+les décideurs (en schématisant) mérite d'être étudiée, je n'y vois pas que des avantages : - il y aura quatre numéros par an au lieu de 12, donc on va diminuer la variété des sujets abordés - même dans une nouvelle formule, la revue trimestrielle reste une revue d'anciens camarades. Si j'étais un décideur non-X, je n'aurais pas plus d'intérêt à la revue trimestrielle que mensuelle, sauf bien sûr si le numéro traite d'un sujet qui m'intéresse. Dans l'annexe "Précisions sur la revue trimestrielle", TOUS les paragraphes s'appliquent déjà à la J la R (contribution des X au débat, présentation de divers points de vue, international si possible), SAUF UN : <<Le ton de la revue devra trancher avec l’image un peu trop sérieuse et assez conformiste que l’on prête volontiers aux X : il surprendra, sera alerte, vivant parfois impertinent. Il se rapprochera du style journalistique sans rien concéder bien entendu à la rigueur du fond…>> NON, NON et NON. Il y a délit de contradiction flagrante avec le § précédent : "la seule exigence est la rigueur". Plutôt que de faire une nouvelle revue en faisant semblant de réinventer la communication de la communauté X, concentrons nos efforts sur le choix des thèmes abordés et des auteurs d'articles et des personnes interviewées. Par exemple, on pourrait travailler sur une rubrique "L'Actualité vue par les X" en demandant à nos chers camarades d'écrire à la rédaction s'ils veulent faire entendre leur point de vue. (c'est un peu le style de la page numéro 2 du journal Le Monde, mais en général, c'est des professeurs d'université).

Initiative TRES courageuse, même si les résultats seront sans doute parfois difficiles pour les rédacetrus qui donnent beaucoup de temps et de bonne volonté à la revue actuelle. Essyez de condidérer les synergies avec X-Passion dont le contenu éditorial est de très grande qualité. (Quoique qu'en évitant les dérives vénales des éditions des cassines, l'actuel éditeur). Chic à l'X, Encore Bravo, Paul Teyssier (X 97)

être moins obsédé par notre image...qui n'est pas caricaturée tant que ça

on peut vouloir faire une revue un peu de type "vulgarisation scientifico-culturelle" grâce aux expériences des anciens ; cependant vu le lectorat visé, ce projet me parait plus de l'ordre du lobbying qu'autre chose (mais suis-je bête... peut être est-ce la fonction première de l'AX ?)

Il ne me semble pas que la communauté polytechicienne ait la légitimité suffisante pour publier une revue qui, si je comprends bien, devrait concurrencer la revue des deux mondes ou Esprit etc... En particulier parce que publier une telle revue implique une ligne éditoriale et donc politique, et qu'il ne me semble pas que le fait d'être polytechnicien permet de définir un positionnment politique commun. L'appartenance à la communauté plytechnicienne étant, comme le permis de conduire, valable à vie et non pas renouvelée volontairement par une adhésion, je ne pense pas que l'on puisse accepter d'être par principe solidaires des idées développées dans une revue. Ps: je viens de lire l'annexe, et je constate que je ne suis visiblement pas le premier à avoir formulé ce type d'avis. Je ne vois malgré tout pas très bien comment on peut éviter que des positions défendues par une telle revue soit assimilée par les lecteurs comme la position officielle de la communauté polytechnicienne.

L'idée de séparer la revue en deux est très bonne, pour l'instant la revue telle qu'elle est ne peut s'adresser qu'aux seuls X et n'ouvre pas du tout la communauté. Il serait effectivement bien que la nouvelle revue puisse être diffusée plus largement, et évite à tout prix d'être trop austère, ce qui constitue la mauvaise réputation des X.

Faire une revue ouverte, type Harvard Business Review, ou des Professeurs chercheurs de l'X, et d'autres pourraient publier. C'est ca ce qui fait qu'une univeriste est prestigieuse, pas ce qu'en diront les journalistes du Point. Globalement le lectorat cible connait l'X au moins indirectement par le biais d'un X. S'il est important d'ameliorer la cooperation au sein des X, il faut surtout passer a l'etape au dessus et faire de cette revue un objet de promotion internationale qui ferait connaitre la marque Ecole Polytechnique, et la reconnecterai avec la realite. Il ne faut pas faire de la vulgarisation pour faire de la vulgarisation, il faut faire de la vulgarisation de concepts qui ont un sens dans le mond ed'aujourd'hui et qui pourraient donner des articles etudies en cours de part le monde. C'est la ou doit aller l'AX. Une collaboration avec des professeurs de l'INSEAD, HEC, Supelec/Telecom pourraient faire de cette revue LA revue des managers/chercheurs en management et technologies. N'hesitez pas a me contacter pour continuer cette discussion par mail ou au telephone (650) 498 1861

Il faut aussi donner une image ouverte des X, c'est à dire éviter celle trop récurrente d'un réseau opaque voire secret, composé d'X qui restent entre eux car les autres ne seraient pas "intellectuellement solvable"... Ainsi, j'espère que des articles de personnes certes renommées mais non-X seront les bienvenus (sans toutefois les stigmatiser comme telle)

Je pense qu'il ne faut pas trop insister sur la pub des X. La tâche de promouvoir les X est noble mais cela ne doit pas être le seul objectif de votre revue. La promotion des anciens élèves de l'école doit venir se greffer subtilement. (cela ne doit pas être évident) . Je pense que promouvoir l'X mène à la dégradation de l'image des élèves de l'école, réputés comme sûr d'eux et arrongant!!! A méditer. Sinon, le projet est ambitieux, bon courage.





2. Suggestions relatives au contenu


suggestions sont les bienvenues.... Le premier numéro serait polyvalent et annoncerait le choix d'un thème central pour les numéros suivants (avec pas plus de 3 ou 4 articles, chacun dans son domaine: scientifique, économique,humain,long terme,......)

. Pourquoi les syndicats dans le lectorat ? . Le destin de tout géomètre est de devenir philosophe (Platon.La république) La plupart d'entre nous ignorent tout dans ce domaine au sortir de l'Ecole, mais s'intéres-sent, dès qu'ils le peuvent, aux sciences humaines. Je souhaite qu'une petite place soit faite à la réflexion générale et intemporelle, par exemple sous la forme d'opinion libre pris dans le courrier, sans rapport avec l'actualité. On ne pourrait pas éviter de citer telle ou telle croyance religieuse, mais nous sommes capables de n'en blâmer aucune.

la jaune et la rouge a cessé depuis longtemps de donner la parole aux X qui ont des idées originales pour sombrer dans le politiquement correct. faire une revue politiquement correcte de plus ne pourra que conduire au désastre financier. ne comptez pas sur moi pour en assumer ne serait-ce qu'une minuscule partie. si vous voulez faire de la jaune et la rouge une revue qui developpe l'image de l'X il faut (comme cela fut fait du temps de X crise) ouvrir ses colonnes aux opinions non conformes et iconoclastes. cela soulevera enfin l'interet d'autres que les anciens éleves.

Toutes les revues "de prestige" que j'ai connues ont été des fiasco, pas lues, chères. je ne crois pas à la demi-mesure ou bien on a des articles courts pour aiguiser la curiosité ou bien on a de véritables ouvrages documentés, par exemple lesactes d'un colloque ce qui me parait être à peu près le style actuel.

.En voici quelques unes: 1)En ce qui concerne la cible le choix parait terriblement traditionnel et purement hexagonal: administration, services publics, syndicats.....C'est l'X de 1950, pas du siècle nouveau.Partant du constat que l'Ecole devient une Institution d'education scientifique de haut niveau, visant l'excellence mondiale,il faudrait, me semble t il, viser les partenaires ("stake holders") au niveau mondial ou à tout le moins Européen (malgré l'obstacle de la langue): candidats, décideurs de toute nature, milieux universitaires internationaux. 2)Le positionnement proposé ne me parait pas assez clairement défini:Revue de réflexion sur des sujets d'intérêt général mais est ce notre vocation ? ou Revue de management mais pourquoi faire ?etc.....Il me semble que nous trouverions mieux notre place en positionnant notre communauté par rapport aux évolutions de la Société abordées sous l'angle scientifique ou technique au sens large. 3)Je note en effet avec surprise qu'il est question de rigueur(?) de tradition et d'intérêt général(?) mais pas d'Innovation, ni de Science ou de Technologie ? Or il me semble qu'une Ecole qui draine une bonne partie des meilleurs scientifiques de chaque génération pourrait chercher à se construire une image très positive dans ce domaine.Je renvoie sur ce point particulier à la revue "TECHNOLOGY" du M.I.T. que je me trouve recevoir et qui marie de façon attrayante et intelligible la présentation des avancées technologiques majeures dans des domaines variés,la présentation des travaux des laboratoires du campus, et les nouvelles des anciens élèves. 4)La rédaction actuelle des articles de fond, malgré de récents progrès, reste souvent indigeste au moins pour des non spécialistes.Il me semble qu'il est important que cette dimension soit mieux prise en compte à l'avenir.


Attention à ne pas faire trop élitiste et à ce que les articles restent lisibles : à la fois compréhensibles pour quelqu'un qui n'a pas (ou qui n'a plus) le niveau scientifique d'un jeune X, et attractifs pour pouvoir être lus par d'autres que des retraités ou des désoeuvrés.

Ne pas oublier de montrer qu'il y a aussi des X urbanistes, architectes, médecins, peintres, musiciens, cinéastes, écrivains, journalistes, religieux, etc, et bien sûr de leur donner la parole. Il n'y a pas de "pensée unique polytechnicienne", parcequ'il n'y a pas de "schéma unique du polytechnicien". Je relève dans l'Annexe ci-dessous : "La revue se positionne d'abord comme la contribution des X aux débats sur les grandes questions du moment". Cette contribution peut être profondément ENRICHIE si elle ne se limite pas à celle des polytechniciens 'orthodoxes'. Enfin, je pense qu'élargir ainsi l'image que l'on se fait des polytechniciens ne peut que contribuer à augmenter le rayonnement de l'Ecole.

minimiser l'aspect "sabre et goupillon"

Il est important de pouvoir être iconoclaste par rapport à la pensée unique, ce qui sera une rupture marquante par rapport aux sujets et tons actuels. A condition qu'il y ait toujours cet objectif lié au bien public ( je préfère ce terme au classique intérêt général, réducteur et introuvable)et une exigence sur la qualité du contenu, je me réabonnerai immédiatement (je l'ai été) et écrirais volontiers quelques articles dans mes domaine de compétence s'ils sont jugés adéquats.

Je ne sais que penser de "revue prestigieuse, haut de gamme, très ambitieuse intellectuellement". Je crains la mise en oeuvre de "réputation de rigueur". Je suis d'accord sur "volonté des X de réfléchir et de donner du sens à l'action", "richesse de la communauté des X et la diversité des problématiques auxquelles ils sont confrontés". Dans la présentation de ses textes, je trouve la formule actuelle rébarbative, ressemblant plus à un cours qu'à une revue susceptible "d'exciter l'intérêt", voire le plaisir. Elle me semble conforter "l'image " convenue " des X : celle de scientifiques rigoureux, exerçant des responsabilités de nature technique ou technocratique. Est-ce le sillon que la nouvelle revue souhaite creuser ?

prestigieux ne doit pas amener a un "look" ennuyeux voire austère comme nombre de revues qui ont cherché le même objectif.Une forme moderne,originale est importante pour son succès.Le recours à des conseils de professionnels de l' édition me semble indispensable pour ne pas rester dans des aspects dépassés et peu attractifs comme la revue actuelle.("ringards" en vocabulaire actuel populaire et direct)

Ou un autre titre qui allie la valeur scientifique ou managériale de nos camarades et la notion de rayonnement que nous souhaitons

pouvoir sortir des clichés sur les X, mais également des opinions trop conservatrices et trop libérales, type :pensée unique.

1.La Jaune et la Rouge montre actuellement des réalisations qui ne sont pas uniquement issues de polytechniciens. C'est tant mieux. L'X n'est pas un résumé du monde à soi tout seul. Il faut aussi savoir reconnaître et promouvoir les complémentarités. L'image du polytechnicien doit autant être celui qui fait que celui qui entraîne et coordonne. 2.Tout en étant incapable de citer par coeur la liste des thèmes des derniers numéros, je trouve que les sujets autour de la banque, de la finance et du conseil sont sur représentés. Je jette certains numéros quasi immédiatement après les avoir reçus. Je pense qu'il doit y avoir une variété thématique dans chaque numéro (par exemple: sciences & technique/ management / politique / art ). 3.Je me méfie du mot 'prestige' qui est difficilement compatible avec 'intérêt collectif'. 4.Que veut-on faire du prestige, se rengorger entre soi, français du même milieu, ou attirer des hommes et femmes de coeur et intelligents, dans des études qui les conduiront à être eux mêmes leader dans une tradition de bien public. Prévoir une distribution européenne au moins. 5.Haute tenue intellectuelle OK, mais pas trop chiant, ni trop austère!!

L'image "convenue" des X technocrates et éloignés de la réalité est dépassée. Ceux qui ont fait reculer cette image sont les X qui vont sur le terrain à travers le monde et ont pris l'initiative de franchir le fossé d'intellectualisme satisfait que le prestige de l'ècole a largement creusé entre le monde et ses anciens élèves. Une revue qui procède de l'idée que les X s'adressent à l'élite, seule capable de les entendre, nous ferait faire machine arrière. Une revue de vulgarisation serait autrement plus perninente... Les X doivent rendrent simples les sujets complexes et non l'inverse. Enfin, l'appartenance à la communauté polytechnicienne n'est heureusement pas le signe d'une ligne éditoriale cohérente, la revue n'aurait pas de caractère, encore moins d'âme. Qui va s'abonner, à part les anciens ?

Une revue du style des magazines 'Harvard Business Review' ou 'MIT Sloan School magazine' des écoles de commerce américaines d'Harvard et du MIT présentent une image des écoles en relation directe avec le business. Pourquoi ne pas s'en inspirer ?

Eviter de faire trop scientifique (cf. certains articles sur la chimie récemment). Prendre comme modèle les revues ENA et HEC très lisibles et à tendance "managériale"

Les articles de la j&R actuelle sont tres inegaux; Il faut etre plus sélectif. Faire des numéros sur des sujets trop étroits conduit à avoir des articles redondants.

Haut de gamme ne signifie pas luxueux : privilégier le contenu au papier glacé ...

Bien veiller à la diversité des sujets traités. En ce qui concerne la revue actuelle, une part trop importante est donnée au conseil.

Prendre absolument en compte la dimension économique et business correspondant aux resposnabilités assurées par beaucoup d'X dans les petites, moyennes et grandes entreprises aujourd'hui. Les X ne sont plus seulement des scientifiques rigoureux mais aussi des gestionnaires et des décideurs économiques

Plus business et moins service public dans ses sujets pour prendre en compte l'évolution PLus international et moins franco français

Il sera impossible de faire une parution de qualité si on persiste à lier articles et publicités : aujourd'hui une portion importante des articles publiés sont << accompagnés >> de publicités pour les sociétés où travaillent les auteurs de l'article. En général, ces articles-là ne sont pas d'une grande qualité ! Par ailleurs, la J&R est trop prude et trop prompte à dissimuler sous le tapis les différents qui divisent la communauté polytechnicienne ainsi que les débats qui la font vivre. Plus d'impertinence et d'honnêteté seraient bienvenus ! Je suis particulièrement intéressé par la réinvention de la J&R, et aussi disposé à y consacrer du temps. N'hésitez pas à me contacter si vous avez besoin d'aide !

Une revue mensuelle (comme actuellement) permet de traiter divers thèmes. Si la revue devient trimestrielle, la variété de sujets traités sera amoindrie. On peut élargir les thèmes vers des sciences "molles" comme le management (exemple de réussites), la géostratégie, ... domaines dans lesquels il est indispensable d'avoir des connaissances pour être professionnellement plus performant.

Il n'est fait aucune mention dans la description du lectorat cible de l'international. Il est sans doute visé, mais demande une activité spécifique dans dans la façon dont il est ciblé que dans le contenu lui même. Au delà des dossiers faits par 1 X, il peut être intéressant de croiser ou rassembler des opinions différentes sur un même sujet (la communauté polytechnicienne étant dans des doamines suffisamment variés pour que les dossiers fait par une seule personne ne soient pas forcément représnetatifs de l'activité ou l'avis de l'ensemble des X travaillant sur ce domaine. En bref : plus de partage et pas seulement des exemples uniques.

Il faudrait "durcir" le contenu si l'on souhaite intéresser des lecteurs n'ayant pas une sympathie a priori pour la revue. Il faut être rélaise: un chef d'entreprise ou un politique lambda ne lirait pas la Jaune et la rouge aujourd'hui. Les articles ne sont pas du tout à la hauteur de "une revue prestigieuse, haut de gamme, très ambitieuse intellectuellement". L'idée est bonne, mais trop ambitieuse. Comment l'AX se découvrirait la compétence pour devenir éditeur d'une véritable revue. C'est un métier! On est en droit de se poser la question de la vocation de l'AX par rapport à ce projet. Je suis personnellement contre le fait que les cotisations des anciens -dont la finalité est la caisse de secours, rappelons-le- soient investies dans une activité de diversification non-stratégique et pour laquelle l'AX n'a ni compétence ni légitimité. Je crains très fortement le fiasco financier. Ce serait impardonnable d'une association déclarée d'intérêt public, qui bénéficie du soutien fiscal de l'Etat et du soutien sympathique de la communauté polytechnicienne. Un échec desservirait d'ailleurs terriblement l'image de la famille polytechnicienne.

Je trouve que les sujets scientifiques sont bien traités dans la revue. En revanche, la qualité est moins bonne sur les thèmes plus économiques et moins industriels ou scientifiques. Par exemple la dernière revue sur "La Banque" manque d'intérêt et de pertinence par rapport aux autres. Pourquoi faire parler des consultants sur un secteur aussi pointu et mouvant que la finance de marché alors que la communauté polytechnicienne regroupe précisément une quantité impressionnante de ses membres qui exercent des activités opérationnelles de tout premier plan dans la plupart des établissements de pointe dans le monde?

La richesse de ce genre de revues (ex: Esprit, Etudes, Le Monde Diplomatique) vient en grande partie de la variété des rédacteurs. Je crains que bien que nous ayons tous choisi des chemins différents, nous ayons dans une large mesure des réflexes similaires. Aussi je laisserai la possibilité à non-X d'y écrire, tant que la majorité du comité de rédaction est constituée d'X. L'exemple d'Etudes est très intéressant à ce sujet: c'est une revue jésuite où les non-jésuites et même les non-croyants sont les bienvenus.

- Conserver l'idée d'un thème principal pour chaque parution, afin que des articles de différents points de vue (économique, scientifique, sociologique, ...) corrigent les idées reçues ou lèvent les ignorances sur des thèmes d'intérêt commun. Je trouve l'idée de "faire objectivement le tour de la question" essentielle dans le rôle d'un Polytechnicien dans la société. - Ajouter une rubrique d' "introduction objective (vulgarisation scientifique)" pour rappeler les bases du thème abordé (autorités responsables, enjeux financiers, impacts sur l'ensemble de la population, moyens d'action de chacun, éléments chiffrés et ordres de grandeurs comparatifs, ...)

Je crois qu'effectivement, l'image donnée devra être ambitieuse, en terme d'intérêt général, de missions de l'école (service public par exemple). Elle devra contenir aussi des articles scientifiques (image de l'école). Mais attention que ce ne soit pas trop ardu pour le public visé.

Permettre à des anciens élèves d'autres grandes ecoles d'y publier des articles.

une rubrique " échecs " m'intéresserait

Quelques articles de mise à jour scientifique ... pour les plus anciens

Je suppose que la rubrique "Bibliographie" est celle appelée actuellement "Livres". On pourrait y faire également figurer des livres non écrits par des X, mais considérés comme d'un grand intérêt. Autre suggestion : ouvrir la revue sur d'autres milieux. L'exemple du forum social est à suivre. Enfin, il fait trouver une formule pour la publicité. L'actuelle mélange trop les genres...

Ne pas oublier les activités de recherche (et même d'enseignement).

maintenir le choix d'un thême par parution, lié aux grands problèmes actuels de nos sociétés occidentales

1- Eviter le piège d'une revue purement centrée sur le domaine socio-économique. Donner une large place aux problèmes techniques et scientifiques, à impact potentiel majeur. 2- Nécessité d'un comité de lecture de haut niveau comprenant : - des X à facette technique et scientifique - des X à facette managériale et socio-économique - des personnalités non-X

pour ouvrir la rédaction annoncer le sujet du n° n +2 et demander des propositions

Je pense que d'une facon generale, il y a lieu de donner une image du polytechicien qui le situe au niveau de son role dans la France moderne en developpant des exemples vecus de ce qu'ils sont dans la vie de tous les jours; les realisations et le role que jouent beaucoup d'entre nous dans les grands domaines de l'economie. Nous sommes pas une grande ecole au sens de l'anglais "high school" encore moins les heritiers d'une " elite institutionnelle" mais plutot des gens qui, bien que pas plus betes que d'autres, et qui, sachant se servir de leurs connaissances et avec leur enthousiame ,participent souvent, de facon active, a faire progresser le pays.

Veiller à ne pas publier que des articles scientifiques, mais consacrer une part à l'art,la philosophie, la littérature, bref...la culture! et surtout être attirant, donc pas trop ennuyeux... ce qui peut se faire sans tomber dans un journalisme banal.

La j et la r devrait aussi servir de journal de publication pour les travaux des X qui se dispersent dans je ne sais combien de revues et parfois n'en trouve aucune. Mes travaux ont souvent été publiés sous d'autres noms par quelques pillards ! Voir le journal de Normale Sup qui fait autorité. Ne pas oublier qu'il y a plus d'X savants morts que de d'X savants vivants! De ce point de vue l'X a petit à petit été détournée de sa vocation première, recrutant toujours les meilleurs espoirs scientifiques et les laissant s'envoler vers des horizons qui n'ont rien à voir avec son enseignement.

industrie europe solidarite-mondialisation témoigneges de camarades ayant des responsabilités(entreprises, économie, politique, ...).

ayant coordonné la communication du Bicentenaire en 1994, je rejoins en partie l'objectif du groupe de travail, notamment sur la séparation des informations polytechniciennes et d'une revue de large diffusion. Je ne pense pas que cette revue doive se présenter comme une revue de prestige, mais comme une revue de bonne qualité et de large diffusion (genre "Nature"); Son contenu devrait comprendre des portraits de manager, des réflexions de polytechniciens sur les sujets d'actualité et surtout un aspect de vulgarisation, valant formation continue de référence pour toute personne, quelle que soit sa formation d'origine, désireuse de rester pratiquement au courant, dans les grandes lignes, des avancées de la science et de la technique. Un exemple, qui d'entre vous sait dans quelles conditions et quels sont les repères de réaction individuelle face à un incident atomique?

1-Tout ce qui compte a, directement ou pas, une valeur politique ; le reconnaître et s'y préparer en se jurant de maintenir fanatiquement une balance égale entre gauche et droite en ayant toujours le contre-feu disponible sous forme de contre-thèse ou, pis aller, de notes de rappel . Exemple : le Herald Tribune . 2.Préserver un ton direct, libre, sans tabou, comme seuls certains organes anglo-saxons le peuvent ; ex : l'Economist Commentaires : L'idée de départ me semble tout simplement géniale . Ma suggestion de titre tient à ce que Descartes nous garantit une notoriété de curiosité immédiate, mais aussi que par son personnage, scientifique mais visionnaire jusqu'à l'impasse, il peut symboliser nos aspirations et nos faiblesses . D'autre part, de confiance, j'ai noté comme "Pertinent" un contenu dont je ne sais rien !

D'accord pour la séparation d'un bulletin. La revue actuelle avait déjà fait beaucoup de progrès. Le ciblage ne me paraît pas encore clair: ferons-nous une revue économique, technique, manageriale, prospective, etc.? Dans quelles proportions? Rapports avec la politique et l'actualité? Irons-nous jusqu'à en faire une revue rendant compte des travaus d'une sorte de club ou think tank polytechnicien sur les grands problèmes de société? Auquel cas il faudrait organiser la réflexion et l'AX ne serait pas le meilleur vecteur, etc.

L'initiative est louable,le projet est mal ficele. L'objectif est intellectuel,complique et marque d'arrogance ;ce n'est pas ainsi que l'on conquiert une nouvelle image et que l'on trouve un public elargi. L'objectif est tourne vers l'interieur de la communaute des X et non vers l'exterieur( la Jaune et la Rouge actuelle est illisible par des non-X ). La cible parait etre le microcosme politique/affaires/syndicats...parisien.On aimerait y voir souffler l'esprit du grand large a l'heure de l'Europe,de la mondialisation des echanges,de la percee des technologies nouvelles ( informatique,Internet, biotechnologies etc...). L'avant-garde du monde actuel,c'est le monde des entreprises,carrefour des innovations, des progres scientifiques et commerciaux par et a travers la satisfaction de clienteles de toutes sortes. Les sujets d'articles pourraient faire appel a beaucoup de pragmatisme, de preference des vecus exemplaires abondamment illustres (multimedia,images digitales ...),plutot que des traites techniques de specialistes fonctionnaires,en somme de bonnes histoires bien racontees ( envisager l'appui d'un journaliste de grande reputation ). Une revue trimestrielle ( frequence faible ) ne changera pas l'image aupres d'un public difficile a atteindre et d'autre part tres sollicite.Un vehicule plus moderne serait d'organiser les contributions de la revue autour d'un site Internet avec chat rooms organisees en plusieurs centres d'interet. Ainsi , on peut publier et consulter en continu , referencer et diriger sur de nouvelles cibles quand besoin est, organiser des conferences en temps reel avec des interlocuteurs aux 4 coins du monde.Il vaut mieux paraitre moderne voire d'avant-garde qu'academique et compasse. Pour toucher un public jeune necessaire pour creer une image nouvelle,en tout cas amelioree,une communication par Internet est une obligation. On ne peut faire a moins ( lorsque l'on peut acceder a la lecture du Figaro a toute heure et de partout).

Les articles de fond doivent pouvoir être signées par de non X

avoir un espace de débat assez développé (ne serait-ce pour afficher la diversité des points de vue)

Classer les contributions sous quelques grandes rubriques, p. ex: Sciences, Techniques, Problèmes de société, Humeur, Inclassables. Ne pas abuser des dossiers. A mon sens, un dossier se justifie par son caractère d'actualité (ex. l'effet de Serre) et ne doit pas envahir tout un numéro.

_ j'apprécie les articles qui ont un caractère professionnel marqué, même s'il ne s'agit pas de mon ex-profession, ainsi que les numéros spéciaux _ il me semble que le thème de la révolution de la société par les technologies des télécoms et de l'informatique (internet, intranet, etc.) n'a pas actuellement la place qu'il mérite dans notre revue _ j'aimerais aussi voir traiter plus souvent des biotechnologies, autre révolution en cours

Vous avez dit iconoclaste? Il faudra faire des efforts car ce n'estvraiment pas le cas en ce moment!

l'autre mesage évoquait "iconoclaste": "lucide" me paraît essentiel démonter les rouages des machines qui gouvernent le monde pour que le citoyen soit conscient de ce qu'il fait matériellement la revue doit rester d'un poids très mesuré, sinon elle restera dans un coin la pertinence du contenu reste à vérifier sur pièces! je trouve que la revue actuelle donne déjà une bonne idée de la diversité des points de vue, et l'ouverture aux non X est précieuse; il s'agit maintenant d'atteindre un public plus large et l'international? est-ce qu'il y aura un prototype?

Une rubrique "Courrier des lecteurs" me paraît souhaitable dans la Revue.

Il n'est sans doute pas mauvais d'avoir un thème pour l'homogénéité, mais il ne doit pas envahir le numéro, l'afficher fortement rebute ceux que ce thème n'interesse pas. Je préférerais un discret fil rouge. Il est vrai que pour la pub....Compte tenu de la cible et du caractère prestigieux ne va t'on pas faire trop sérieux et un peu rasoir? Par ailleurs du fait de la masse d'informations reçues de toutes parts il faut sans doute faire court et percutant avec de bonnes illustrations, (mais tout cela est évident donc banal!).

Surtout PAS DE PUB, montrer à l'exo la DIVERSITE DES TALENTS ET DES PRODUCTIONS DES ANCIENS X (religieux, journalistes, architectes, musiciens, cosmonautes, etc..) montrer la vie d'aujourd'hui à l'Ecole (avec de temps à autre rappels historiques AMUSANTS), ce que celles et ceux qui ont FAIT L'EFFORT D'Y ENTRER EN ATTENDENT, interroger l'exo pour connaître symétriquement ses attentes, ses critiques, interroger les ECOLES D'APPLI ELEMENTS-CLES DU DISPOSITIF, etc...

il faudra éviter non seulement la langue de bois mais aussi l'autosatisfaction ! De plus je suis très inquiet de lire dans la présentation en annexe qu'un style journalistique sera recherché : l'expérience quotidienne montre que c'est incompatible avec le sérieux et la rigueur. Ce choix irait complètement à l'encontre des objectifs recherchés.

mettre en evidence les liens entre science, technique et decision se situer davantage dans un contexte européen et international en donnant par exemple la parole à des ecoles etrangeres

ne pas oublier que les cadres à qui vous destinez cette revue, en dehors des articles de fond et de haut niveau, ont aussi besoin de leur part de rêve et de jeu, de certains moments de détente

Les articles de la revue actuelle sont généralement écrits par des spécialites pour des spécialistes. Les auteurs n'ont pas conscience que la trés grande majorité des lecteurs ne sont justement pas des spécialistes du sujet traité et ne se mettent pas à leur portée. C'est pourquoi, je pense, la JETR n'est pas beaucoup lue. Elle est razoir !

une rubrique régulière "enjeux du monde économique" déclinée sur les thèmes des théories économiques , de l'économie mondiale , européenne , française et de la petite ou micro économie

L'objectif est louable. Cependant,quelle est la valeur ajoutee qu'apporte le point de vue des X,pour un lecteur n'appartenant pas au "sérail"? Comment la revue sera-t-elle diffusée?(abonnement,kiosques...)

Je suis totalement contre ce nouveau projet de poursuivre le sabotage déjà trop avancé de la Jaune et la Rouge. Je suis entre autres totalement opposé à séparer un bulletin vers les X d'un autre. Ce sondage est d'ailleurs aussi malhonnête et superficiel que tant d'opérations médiatico-politiques actuelles : on prétend par exemple nous forcer à choisir une périodicité de bulletin pour nous peindre comme acceptant un tel bulletin... La plupart des articles actuels sont maintenant complètement conformistes, ringuards, idiots, vides d'information utile, politisés, complètement serviles au pouvoir en place. Ce n'est pas une question de domaine visé mais de manière de traiter l'information. L'X était une école scientifique, la science c'est savoir, c'est donc fondamental qu'on soit VRAI. C'est contraire à toutes ces petites faussetés, contorsions, etc. Je demande donc un retour vers la simplicité, la vérité, la modestie, traiter, et HONNÊTEMENT, des affaires poly-techniques: sur Internet, comment rendre l'email et les paiments sûrs et efficaces ; (si c'est pour les réponses hypocrites et conventionnelles qu'on voit partout, ce n'est pas la peine) ; la voiture est-elle réellement plus coûteuse que le train ou le bus pour la collectivité ? Rétablir les garanties de paix et de justice, comme l'État Civil, la publicité de la Justice, l'Égalité effective des citoyens, le recrutement par concours de tous les emplois publics, etc... etc...

La Jaune et la Rouge a évolué de façon remarquable, en fournissant des synthèses sérieuses et cependant lisibles, sans chercher à "en remontrer". C'est la meilleure voie. Il faut poursuivre, mais ne pas essayer de copier une tendance écoles de commerce, dont les américains eux-mêmes commencent à douter. Que veut dire: "revue prestigieuse, haut de gamme" et surtout "ambitieuse intellectuellement"? C'est je pense le cas de la revue actuelle. Peut-être, cependant, faut_il en séparer les pages purement X. L'expérience des ISF m'en fait douter. Des lecteurs extérieurs trouveront normal d'avoir des nouvelles "de famille" et c'est cela qui assure la "marque de fabrique", alors qu'une feuille séparée interne devient vite indigeste en dépersonnalisant le reste. Mais peut-être des réactions précises vous donnent-elles des raisons d'aller en ce sens. Je suis prêt à les lire avec ouverture et espère qu'elles permettront de répondre à mes premières réactions, si une telle solution est retenue. Après lecture de l'annexe: -excellentes idées, que l'on crée cette nouvelle revue ou non; -attention à ne pas faire croire que les X se croient les" détenteurs de la vérité" et capables de tout résoudre mieux que tous; -si on cherche à faire intervenir d'autres, le choix des opinions suppose des qualités journalistiques et des coûts que j'imagine peu compatibles avec celles du journal, sauf à devenir l'outil d'une tendance, ce qu'il faut éviter à tout prix. Cette annexe me conforte dans les idées initiales: se servir de ces idées pour améliorer le lournal actuel en restant solide et objectif à la place que notre statut nous donne dans la société. D'autres qualités ont amené certains X, heureusement, à des fonctions politiques ou de management. Mais il me paraît dangereux, même pour que cela se poursuivre, de prétendre (ou en donner l'impression) annexer ces fonctions. Ceci ne condamne pas l'idée mais exige un positionnement très délicat.

Personnelement je trouve qu'il y a trop d'accent sur le management actuellement et que les sciences et les techniques n'ont pas été si bien traitées que ça. Elles l'ont même été parfois avec un esprit de chapelle ou provincial qui n'a pas donné une bonne image de l'X et des X (je pense par ex aux querelles sur Einstein et Poincaré sur la découverte de la relativité restreinte...) Pourquoi ne pas donner la parole aux prix Nobel français, X ou non , (pas seulement en sciences), à des académiciens, (les bons) mais avec un souci de prestation de haut niveau. Pourquoi pas de temps en temps des personnalités étrangères? Purquoi pas quelquefois des sujets de Société?

Il est bien que l'essentiel des articles soit rédigés par des polytechniciens Les points de vue les plus différents doivent être exposés La qualité essentielle doit être la solidité Faut-il une version en Anglais ?

le projet de diffusion hors monde x est souhaitable. mais si la méthode consiste à poursuivre la glorification de ceux qui ont tous mes pouvoirs et non les savoirs ou les valeurs, ce sera bien pire que maintenant. Le projet n'a de sens que sur des sujets spécifiques à l'unité polytechnicienne: science, monde de l'entreprise, etc;

Je vois bien l'intérêt d'une publication de trés haut niveau, mais peut-être qu'un numéro annuel suffirait pour cet aspect prestige et image de marque. Le choix d'un petit nombre d'articles de ce niveau serait moins difficile que si c'était à faire mensuellement. Il ne me semble pas souhaitable d'organiser la publication d'articles de fonds autour de ce seul objectif de prestige extérieur. Si telle était l'orientation,la censure des rédacteurs de la J et R (que j'ai malheureusement eu à subir une fois), ayant de plus en ligne de mire cette question de prestige, à de forte chance de devenir néfaste. Le rythme annuel, comme le bal, éviterait d'assécher la Jaune et la Rouge de bons articles, peut-être moins glorieux, mais ouvrant les X vers d'autres sujets que ceux qu'ils pratiquent tous les jours. L'un des intérêts de certains articles est de disposer d'informations que l'on ne trouve pas dans les revues et livres "classiques" dont on dispose par ailleurs. Seraient-ils publiés dans la revue de prestige ? La présence d'articles de fond "off record", mais pas trop longs, est à conserver pour la lecture au coin du feu, en réservant les petites nouvelles de la communauté à une publication via Internet avec des possibilités de recherche (Cf: ci-dessous).

Le questionnaire est non pertinent car trop simpliste et obéissant à une logique binaire. C'est un questionnaire ne laissant pas d'autre lattitude que de répondre "j'aime" ou "j'aime pas" Ou bien alors le "sondé" est amené à se poser des questions et à proposer lui-même des réponses donc à réfléchir sur un projet éditorial détaillé. exemples de questions: revue en français, en anglais, bilingue ? revue à vocation européenne ? (d'où la question précédente) les questions de société étant complexes et nécessitant une approche pluridisciplinaire, je me demande si la communauté polytechnicienne est sufisamment riche en toutes les diciplines concernées (je pose la question, mais je n'ai pas la réponse) la question des objectifs est inséparable de celle des moyens, financiers bien sûr, mais aussi organique.Sur quelle base se fera la répartition du nombre des articles dans les domaines techniques et du management, par exemple? Comment sera garantie la pluralité des opinions dans le comité de lecture (s'il y en a un) ? etc. Peut-être les initiateurs du projet se sont inspirés d'un ou plusieurs modèles existants? si c'est le cas il aurait été plus efficace de préciser ce(s) modèle(s).

Il ne faudrait pas que, sous prétexte de "rigueur", de "haute tenue" etc., la revue publiât des articles ennuyeux ou prétentieux. Viser la clarté, la simplicité, la sobriété, tout autant que la qualité.

Traiter des grands problèmes du Monde, en consacrant un exemplaire entier à des sujets tels que: -comment rendre plus efficace la lutte contre la pauvreté dans les pays en développement -pollution, développement durable

La crédibilité d'une telle revue, en même temps que son utilité et son originalité,ne saurait être maintenue longtemps, qu'au prix d'une très grande fermeté de son comité rédactionnel pour en préserver face aux influences voire aux pressions, une libre expression rigoureusement argumentée sur les sujets abordés. Aussi, pour certains sujets légitimement controversés, faudra-t-il prévoir, si l'occasion le réclame, la possibilité d'un débat contradictoire et courtois, qui présente loyalement les arguments et raisonnements des thèses en présence. Un exemple pourrait en être fournit par les articles remarquables de notre ancien Maurice Allais (31) dans la Jaune et la Rouge, qui font écho à ses dernières communications dont il a obtenu la communication dans les CRAS de l'Académie des Sciences, à propos des mesures expérimentales réalisées par le grand physicien américain Dayton Miller. Sinon, cette nouvelle revue risque de faire double emploi avec celle des anciens élèves de l'ENA. Ce serait là une régression par rapport à la situation actuelle

une revue de ce type me semble présenter plus d'inconvénients que d'avantages, il serait plus judicieux de lancer une revue thématique sur un thème comme "développement durable" , que l'X soutiendrait de façon ostensible

Prestige, haut de gamme, ambition, sont des expressions qui ne m'excitent pas outre mesure, pas plus que l'image de la communauté polytechnicienne. La J et la R d'aujourd'hui : sûrement intéressante, mais pas le temps de la lire, alors je stocke, mais pas de place... Des sujets qui me plairaient : - sommes-nous condamnés au progrès? ("condamnés" au sens le plus fort) - éducation , formation : une vraie régression? ou un processus puissant de protection des familles déjà nanties... - français, orthographe, qui est propriétaire? qui légifère? qui en souffre? - faut-il chercher à sauver la planète? de quoi? - reconstruire la société sur une meilleure éducation de tous, un apprentissage du jugement personnel. - ...

insister (expériences vécues) sur ce que la rigueur scientifique (et tout simplement l'honnêteté intellectuelle) peut apporter dans l'exercice des responsabilités managériales, politiques, etc.... Faire ainsi (en creux) la critique d'une culture de l'à_peu_près, du vite fait, et du paraître.

Je pense qu'il ne faut pas oublier l'aspect "forum" et donc donner une large place aux lecteurs et aux discussions, comme dans "La Recherche"

a) Faire un Magazine trimestriel UNIQUE ayant deux Sections bien distinctes ... Les "Informations Polytechniciennes" font partie du "contenu de Prestige" ...! b) SURTOUT ne PAS "cloner" , ni en contenu, ni en style, le Magazine d' HEC ... !!!

Des articles centrés sur le rayonnement de l'X : contribution aux grands problèmes de société, présence au gouvernement, essaimage dans les divers pays, avec une partie historique et une partie d'actualité. Des articles sur la place tenue par les X dans la haute administration et les grands groupes. La contribution spécifique d'une formation scientifique à l'administration publique (notamment dans les fonctions de contrôle et d'administration) et au management.

Voir une revue que j'avais beaucoup aimé "gérer et comprendre" (école des mines) qui me paraissait tout à fait remarquable dans son contenu et dont on pourrait s'inspirer

Un billet d'une personalité connue et appréciée de notre lectorat (plus que reconnue par la communauté Polytechnicienne) Un billet sur les thèmes de la vie courante, de la société. Un contenu dont l'objectif est que la presse s'en empare de temps en temps Quel auteur? A vous de voir qui est le plus apprécié (propos périodiques attendus avec curiosité) de notre lectorat cible Exemple OK: Jacques Attali, Valery Giscard d'Estain Exemple à éviter: le Directeur ou le Président de l'Ecole ou le Président de l'AX

Le regard des X sur le monde, ce n'est pas seulement scientifique, économique ou corporate. Que les X s'expriment aussi sur des questions d'humanisme, d'éthique, de culture, en y apportant une vision empreinte de leur formation et de leur rigueur. Une façon de sortir des clichés de l'élite carriériste, théoricienne, hautaine, etc. à travers lesquels nous sommes parfois vus. Une façon aussi de faire ressurgir un "esprit polytechnicien" de leadership moderne.

réfléchir à une évolution de nos sociétés vers une civilisation plus humaniste, remettant l'argent à sa place, tournée vers des valeurs de devoir et de service envers l'humanité et le bateau qui la transporte...

tirer plus parti des talents dormants un exemple: l'Europe s'elargit, des X (et des non X que ces derniers frequentent) pourraient temoigner a partir de leur pays d expatriation-a Budapest il y en a eu jusqu a 6 ou 7 a certains moments les themes de la mondialisation, celui de la securite, celui du multiculturalisme d entreprise sont sans doute a prendre en compte avec d'ailleurs des sujets plus scientifiques qui aujourd hui me depassent mais qui m'interessent (la formation continue des generations du baby boom arrivant a l heure de la retraite en pleine forme me semble un creneau a envisager) amicalement

Le questionnaire que je viens de remplir me semble bizarre. Ex : question 3 ci dessu sur le contenu - comment avoir un avis, il n'est pas décrit. Sur la future revue : attention à ne pas faire du luxe coûteux, lourd (poids du paier glacé), malcommode, et que l'on jette sans les lire. (cf. par exemple les "publications" de la Fondation de l'X) Prendre exemple sur les revues du MIT ou de Harvard, par exemple.

Donner une place plus grande aux nouvelles technologies. Décliner certains articles sur le site de l'Ecole. Moins de place à l'historique et plus à la prospective. Ouvrir la revue à des contributions étrangères (prestigieuses)

Focaliser sur les visions d'avenir porteuses d'innovations et les freins y afférents. Amélioration des conditions de vie et des chances de développement des pauvres sur cette planète. Valoriser toutes les interfaces et toutes les synergies.

il faut garder les articles de fond qui sont en général excellents et forment l'intérêt essentiel de la revue.

La périodicité trimestrielle est trop faible. La matière ne manque pas et le niveau général des articles actuels dépasse nettement celui des revues des autres écoles d'ingénieurs. Il faudrait se comparer aux revues des meilleures écoles de commerce ou de l'ENA Un autre bon exemple serait la Revue de Défense Nationale, même si les thèmes différent.

de mon point de vue, l'écueil principal à éviter est que les textes de la revue fassent double emploi avec d'autres revues professionnelles par exemple. Il faut bien voir que la majorité d'entre nous est déjà fortement sollicitée par de nombreuses revues spécialisées, et que le temps consacré à de telles lectures est limité. Il faut donc que les articles aient un caractère original par rapport à ce que l'on peut trouver ailleurs.

Il faut cibler les jeunes et en particulier les jeunes étudiants et les jeunes ingénieurs Il y a en France un déficité d'information sur la technologie. la revue evrait contribuer à combler ce déficit en ne restant pas trop "élitiste" et centré uniquement sur les "SCIENCES" réputées pures par opposition à la technologie "impure"

Revue à thème sur des sujets de société préoccupants et d'actualité ex : nucléaire, pollution, développement des industries agro-alimentaires, inondations etc. Dans la mesure où bon nombre de ces sujets sont abordés de façon passionnelle,souvent à la suite d'un drame ou d'une décision de justice, l'apport de cette revue pourrait être d'analyser les éléments du dossier, d'argumenter en apportant une réflexion scientifique, rationnelle et constructive.abordés avec une méthode qui serait moins passionnelle ..

Il nous faut avoir de l'ambition pour cette revue : en faire une publication de référence. La difficulté est qu'il ne sera pas possible d'être excellent dans tous les domaines dans lesquels les X interviennent : Management public, recherche, industrie, finances, maitenant biologie... Il faudrait donc avoir une "stratégie" de positionnement correspondant aux secteurs ou métiers dans lesquels on veut que les X soient reconnus... Sur ces quelques domaines (ce sera dur de choisir), il faudra ouvrir la revue à des auteurs non X, voire étrangers. Par ailleurs, on peut se demander si l'on ne devrait pas constituer, autour de l'Ecole, de ses labos de recherche, de la revue, un véritable "centre de ressources", un peu à l'image de ce que fait Harvard avec la HBR et son site internet...A cet égard, un petit "benchmarking" auprès de quelques institutions prestigieuses (harvard, MIT, Berkeley) s'impose.. Mais peut-être l'avez vous déjà fait.

Une revue critique des principales revuesnationales, voire européennes

Les mots du mail 'revue iconoclaste, rigoureuse, originale ' résumaient au mieux le concept que je soutiendrais, et ils pourraient figurer sur la 1ère ou 4ème de couverture, comme un engagement éditorial. Garder un thème principal à chaque numéro, avec 4 à 10 contributions dont 1 à 3 de non X, plus quelques articles accrocheurs annoncés sur la 1ère de couverture, complétés systèmatiquement par des réponses + brèves de 1 à 3 contradicteurs sollicités. Inclure au moins 1/3 d'auteurs de chaque sexe, et au moins étranger(e) à chaque numéro. Inclure un descriptif de contenu en français en 1 page,complété en fin de numéro par sa traduction en anglais, allemand, espagnol, italien, arabe, les 5 langues des voisins de la France. Prévoir rubrique de compte-rendus de lecture d'ouvrages décapants/originaux/utiles, d'auteurs X et non X. PS: j'ai écrit ça avant d'avoir lu vos paragraphes in fine.

L'ouvrir aux non polytechniciens donnant leur point de vue sur les X + éventuellement des annonces (emploi, ...) Faire aussi le lien avec l'étranger (les X à l'étranger, les liens avec des écoles "similaires" à l'étranger, ...

je regrette la disparition des dossiers, généralement très bien faits et que je gardais comme documents de référence. Ne sacrifie-t-on pas à l'éphémère avec le nouveau projet?

rubriques thématiques + rubriques conjonturelles

Il est difficile de donner son avis sur le contenu alors que la description qui est faite de cette revue est aussi succincte ; je ne trouve pas d'information précise sur le contenu. D'accord pour une revue qui s'appuie sur la rigueur, mais il faut que les articles restent accessibles : éviter de tomber dans les articles de chercheurs pour des chercheurs.

Il vaut mieux quelques articles de fond, bien écrits, bien documentés, bien présentés, qu'une revue prestigieuse dans sa forme.

Il faut viser plus loin que les dirigeants économiques et politiques français ! La question sur l'aspect "formation continue" me paraît très intéressante ! Il faudrait, pour chaque thème aborder, indiquer une bibliographie permettant d'approfondir.

J'ai beaucoup de mal à répondre de manière binaire aux questions 1,2 et 3 avec une tendance pour approuver cette initiative . J'aimerais beaucoup appuyer une revue qui donne une part plus importante aux aspects internationaux (marchés , cultures , management des hommes, réseau X,entreprise sociétale ,...) et moins aux équations de Maxwell , avec un équilibre entre les dossiers d'analyse de fond et les conseils par témoignage de situation.Débats contradictoires plus que "pensée" unique .

...le pari est audacieux. Il faudra choisir le "bon registre" des interventions: être iconoclaste, prendre parti, sortir des sentiers battus et rebattus, chercher à susciter l'intérêt d'accord. Mais, encore faut-il préciser le fil conducteur éditorial. Est-ce que ce ne devrait pas être "une contribution (éventuellement originale), construite, à niveau de réflexion élevé, présentée en des termes compréhensibles par tous, à un problème de société ? Non une simple tribune d'opinions. On doit y voir le travail de l'ingénieur qui a conçu avec rigueur sa réflexion en est imprégné et la fait partager. Je me souviens, par exemple, de l'article de la Jaune et la Rouge, d'un camarade sur la surgénération nucléaire paru au moment de la décision de fermeture de Superphénix. Remarquable par la force intellectuelle qui s'en dégageait, il aurait mérité d'être lu plus tôt par un lectorat plus large et est un exemple, à mes yeux, d'article qui justifie votre projet de revue. Mais il aurait aussi suscité la polémique, les Verts (et notre camarade Lipietz) ne partageant certainement pas ce point de vue....et il faut le gérer, également au plan de l'image. Donc ambitieux car il faudra être intransigeant sur le contenu quitte à être maigre et il faudra gérer les tensions contreparties de l'intérêt que la revue suscitera. Nota: en écrivant ces lignes, je n'avais pas encore pris connaissance des commentaires, en annexe, ci-dessous. Cela se recoupe...

Des idées peuvent être prises à partir de revues comme "La Recherche", "Pour la Science", l'"Histoire", ... Je trouve par exemple que le fait de consacrer l'ensemble des articles d'un numéro de la revue à un thème donné donne certes de l'unité à ce numéro, mais présente le risque d'un rejet global si le thème intéresse moins. Une solution panachée, avec un thème à plusieurs articles, et quelques articles "divers", aurait ma préférence. Bibliographie élargie à l'ensemble des domaines : sciences au sens large, littérature, SF, policier, ... Ne pas craindre des articles de fond sur des problèmes très "politiques", avec respect de la diversité d'opinion, bien sûr (cela semble prévu)... Attention au "parisianisme", même si cette notion n'est pas forcément très concrète(remarque provinciale (et provençale)). C'est une initiative très attractive mais très ambitieuse : sera-t-il possible de l'alimenter régulièrement en qualité et quantité ? Vous y avez certainement beaucoup réfléchi. Les articles actuels de la JETR, malgré leur très bon "niveau", me paraissent toutefois un peu en retrait par rapport à cette ambition. Il faut bien sûr essayer, mais tout en "assurant ses arrières" ... Ainsi, et sans être pessimiste, il faut se garder comme solution de repli de pouvoir revenir à la situation actuelle (il ne faudrait pas qu'en cas d'échec de la "revue", il ne reste plus que le "bulletin" ...), car la JETR, ce n'était déjà pas si mal! (pardon pour cette remarque de "quinqua" !). La question du titre me semble très importante, et mériterait une réflexion très (plus) approfondie (sondage spécifique, plutôt qu'un consultant marketing (même "X" !)!)

Je n'aime pas les mots prestigieux, haut de gamme. Une revue dans le style "La Recherche" ou "Pour la Science" me paraitrait plus adéquat, avec un contenu spécifique, bien sur.

être l'occasion de débats scientifiques poser des problèmes de société introduire de l'insolite et de l'humour

Bien ancrer la revue dans la couverture des grands débats de société actuels: économiques, philosophiques, scientifiques. En faire un lieu de débats qui permette des échanges de qualité et qui échappe aux forums traditionnels. Maintenir ces débats sur un plan privé pour promouvoir la notion de communauté de pensée.

Objectifs de la revue: intégrer l'idée de contribuer à développer l'image de l'X à l'International Lectorat: penser également aux grands cabinets de recrutement/Chasseurs de têtes, publics internationaux (pas seulement Europe et Usa...penser Amérique Latine), représentations francaises à l'étranger: ambassades, milieux enseignants... Diffusion: une diffusion internationale suppose traduction en anglais...et en espagnol ? Style rédactionnel: Ok pour des articles de fond. Si ils sont techniques, les rendre attractifs à la lecture. Prévoir des articles qui comportent une dimension humaine. Une écriture et une maquette moderne.

C'est plus encore vis-à-vis de la communauté internationale que nous souffrons d'un déficit d'image. Je rèverais plutôt d'une revue qui serait à notre communauté ce que le Lancet est à la communauté médicale. (devrait-on faire une revue bilingue ?) Le dossier mensuel est en général très bien. Il ne devrait cependant représenter que la moitié des articles de fond afin de conserver à ce journal cet aspect multi centres d'intérêts qui rime si bien avec polytechnique.

. quid du rayonnement international, ie. version anglophone (me parait important)? . pas "iconoclaste", originale/attirante/stimulante/facile d'accès . des résumés d'articles, en tête des articles. .parler de l'école, de ses succès, des anciens qui ont "réussi" (R&D, entreprise, politique, social,...)

Valoriser le côté international La diversité de l'engagement des X: Entreprises, Recherche, Fonction publique,...et l'unité de valeurs (dynamisme, rigueur, intérêt général,..)

mettre en regard des points de vue opposés sur un sujet, en l'indiquant clairement

Attention de ne pas tomber dans la confidentialité par trop de "hauteur" dans la présentation ou le discours. Les idées les plus fortes (lorsqu'elles sont claires et bien comprises) doivent pouvoir etre exprimées aussi simplement que possible. Aujourd'hui, la multiplication des jargons internes à chaque discipline rendant la communication entre les hommes de plus en plus difficile.

J'ai été longtemps abonné. J'appréciais de rares articles de fond très bien faits (numéros thématiques) malgré une présentation souvent technocratique. Je me suis désabonné principalement à cause de papiers d'un niveau scientifique exécrable, ou d'opinions ambigues présentées sans discernement, bref, le manque d'un "reviewing" exigeant. Le fait d'avoir une partie "Ecole" ne me gêne pas, c'est le cas de toutes les revues de grandes ecoles ou universités. Il faut simplement que cette partie soit clairement séparée, et que la même exigeance éditoriale lui soit aussi appliquée: ne garder que ce qui intéresse vraiment anciens élèves et rayonnement de l'école. Exemples: nature de la formation, du recrutement des débouchés, accords avec les autres écoles et instituts: oui. Photo de la remise de prix au major de promo: non.

donner la parole aussi à des non-X sur les sujets de fond afin d'éclairer chaque sujet par quelques vues pertinentes développées par "les meilleurs" je me pose la question de la langue : français bien entendu, mais pourquoi pas d'autres langues la version web

Les réponses proposées aux questions posées étant particulièrement simplistes il est impossible d'exprimer un sentiment mitigé. En particulier il me semble important voire essentiel d'ouvrir cette revue au-delà des frontières cad faire participer des camarades étrangers, promouvoir toutes les actions qui montreraient la capacité (ou l'incapacité !) de notre école de s'ouvrir à d'autres cultures, sortir de son isolement franco-français et penser à une X dans l'Europe ou même le monde. La moindre expérience internationale montre l'étroitesse (au sens ouverture d'esprit) de notre formation et la difficulté à penser "autrement": il n'est qu'à faire passer des interviews (voire même un simple échange privé) pour s'en rendre compte: un étranger ne précisera qu'exceptionnellement sa formation, un français (en particulier si il est passé par les grandes écoles) ne mettra pas 5 minutes à vous le faire savoir !

Traiter les questions de manière globale, en dépassant le cadre français. Ne pas hésiter à faire connaître des points de vue/réflexions/réalisations en cours à l'étranger. Oui pour rigueur et intérêt général, d'où le besoin de traiter de grandes questions: environnement, sécurité, influence du progrès technique sur la société, etc...

Ne pas oublier - les sujets "non scientifiques" tels que la sociologie, les théories du management, l'économie (je ne parle pas des modèles à la Malinvaud) - les aspects théoriques de la politique, tels que la "Théorie de la justice" récemment présentée dans Le Monde - la géopolitique, la climatologie, la démographie, l'exploitation et l'évolution des ressources naturelles, en somme tout ce qui est de long terme... Pour les aspects scientifiques que l'on voudrait traiter, l'objectif à mon avis devrait être celui d'une vulgarisation de haut niveau, peu éloignée de ce qu'on trouve dans la Jaune et la Rouge. Attention, ne pas dépasser un tiers du contenu total, sinon on se prive de toute la cible "non scientifique". Ce serait une vraie originalité de mixer sciences dures et d'autres sujets. La définition du lectorat doit être moins élitiste que celle du contenu ! Les principaux dirigeants de l'administration, cela ne fait guère de monde. Il manque peut-être aussi la communauté scientifique ? A mon avis, ce serait un grand risque que de limiter la rédaction aux polytechniciens. On pourrait se contenter de 50 % minimum. Dans la définition des aspects traités dans la revue, il faudrait à mon avis ajouter au secteur scientifique, aux entreprises et à l'Etat, la société en général ! Le ton proposé, qui me paraît le bon, ne sera pas celui des contributions de polytechniciens : il faudra "rewriter", avec les problèmes que cela risque de poser. Il faudra positionner la revue vis-à-vis de l'international: vise-t-on au moins toute la communauté francophone ?

il faut travailler la maquette de la revue , qui est "horrible" ; pour moi , une bonne référence est la revue des HEC

Il conviendrait de ne pas avoir l'objectif d'une revue "prestigieuse". Le prestige. cela ne se décrète pas, cela se mérite. Il conviendrait également de mettre plus en avant la place du débat contradictoire, de l'échange des idées, de la confrontation des points de vue. il me parait également essentiel d'afficher notre volonté de maintenir une large place aux questions scientifiques qui demeurent ouvertes, et aux enjeux de société qui peuvent y etre associés . Il conviendrait par ailleurs de mieux souligner la contribution de la communauté polytechnicienne pour développer les sciences et l'industrie au sein de l'Europe. Enfin la revue doit impérativement rester de langue française, ce qui ne l'empechera pas d'avoir un large rayonnement international dans la mesure où la ligne éditoriale sera de très haute qualité.

Je suis un peu perplexe. Veut-on faire un "Commentaire" ou "Le Débat" dont les auteurs ne seraient que X ? Veut-on faire un "témoignages des X" ? Veut-on faire la revue de quelques "think tank" polytechniciens ? Je ne suis pas sûr qu'on accroche tellement en dehors de notre propre communauté (mais c'est le sondage qui dira si on s'abonne à la JR d'abord parce qu'on est à l'AX). Je crois nécessaire que, dans cette revue, il y ait une bonne partie sur l'histoire de l'école et des X. Je souhaite qu'y collaborent notablement des écrivains et journaliste réguliers non X. Je crois utile que le rayonnement de la revue soit également assuré par sa présence sur un site Internet, avec d'importantes possibilités de recherche des articles.

le haut de gamme doit se conjuguer avec la sobrieté de la maquette et des matières (tout en sachant etre attrayant) pourquoi ne pas avoir des encarts detachables genre petit mémo sur un sujet ? le trimestriel est pas assez frequent : il faut creer une habitude et nos calendrier ne sont pas au trimestre : par exemple avoir un numero scindé en deux.... parutions

Ouvrir à des auteurs non polytechniciens Banir tout esprit de chapelle Disposer d'un rewriting par un journaliste professionnel Avoir une section sur tout ce qui est nouvelles technologies qui aille au fond des choses techniquement et sociétalement

Je ne crois pas qu'il est facile (voire indispensable) de coller à l'actualité. Le problème de notre temps, c'est un déficit en analyses des évolutions complexes du monde et des demandes sociales et de leur impact sur les politiques, entreprises ou services. Un positionnement en terme de questions prospectives me semblerait bien combler ce déficit. Il ne s'agit pas de faire une nouvelle revue de prospective ("Futurible" est une bonne revue), mais d'imposer aux rédacteurs d'aborder ce point dans leur article. Il ne s'agit évidemment pas de présenter des courbes tendantielles (toujours croissantes), mais d'évoquer de façon un peu systématique les conséquences et limites ou questions pendantes qui invitent à une réflexion personnelle. Trop peu de monde avait lu les papiers qui montrait que les perspectives de chiffres d'affaires des e-entreprises dépassaient le PIB mondial en quelques années. Nous avons tous quantités d'autres exemples de ce genre (celui du jour étant le numérus clausus des médecins).

Il faut donner une image moins institutionnelle de l'école et des anciens élèves. Garder les articles historiques toujours intéressants (grands anciens)

La Jaune et la Rouge avait parfois une approche trop technique des problèmes

Il est très important d'expliquer ce qu'est le développement durable : "satisfaire les besoins des générations présentes sans compromettre la capacité des générations futures de satisfaire les leurs" (rapport Brundlandt 1987, qui se décline selon les trois dimensions : rentabilité financière, respect de l'environnement, équité sociale. Il y a un très gros effort de pédogagie et de communication à faire, et je pense que cette revue peut y contribuer fortement, étant donné le lectorat ciblé. Le thème du développement durable relève de l'intérêt général, c'est la vocation de l'Ecole polytechnique, n'est-ce pas ?

Cette revue devra intégrer des intervenants divers et éclectiques sans se limiter aux seuls polytechniciens. Il faut rompre avec l'image de caste polytechnicienne !!!

Les articles actuels sont trop "professoraux" : - Ils manquent de vigueur sur le fond : il faut absolument sortir de la "pensée conforme" , montrer que nous sommes capables de créativité et d'intuition en même temps que de rigueur. - ils manquent de vie sur la forme : trop longs, de style souvent technocrate. Il faut diversifier les formes de communication, il n'y a pas que "l'exposé systématique en 4 pages". Idées ponctuelles : - ouvrir une rubrique, en anglais, pour passer des articles rédigés par des associations "homologues de l'AX à l'étranger" - objectif : exposés de points de vue à l'évidence originaux pour nous français, et / ou "regards sur la France". - Ouvrir une rubrique "créateurs d'entreprise" : témoignage d'expériences réussies, en évitant de se limiter à la high-tech. Nous sommes trop peu nombreux à nous lancer... - Dans le même ordre d'idées, je verrais bien une rubrique "parcours singulier" : Tout cursus atypique peut être le signe de la créativité et du dynamisme des X. Il faut revaloriser ces parcours dans notre inconscient (nous sommes trop imprégnés de l'idée que les belles carrières se font dans la haute-administration et à la direction des grandes entreprises... or cela ne concerne pas la moitié d'entre nous). J'espère que ces commentaires vous seront utiles. Rassurez-vous, La Jaune et la Rouge est une revue de bonne qualité, la critique que j'exprime ici ne doit pas le faire oublier. Si mes mots sont un peu crus, c'est pour être certain que les idées soient exprimées clairement. Amicalement, et bon courage pour ce projet de nouvelle revue ! Patrick LAURAS X78

Permettre une ouverture à des articles venant d'X et de non X tout en privilégiant les X - permettre à ce que tous les X abonnés à cette revue puissent sentir qu'ils peuvent participer en écrivant tel ou tel article en les associant par exemple sous forme d'un petit questionnaire à remplir en début d'année en fonction des thèmes d'intérêt sur ceux qui auraient envie de publier en cours d'année

Etre associé à un forum électronique pour le courrier des lecteurs, et les réactions etc.. Traiter des sujets d'actualités scientifiques avec une logique de débats et d'explications (ex: OGM, inspection armes Iraq, Réchauffement, ..) et renseigner les sources d'informations accessibles sur le Web ("pour en savoir plus...")

Remarques de détails : - 1) sur les rubriques "culture" (théatre, spectacles) : ne servent à pas grand-chose si elles arrivent 3 mois après. l'intérêt est à la marge, si elles sont d'excellente qualité (ex, celles sur le cinéma dans Etudes) - 2) le décalage dans le temps est un peu moins important pour les rubriques livres/disques : il s'agit d'avoir / de donner des analyses profondes ... là encore, le style compte pour beaucoup, en plus du choix de la sélection(celles de Esprit par exemple) 3) le lectorat visé - doit être d'emblée international, ce qui pose le pb de la langue, évidemment. en tout état de cause, on peut viser la francophonie, et envisager sérieusement une traduction en anglais au moins. - peut inclure les universités (étrangères notamment) les centres de recherche sur l'action publique si on s'en tient à l'intérêt général (government studies aux US, etc.) ou centres de recherche scientifiques plus généralement (économie, politiques, ...) 4) le prestige de la revue est peut-être lié à celui de l'Ecole. celui-ci est une trauction de la recherche de l'excellence, dans les domaines des sciences comme dans ceux de l'administration. La revue doit refléter la valeur de ceux-ci et l'expérience de ceux-là. 5) il y a des tas d'X spécialistes ou généralistes intéressants qu'on n'entend pas beaucoup (Lagadec, d'Iribarne, institut Pasteur, ...), et d'autres qui éprouvent le besoin de fonder un institut pour être entendu ... la revue pourrait donner un espace à ceux qui n'ont pas les moyens de se payer un institut ! organiser des colloques, des travaux etc. 6) il est peut-être utile d'alterner des analyses théoriques avec des études de cas réels. Il est essentiel d'avoir un rédacteur en chef pro, une ligne éditoriale serrée, des articles bien rédigés (ou relus). ça paraît évident, mais ne semble pas si courant. Sur la méthode à employer pour refonder la JETR, quels modèles avez-vous en tête ? y-a-t-il un groupe de travail ouvert ? Je serais heureux de contribuer au projet de refonder la JETR. Bien amicalement, claude perez (X80)

Ce que j'aime dans la revue telle qu'elle est c'est la facon dont elle m'expose a des questions preocupations dont je suis tres eloigne. Par exemple je n'ai absolument rien a voir avec le marche du bois ou l'exploitation industrielle des forets. J'ai neanmoins ete tres interesse par le recent numero sur ces sujets. Il s'agit tout simplement de ne pas mourir idiot.

une presentation plus "moderne", moins difficile d'abord serieux ne veut pas dire ennuyeux ou rebarbatif

ne pas oublier de soigner la forme qui actuellement n'est pas attractive

être concret/ fact based; éviter les sujets compréhensibles que par des chercheurs, trop techniques/ théoriques

.ouvrir les colonnes régulièrement à des non X. .couvrir des sujets d'actualité de fonds, qu'ils soient scientifiques ou non.

inclure des articles de fond sur des problèmes de société (économie, social, scientifique, éthique ...) rédigés par des spécialistes du domaine, pas forcément issu de l'X.

lorsque vous faites un dossier sur un theme, annoncez le a l'avance dans la revue pour pouvoir profiter de contributions de la part de personnes que vous ne connaissez pas a priori. Les dossiers publies dans la jaune et la rouge m'ont parfois sembles rediges par un groupe assez etroit.

y évoquer des expériences de management et parcours dd'X pas uniquement dans les administrations et grandes entreprises, pas uniquement dans des fonctions scientifiques, pour donner une image plus moderne des X et de leur insertion dans le monde économique (yx par création, reprise d'entreprise, start-up,...), la jaune et la rouge donnant effectivement dans sa formule actuelle une image très conventionnelle;

Valoriser l'apport des X dans la société actuelle, au delà de leur appartenance à une communauté de formation. Montrer la liaison entre générations;

Garder l'excellente idée des numéros thématiques de la Jaune et la Rouge actuelle. Tous ne m'ont pas intéressés, mais je suis persuadé que l'impact ponctuel en est plus fort que les numéros génériques. La description qui suit cette enquête m'inquiète néanmoins quelque peu, dans la mesure où je reste dubitatif sur une vision "journalistique" des problèmes sociaux ou économiques actuels. Je pense en particulier à l'argumentation péremptoire et à la bibliographie très mince de nombre d'articles passés.

Débrider et varier le contenu.

BRAVO POUR CETTE INITIATIVE INDISPENSABLE (état actuel désespérant et nuisant à notre image ...) CI-JOINT QUELQUES COMMENTAIRES. JE SUIS INTERESSE (et sans doute un peu compétent ...) A FAIRE PARTIE D'UN COMITE PROJET ou REDACTIONNEL SI VOUS LE JUGEZ PERTINENT ! La maquette actuelle est d'une nullité affligeante ... resemble à un journal paroissial ou à une feuille de chou corpo ... du boulot en perspective -> faire bosser les meilleurs et faire les bons choix en amont ! Mots clés : qualité, modernité, puralité/diversité, vitesse de lecture, liberté. Les objectifs de rigueur "scientifique" ou de "très grande qualité" me semblent excessifs voire "paralysants" ... donc typiquement "X" ... Le contenu rédactionnel doit être vivant, varié (articles plus nombreux ... et plus courts ?) et aborder les sujets clés (social, financier, management, politique, sciences et technologie, axes de la formation à l'école) sous des angles originaux et surtout très libres (voire polémiques ou sujets à débat). Les auteurs ne sont pas nécéssairement tous X (personnalités ou profils pointus). Autre dimension : l'interactivité (sondages, réactions, création d'un site portant le nom de la revue). Ne pas oublier que le lectorat est varié (anciens élèves et lecteurs externes) ; le corporatisme ou les sciences "dures" sont à proscrire. Il s'agit d'un choix fondamental : renvoyer une image "rassurante" des "X moyens" vers eux-mêmes (sans être péjoratif ... on se comprend - c'est me semble-t-il le cas aujourd'hui) ou aux X et lecteurs + ou - leaders d'opinion ? Le lectorat "haut de gamme" est exigeant et très sollicité (je suis directeur général d'une société et mes amis X sont chefs d'entreprise ou dirigeants, banquiers, consultants ...) : cette revue doit apporter quelque chose de plus que les magazines "grand public" existants et aussi par rapport à des contenus rédactionnels d'"école" (type HBS ... je n'ai pas conscience de quelque chose de très intéressant en France), à diffusion restreinte (type McKinsey quarterly que je reçois en tant qu'ancien, publications de cercles politiques ou business). Cette publication devrait également intégrer des extraits/infos sur d'autres supports comparables existant dans le monde (papier ou internet). Enfin, ce pourrait être l'occasion d'unifier sites et points de contact - je m'y perds entre école, AX etc. Bon courage ! Et tous mes encouragements ! Bernard Flobert (X82) Directeur Général de The Phone House

Le support : on parle ici de support papier pour cette revue ou est il envisagé d'autres supports de diffusion (internet, cd rom,....) Une remarque : il me semble difficile , de traiter de sujets trés variés et d'être extrèmement pointu sur les sujets à traiter tout en voulant séduire un public extrèmement large.

Ne pas faire un contenu trop épais, ennuyeux et intellectuel, même s'il lui faut une haute tenue. Il faut quelque chose de vivant, que des non X puissent avoir envie de lire, donc par certains cotés plutôt plus accessible que la Jaune et la Rouge, tout en y retrouvant tout la qualité et l'intérêt des actuels dossiers de la Jaune et la Rouge.

Savoir etre concis et non conventionnel

Je n'ai pas répondu à la question sur le contenu puisqu'il n'y a aucune indication sur ce sujet. Mais c'est la question principale. Si l'on veut sortir du cercle privé des X il faut que les sujets en sortent aussi. Donc, pourquoi pas une revue par des X , mais pas une revue sur les X. Alors quelle peut être la ligne directrice ? L'intersection X-actualité des affaires et de l'administration ?

Il me semble que le contenu éditorial (hors infos destinées aux X) de la jaune et la rouge au format actuel remplit déjà les objectifs énoncés. Par contre, je ne suis pas d'accord avec l'idée d'une revue "prestigieuse, haut de gamme et très ambitieuse intellectuellement". Il me semble que la séparation de la Jaune et la Rouge en 2, en conservant le contenu actuel, suffirait largement à donner une image des X à l'extérieur conforme à la réalité. Pourquoi vouloir être si élitiste, et notamment sur le lectorat cible?

Illustrer des cas concrets de réalisations remarquables ou originales, conduites par des X; Editer une version en anglais?

veiller a ce qu elle soit ouverte sur l international eviter, ce qui est le defaut des dossiers thematiques, la surrepresentation des societaires des structures de conseil

Notre école est très réputés, mais elle a également en contrepartie une image négative: élitiste, crane d'oeuf, etc. Une revue destinée à des lecteurs non-X devrait particulièrement travailler ce point. Ne pas hésiter à avoir une pointe d'humour autocritique, ne pas jouer exclusivement le côté compétence, déjà reconnu, mais travailler l'image humaine. On peut par exemple imaginer des témoignages d'X "comme les autres", qui doivent aussi en baver pour s'intégrer dans le monde de l'entreprise, raconter par un X un grand succès mais aussi un vrai échec, etc. Par ailleurs, je suis éditeur de quotidiens et de magazines depuis ma sortie de l'X. Je suis à votre disposition si vous avez besoin d'un coup de main ou d'un regard de plus sur ce projet très intéressant

Il serait souhaitable d'avoir unn objectif de formation continue des anciens éléves. Par le biais d'articles ainsi que que références bibliographiques concernant un sujet donné.

La qualite de la photographie dans la revue actuelle est deplorable.

ne pas augmenter le prix de l'abonnement annuel éviter les articles racistes même sous la réserve de la responsabilité de l'auteur faire des articles de bon niveau

Commentaires de l'actualité plus d'économie

- lectorat : ajouter la communauté scientififique (sciences dures, sciences humaines...), essentielle s'il s'agit bien d'une revue "think tank" - contenu : les "nouveaux sujets" ayant vocation à diversifier l'image ne doivent pas éclipser le "fond" scientifique de l'école. Faire une sorte de revue de sciences po serait une erreur. - formule : pourquoi ne pas continuer une "JETR" mensuelle avec un contenu plus diversifié, et une sélection trimestrielle d'articles, formant la plaquette "prestige" - ou bien une "JETR" avec des articles moins liés à l'actualité, complémentaires à la revue trimestrielle NB : bien que non-abonné, il m'arrive de lire la "JETR"

Réflexions d'anciens ou autres personalités pertinentes sur l'actualité ou les grands thèmes d'intérêt générales.

Je suis abonné à la Jaune et la rouge, ainsi qu'à CPM Le Ponts. Je feuillette systématiquement CPM Le Pont et j'en lis systématiquement plusieurs articles, alors que je ne lis pratiquement pas d'article de La Jaune et La Rouge. Les articles de La Jaune et La Rouge sont difficilement abordables, trop longs.

Inclure des études de cas réelles et à jour ("case studies").

Il faut éviter à tout prix de recréer une revue faite par les X pour les X. Le projet d'une revue "prestigieuse, haut de gamme, très ambitieuse intellectuellement" me fait déjà bailler d'ennui et ne peut que contribuer à enfermer un peu plus les X dans leur monde imaginaire et leur tour d'ivoire. Il me semblerait plus intéressant de donner un éclairage vivant sur la politique, l'économie et l'entreprise en faisant bénéficier les lecteurs de l'expérience d'anciens occupant des postes de haut niveau (par exemple Jean Peyrelevade). Evitons surtout le ridicule bien français du "ça marche en pratique, mais ça ne marchera jamais en théorie". En résumé, non à l'élitisme nombriliste, oui ou pragmatisme positif.

Il ne s'agit pas seulement de donner une image. Il s'agit de mettre sur pied une instance qui peut avoir une vertu ancrée dans notre microcosme français : réveiller, éveiller, mettre le doigt sur ce qui fait mal, aller à la recherche de succès encore cachés dans des lieux de travail et de vie mais qui sont réellement vécus et qui sont "prophètiques",...Prendre la communauté française et européenne par un autre bout...La qualité intrinsèque de cette revue et de ceux qui y participent engendrera naturellement une "image". A ce titre, cette revue peut-elle ne pas être un colloque d'X...mais être une tribune ouverte sur "l'homme intégral"...De la culture, de la religion, du sens ! C'est aussi prendre l'homme par un autre bout...Aller à la rencontre des vrais difficultés, des personnes qui en bavent...Ne pas avoir peur de laisser tomber la peinture rose...N'est-ce pas tout un programme ?

La description du lectorat vise est caricaturale : - aucune ambition scientifique affichee. - les ambitions liees au pouvoir et a l'argent sont claires. Une question : que signifie de prestige ? Cela me semble dommage. L'X recrute sur un unique critere: l'adequation des candidats aux sciences (maths, physique, chimie) propose d'excellentes etudes dans ces domaines, mais ne fait pas grand chose pour que les metiers de la recherches soit financierement attrayants. (renseignez-vous sur le montant lamentable des bourses de these du ministere de l'education nationale). Un suggestion pour finir: inclure dans la revue un volet scientifique important, par exemple en s'appuyant sur les travaux de these des X qui viennent de soutenir et cherchent une place (qui grace au gouvernement vont devenir rares) dans le monde de la recherche.

S'il s'agit d'un bulletin scientifique, s'inspirer de la REE, qui émane de la SEE (Société de Electriciens et Electroniciens). Les chercheurs et enseignants de l'école devraient fortement participer.

S'inspirer de ce que Fait Harvard par exemple: - La Harvard Business Review en l'augmentant de contenu scientifique et technique - La Harvard Review

Oui à la rigueur et au sérieux voire à l'académisme à condition de laisser la place à l'ouverture sur des sujets partiellement défrichés seulement. Par exemple j'avais trouvé trés bien les articles (pourtant controversés) d'Allais. Je ne peux plus (si j'ai jamais pu)juger de qui a tort qui a raison dans une polémique scientifique de haute volée mais je suis intéressé de lire les controverses sur le sujet dès lors qu'elles sont écrites avec sérieux et respect, ce qui n'était pas le cas à la fin où les esprits s'echauffaient. Si il doit y avoir un paragraphe "science pure" dans cette revue il convient d'avoir un comité de lecture "costaud" pour pouvoir investiguer un peu sur le fond (et éliminer ce qui est trop farfelu ou trop "équationneux")et permettre l'expression d'avis divergents dans un esprit d'ouverture et de respect mutuel. A part ça je vois bien différents grands chapitres qui reviendraient de manière récurrente sur un an ou plus de manière à créer une sorte de forum sur les sujets en question. Ce à quoi je pense comme chapitres : "économie", "sciences du vivant", "physique fondamentale", "mathématique", "management", "sciences humaines", etc. Pourquoi pas également un espace "vulgarisation" ou des concepts complexes pourraient être expliqués sans équation avec des mots de tous les jours (pour beaucoup les équations sont loin tandis que l'intérêt reste proche). Quelques exemples de sujets "Gödel expliqué au profane", "La relativité générale expliquée à Mr Tout le monde", "La mécanique quantique pour le commun des mortels", etc. Pour une telle rubrique de vulgarisation il faut là aussi des rédacteurs de haute volée et un comité de relecture charpenté. A part ça comme vous n'arriverez pas à vivre sans pub tachez de la rendre la plus discrète possible, actuellement elle pollue pas mal la JETR.

Chercher à avoir des grands "noms" même s'ils ne sont pas polytechniciens

Lectorat : pourquoi pas les universitaires et les chercheurs (qui devraient être concernés par le contenu) Contenu : "il surprendra, sera alerte, vivant parfois impertinent. Il se rapprochera du style journalistique" : cette approche du ton ne me semble pas appropriée, la "dérive journalistique" étant pour moi à l'opposé de la qualité du contenu (illustration : "Science et vie" vs "Pour la science")

S'inspirer des revues de type Harvard Business Review, qui inclue aussi des articles de reflexion de personnes non diplomées d'Harvard mais dont les reflexions peuvent être d'interet pour la communauté des lecteurs. Ne pas se contenter d'articles scientifiques mais inclure aussi des reflexions du type business, organisation, corporate management... Pourquoi pas une Version Anglaise (renom de l'ecole...)? Pourquoi pas une version online des articles (payée par subscription par ex.) voir: http://www.hbsp.harvard.edu/

Les articles de la jaune et la rouge sous leur forme actuelle me semblent trop pointus pour une diffusion plus large que la communauté des X.

Personnaliser le contenu en faisant référence au parcours de Polytechniciens

les dossiers thématique recellent quelques perles, mais pas toujours (points de vue iconoclastes, vision très pointue...). Il faut cultiver cela en étant plus exigeant avec les auteurs (éviter le confort de la présentation institutionnelle), y compris les non X. S'inspirer du niveau de "Esprit" ? Ne faudrait-il pas une revue bilingue français-anglais ? Il faut y mettre les "In memoriam"

Etant donné le descriptif du contenu je m'attends à retrouver des articles longs et fastidieux tels qu'on les trouve en général aujourd'hui dans la Jaune et la Rouge. Ils sont sans doute "ambitieux intellectuellement", mais je n'ai pas et je doute que la plupart des camarades de ma génération aient le temps de les lire. Ce support serait pourtant idéal pour offrir à certains camarades le moyen de partager leur expérience de façon moins formaliste et plus attractive.

Plus d'articles de fond sur les nouvelles théories scientifiques, économiques etc.

Se rapprocher plus du monde économique et de l'entreprise

Pour atteindre son objectif, il faut instituer un comité éditorial ayant pouvoir de décision sur la parution, et constitué d'experts reconnus des différents domaines traités, X et non X. Ce comité doit être international, avec des membres académiques et de l'entreprise. Il faut bannir les articles de camarades "amateurs éclairés" sur les sujets. Cette revue doit être le reflet de la recherche et de l'innovation dans les domaines de compétences de l'Ecole, sciences "exactes", sciences sociales, gestion... Cette revue doit être résolument ouverte sur l'international et l'europe. Pourquoi ne pas la publier en anglais ?? Elle doit être dans les domaines de compétences de l'Ecole et pour l'Europe ce que la Harvard Business Review est aux US.

Comme souligné dans l'annexe, il me parait important de ne pas la positionner comme "la voix des X" mais comme une revue regroupant des points de vue individuels garantis néanmoins par une grande rigueur et éthique éditoriales, sur le mode du "Débat" ou de "Commentaires" Les contributions pourraient résulter aussi de tables rondes entre X et autres sur un sujet donné, ou alors rendre compte de travaux de commissions "ad hoc", donc à choisir, planifier et organiser Si l'on veut que cela marche il faudra prévoir des moyens permanents.

Je partage complètement l'objectif d'intoduire une diversité dans la revue, en phase avec la diversité de la communauté polytechnicienne. Force est de constater qu'aujourd'hui (ce qui explique que je la lise peu) elle a un caractère très technocratique, je dirais meme rébarbatif pour tout non spécialiste du sujet traité. Il se trouve que je travaille dans l'urbanisme ; c'est un domaine où par définition, on ne peut aborder les sujets techniques sans s'intéresser en parallèle aux dimensions humaines, sociales et économiques de la ville.

Je suis d'accord sur le principe. Mais par contre les spécifications (voir ci-dessous) sont encore trop vagues pour que je puisse répondre aux questions 3 4. Le principal reproche que je ferais à la Jaune et la Rouge est sa complête opacité dans le choix des thématiques ainsi que des articles illustrant ces thématiques. La procédure qui me semblerait normale serait que chacun puisse faire des propositions de thèmes, que ces propositions soient diffusées suffisamment à l'avance(dans la revue, sur un site web), et qu'il y ait vote, ou dans un comité éditorial ouvert à tous les membres de l'AX, ou par internet. De même chacun devrait pouvoir proposer des articles sur les thèmes sur lesquels il s'estime compétent et le comité de rédaction aura pour fonction de sélectionner les meilleurs résumés. C'est en résumé le mode de fonctionnement de toute revue qui se veut scientifique. Si l'on reste avec le système de co-optation opaque actuel, rien ne changera quant à la renommée et au prestige de la revue.

L'heterogenite et parfois le manque de coherence entre les articles de la Jaune et la Rouge actuel devra etre corrige dans la nouvelle formule. En revanche il me semble opportun de conserver l'idee de publications organisees autour d'un theme central.

Ne pas perdre de vue ce qui fait le charme de la Jaune et la Rouge : des articles scientifiques de haut niveau.

- donner le profil d'X "atypiques" ou ayant réussi - créer un comité de lecture pour sélectionner les articles (éventuellement comité différent selon les thèmes) - archiver les numéros anciens et mettre à disposition via internet car les articles sont en général de très bon niveau et doivent viser à faire référence dans leur domaine - distribuer une synthèse / introduction du numéro mensuel par mail (format pdf par exemple) - réaliser des entretiens avec des personnalités variées - améliorer la mise en page : plus aérée avec des graphes / photos afin de rendre l'ensemble plus lisible - envisager une traduction en anglais de certains numéros spéciaux - envisager une "approche" commune des numéros spéciaux : un angle "scientifique" du thème traité, un angle "business", un angle "humain", un angle "historique" ...

Revoir la couverture!

Je soutiens tout à fait l'orientation prise, en particulier montrer la diversité des métiers et filières suivies par les X en France et à l'étranger. La revue devrait être un fin mélange entre articles de fond/thématiques, réflexions sur l'actualité (et comment les X y contribuent), et témoignages d'X sur leur expérience professionelle. J'introduirais bien quelques pages en anglais et la participation des nouveaux diplomés étrangers. Cette revue doit être un vecteur de l'image et du rayonnement international de l'X.

Par pitié, plus d'articles fleuves et rasoirs sur des sujets vraiment peu excitants ! Pourquoi pas une ambitieuse revue source de nouvelles idées, aux avant-postes de la réflexion sur la société de demain, une espèce de think-tank qui serait le pendant des clubs de réflexion. Aller voir ce qui se fait ailleurs qu'en France serait vraiment nécessaire.

Je suggererai: - de traduire les articles an anglais et/ou d'accueillir des articles an anglais pour atteindre un lectorat internatinal. - demander des articles de scientifiques, chercheurs, economistes sur des sujets d'actualites - differentes sections: sciences appliquees, sciences fondamentales, sciences sociales, economie, management.. - resumes et exposes thematiques et references pour approfondir

Ne pas oublier la communauté scientifique (aussi bien en ce qui concerne les sujets que la diffusion).

Attention à bien veiller à la diversité des opinions développées lorsqu'elles peuvent avoir des connotations philosophiques, politiques, religieuses, etc ... Veiller à ce que ce ne soit pas si rigoureux intellectuellement que cela en devienne indigeste.

Il faut à tout prie éviter la création du revue pédentante accécible à une élite d'intelectuels déconnectés de la réalité contidienne... C'est le reproche qui existe parfois déjà dans le traitement de certain sujets pour la jaune et la rouge actuelle.

je ne pense qu'il soit très intéressant de mettre l'accent sur les "responsabilités managériales des X". J'ai personnellement pas mal évolué au sein des communautés scientifiques et managériales. Les premiers sont objectivement plus intéressants pour construire une revue, les seconds ont un rôle essentiel dans la société mais n'ont pas grand chose d'intéressant à dire et je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de chose à construire sur les expérience des managers. Privilégier dans "Jaune et la rouge" les expériences des managers au détriment des expériences des scientifiques et des administrateurs de l'état me paraît une mauvaise idée similaire à celle des émissions de télévision où l'on demande à un chanteur ce qu'il pense de la politique. Un chanteur est fait pour chanter (non pour penser !), un manager pour manager (non pour écrire!)

Une rubrique legere (humour...) serait bienvenue pour montrer qu'on ne se prend pas trop au serieux.

Une revue capitalisant sur le savoir-faire de l'X c'est bien. Mais vouloir faire que dans le "haut de gamme intellectuel", c'est un peu trop élitiste. Et je crains que cette revue soit comme la Jaune et la Rouge actuelle destiné à un cercle restreint des lecteurs contrairement aux objectifs annoncés. Il faut trouver l'équilibre entre des articles de fond à haut contenu intellectuel (articles existant actuellement dans la Jaune et la Rouge) et des articles de moindre envergure mais d'actualité. Ce qui pêche aujourd8217;hui dans la Jaune et la Rouge, c8217;est que le niveau des articles autres que les articles de fond est très bas. Et lorsque on n8217;a pas le temps ou le loisir de se plonger dans les articles de fond, la Jaune et la Rouge est inintéressante.

Il me parait très important je garder la source de sang neuf (i.e. les jeunes promos qui arrivent chaque année) pleinement associée à cette revue.

Avoir une partie ou toute la revue en Anglais. La revue se doit de developper une image et une reputation internationale. Utiliser non seulement les anciens eleves, mais les enseignants de l'Ecole pour contribuer a des articles.

aspects recherche à intégrer

..informer la communauté X des sujets des numéros à venir afin de recueillir des articles plus variés sur un sujet donné (et qui ne viennet pas forcément des "professionnels" du secteur.

Concernant les articles, la ligne editoriale doit clairement empecher que rigueur rime avec exposé exhaustif des problematiques abordées (et donc eviter l'ecueil de certains articles de la JR developpant en longueur des sujets de specialistes). Dans le sens de l'ouverture internationale, il faudrait peut-etre envisager une mise en page laissant la place à des traductions ou "synthèses" en anglais des différents articles.

attention tout de même à ne pas vouloir être original à tout prix, au risque de remplacer un cliché par un autre ! ce serait bien que le titre continue à être un clin d'oeil à une tradition.

Inutile de conserver les petites rubriques qu'on trouve dans n'importe quelle revue (livres, disques, jeux mathematiques etc). Pour que sur un sujet donne, la revue reflete vraiment la diversite des points de vue des X, il faudra que le theme de chaque numero soit annonce suffisamment a l'avance dans le bulletin. Sinon, ce sera un comite qui decidera de l'opinion supposee de la communaute.

Essayer de dénicher auprès des camarades ou à l'extérieur de la communauté X des initiatives ou des réalisations significatives qui font avancer la société ou l'économie. En particulier, une rubrique "vu ailleurs" pourrait nous ouvrir les yeux sur des façons de faire à l'étranger qui pourraient être utilement appliquées en France.

- résumés des articles en anglais (favorise une diffusion internationale - universités ou davantage) - contributeurs X et non-X, pas nécessairement 50/50 - cadrage cible : "Revue", vitrine technologique, "la vie des X", un peu de tout ? cf. notamment le positionnement des revues de grandes universités étrangères (MIT, EPFL) qui se servent de leur revue à la fois pour attirer des étudiants, pour valoriser leurs initiatives industrielles, etc. Pas nécessairement pour faire "réfléchir la société"

Une revue avec seulement des numéros thématiques sur les grandes questions des sociétés d'aujourd'hui et de demain. Une revue qui ne soit pas seulement ouverte aux articles d'X. Une revue qui encourage les articles écrits à plusieurs et incite les collaborations entre organismes, entre pays. Une revue qui fasse une grande place aux problèmes de développement durable. Une revue interactive qui permette: - que chaque X puisse proposer un thème ou son apport à un numéro thématique (un article, la coordination d'un numéro sur un thème qu'il connaît bien, la relecture d'un article, la participation à un comité de numéro). - qu'à chaque projet de nouveau numéro, chacun soit consulté par mail (s'il est d'accord) pour qu'il puisse proposer sa contribution ou qu'il propose des noms de personnes "callées" sur le sujet. Voila...

- les rédacteurs devraient rester majoritairement des X - la revue devrait également viser un lectorat étranger, quitte à être publiée dans une version en anglais.

...L'image de l'Ecole est marquée par le but inflexible de ne s'adresser qu'à une élite. Il est temps de traiter des grands problèmes de la société française et de l'Europe. Si l'on veut réellement renforcer l'image de l'Ecole, il faut impliquer un plus large public français et étranger et apporter un éclairage utile dans les débats de société qui marque notre temps concernant la technique, les sciences, l'organisation de l'entreprise... Un débat important, dans lequel l'Ecole pourrait aujourd'hui participer est par exemple la définition scientifique, sociologique et économique de la notion de développement durable. Mais c'est un exemple parmis d'autres. Cordialement P. M. M'baye PS: Voter annexe va dans le sens de mon commentaire et devrait figurer plsu haut mais je souligne la nécessité de sortir d'un certain ghetto élitiste.

1. Il me semble qu'il faudrait retenir regulierement une ou l'autre thematique de façon suivie sur plusieurs n° et inclure des points de vue de chercheurs/intellectuels/militants, sinon la revue court le risque de n'etre qu'une n-ieme tentative de revue cherchant a eclairer les dirigeants au gré de l'actualité et de façon purement "cartésienne" 2. bien veiller a la pluralité des expressions, y compris regulièrement dans des spheres qui ne nous sont pas familières : associations particulièrement actives ou engagées (environnementalistes, ONG, "sans papiers", gays...), mouvements religieux, mouvement alter mondialiste, etc

Participations de personnes d'autres horizons que la communauté des X aux thèmes traités par la revue. Il me semble plus important de montrer que la communauté des X sait animer une réflexion, de par ses expériences nombreuses, que de prétendre apporter des réponses ou un enseignement.

A lier à la revue X-Passion, car les jeunes promotions apportent toujours un regard neuf.

Conserver des problématiques appliquées. ps : actuellement je ne lis pas la JETR pas manque de temps. Je ne me suis pas réabonné pour cette raison.

Les thèmes abordés dans La jaune et la Rouge aujourd'hui sont la plupart du temps issus des activités "historiques" de l'économie, c'est à dire en majorité "industrielles". Le fait d'intégrer dans une revue d'autres composantes (economie, finance, management, questions de société) avec une vision "non corporatiste" est à mon sens un axe de développement très appréciable pour la revue. Bravo donc pour cette initiative ! Dernière remarque : plutôt que d'avoir des articles juxtaposés et relativement succints sur un même thème, je privilégierais aussi dans la nouvelle formule des points de vues différents en réponse à une même question, voire des confrontations de deux personnes au sein d'un même article. Enfin, les retours d'expériences sur des parcours professionnels sont toujours interessants !

Je crois qu'il faut conserver une forte marque scientifique dans la teneur et le contenu de cette nouvelle revue. C'est notre spécificité.

Il faudrait avant tout une maquette plus moderne. Les sujets sont des sujets de fond, donc pas facile à lire, mais ce n'est pas pour cela qu'il faut faire "Paris Match"... En bref, il faut plus changer la forme que le fond. Je suis tout à fait d'accord sur l'idée d'en faire une revue plus ouverte, et de séparer la vie de l'école (qui m'intéresse) des articles de fond. Par ailleurs, il faudrait plus utiliser internet, l'e-amil, etc: je veind de plublier un article, j'aurais bien aimé avoir un exemplaire électronique.

En general pour la J et R, la selection des articles devraient etre plus rigoureuse (possible si trimestriel). Souvent je ne lis pas la J R a cause des choix dominant de themes hors de mes centres d'interets et dans le cas ou je lis la J R, je suis souvent decu du manque de diversite des points de vue (effet monoculture de la formation post-X ou administrative ?)... Je ne considere la JETR que parce qu'elle fait partie de la coti AX. Les details donnes plus bas sur la nouvelle revue appellent le commentaire que l'objectif apparait tres ambitieux et le risque d'avoir l'AX deriver vers des interventions politiques partisanes plutot grand... On a vu dans les annees passees une critique d'un livres d'extreme-droite faire accuser la communaute X de soutien politique a ces tendances avec des effets desastreux.. La visibilite de certains X a beaucoup d'effet sur l'image de la communaute X et jusqu'a quelle point une revue pourrait-elle renverser ces tendances ? De plus, les societes sont difficiles a chiffrer, encore moins "demontrer"...

1) On pourrait rattacher cela à une fondation, à créer, type fondation à l'américaine (ou fondation St-Simon..., ou fondations que veut aujourd'hui créer l'UMP), mais qui aurrait l'avanatge d'être indépendante politiquement. 2) Pour être lue par lectorat viser, il faut que les X puissent construire une image d'intellectuels, concurrencçant les énarques, et que nous n'avons pas à cejour. La revue est un bon intrsument, si elle est reliée à une fondation, à un lieu d'échange , qui peremtte de faire témoigner d'autre horizon professionnels. Par exemple les groupes X (j'ai l'expérience de X-Banques) pourraient être mis à contribution pour créer de véritbales groupes de réflexion sur des sujets de sociétés, destinés à influencer les décisions notamment politiques. 3) Sur la volet entreprises/managériale, il faudrait des cas concrets de réalisation, permettant de montrer des solutions originales, mais aussi... que les X sont à des postes clés.C'est à mon avis important en terme de promotion externe et également pour être écoutés des chefs d'entreprises ou grandes entreprises. 4) Volet international : au moins un sujet par revude devrait avoir été traité en "partenariat" avec soit une revue similaire de grande université européenne ou américaine, soit des responsables (politique, entreprises)implantés hors de France.

Intellectuel ne veut pas dire ennuyeux...

Conserver des numéros thématiques permettant de faire le point sur des questions précises avec de multiples points de vue

Je pense qu'effectivement, c'est potentiellement un moyen de peser dans le débat public et privé sur un certain nombre de sujets. La diversité du lectorat incitera à une plus grande richesse des contributions (il faudra aussi être plus sélectif dans les contributions).

Difficile d'aborder de grands sujets, d'actualite, avec une neutralite politique... Comment cette neutralite, ou cette necessaire absence d'impartialite, sera-t-elle geree? En donnant la parole a plusieurs sensibilites? L'X pese peu dans le monde face a de grandes Universites prestigieuses (Cambridge, Berkeley, etc.). Pourquoi ne pas associer a ce projet d'autres ecoles d'excellence, francaise (ENS litteraires et scientifiques) et europeennes? Ce que je n'aime pas dans les dossiers de la Jaune et la Rouge c'est quand des ingenieurs pensent passer pour des grands en apportant une contribution, tres technique, ou trop immature, souvent rebarbative. N'a pas la plume riche qui veut, et j'espere que les grilles de selection des contributions seront meilleures... N'oubliez pas "le courrier des lecteurs", ou quelques pages d"expression libre". Bonne chance!

Insister sur la diversité des parcours, des personnalités,des secteurs d'activité pour casser l'image "convenue" Valoriser les X placés dans un contexte de concurrence, de performance, d'innovation ou d'originalité de pensée. Il est souhaitable que la diversité et l'excellence qui sont réelles intègrent l'image de la communauté.

Associer davantage les actuels élèves par une rubrique systématique publiant des articles d'élèves. Ceci pourrait permettre de les rendre conscients plus tôt de l'importance de s'impliquer dans l'AX. Certains ont parfois l'impression que c'est la revue des Anciens, alors que c'est aussi la leur.

Pour refléter la diversité des points de vue (sans y sacrifier de la rigueur) ce serait bien d'essayer d'ouvrir des débats complexes en publiant simultanément deux points de vue argumentés mais fortement contradictoires dans un même numéro.

Focus sur l'avenir de l'X et des X: - formation des elites: comment ameliorer l'X en tant qu'institution d'elite, face a des competiteurs americains, europeens, asiatiques, souvent bien plus mondialises et proches des realites d'aujourd'hui (marches, societes, etc.)? - international: l'X doit se penser dans une dimension europeenne et mondiale, notamment asiatique - mise en avant de temoignages vecus d'X originaux, et non des X presentes comme "des scientifiques rigoureux, exerçant des responsabilités de nature technique ou technocratique, dans l’Entreprise ou dans l’Administration, souvent éloignées des réalités humaines, sociales ou commerciales." . M'interesse la vie et l'opinion d'invididus, qui ont su demontrer des qualites de leadership, de creativite, d'originalite, d'entrepreneurship. Non ceux qui ont suivi des chemins convenus. "

La cohérence du paragraphe en fin de questionnaire me paraît contestable. Comment en effet demander des artciles iconoclastes et courageux pour susciter un débat, s'ils ne peuvent s'appuyer que sur des arguments indiscutables ? Au contraire, ce sont des prises de position engagées, argumentées, mais contestables comme tout ce qui est engagé, qui pourront nourrir un "laboratoire d'idées" comme cette nouvelle revue semble avoir l'ambition de l'être. Par ailleurs, je ne suis pas au fait du fonctionnement actuel de "la jaune et la rouge", mais il me semble souhaitable que la revue en gestation se dote d'un comité éditorial d'une grande diversité (... enfin, parmi les X... : âge, activité professionnelle (ou extra-professionnelle), lieu de résidence) afin d'ouvrir au maximum le champ des thèmes traités et surtout des points de vue présentés. Il est souvent regrettable que les thèmes traités dans la jaune et la rouge ne soient qu'une succession d'articles techniques assez froids, conformistes, et obéissant parfois, on ose à peine le dire, à ce qu'on baptise parfois la "pensée unique". On peut aussi envisager que ce comité éditorial s'établisse en "comité de lecture", non pour censurer, mais pour maintenir un niveau de qualité conforme aux objectifs énoncés ici, et rejeter sans pitié des articles n'obéissant pas aux règles amibitieuses que vous souhaitez établir. Le comité éditorial devrait avoir pour mission principale de rechercher l'expression la plus large et la plus diverse, parmi la communauté polytechnicienne notamment.

L'objectif me paraît dans le fond très bien mais trop prétentieux et trop élitiste dans son message. Je préfère que l'objectif soit penser comme un témoignage proposé aux lecteurs que comme un prestige clamé ! La richesse de la communauté des X est la diversité des origines, des sensibilités et des expériences professionnelles de chacun. La revue des X doit en être le témoignage vivant et humble!C'est le parler vrai, l'objectivité et la simplicité des articles qui seront les plus efficaces pour témoigner de la richesse de la communauté. Cette revue sera d'autant plus rayonnante que tout lecteur non X se sentira concerné par les thèmes et les expériences présentés. Pour rayonner utilement et efficacement, c'est le fait : - de s'appuyer sur des expériences vraies de plusieurs anciens ou non avec une confrontation des différentes idées, - de présenter des articles issues de confrontation d'anciens de différentes promotions et de collègues de travail de ces anciens issus d'autres formations parce que la revue d'aujourd'hui est trop uniquement X - de présenter des points de vue de personnes qui travaillent avec des X pour connaître de manière vivante (pour sortir des clichés) l'appréciation du monde du travail à la formation divulguée par l'école. La revue des X devrait donc être réalisée sous forme d'articles qui se basent sur l'expérience de groupes d'anciens dans un secteur donné ex.: le choix des premières expériences professionnelles,le management opérationnelle en production, en R D, dans l'administration, l'industrie pharmaceutique, l'industrie du luxe, les X dans l'enseignement, richesse d'une carrière à l'internationale, comment recruter ,..... avec des équipes qui vont sonder ces personnes dans leur travail ou vie associative en divulgant éventuellement pas le nom des interviewés pour rendre plus libre,plus objectif et moins narcissique la teneur des articles. Des articles qui présentent la vision d'avenir de plusieurs X sur l'avenir d'un secteur, industriel, de recherche, d'enseignement, d'administration pour attiser la réflexion du lecteur. Des articles qui présentent des méthodes de travail expérimentées avec succès ou réussite par chacun. Des articles qui présentent des résultats d'activité d'entreprises, d'administrations en comparant et en proposant des analyses ou des axes de réflexion. Une communauté est rayonnante lorsqu'elle s'enrichit de l'expérience de tous ces membres et surtout de tous ces non membres. Elle reste ainsi ouverte et donc rayonnante. Je vous félicite de proposer une remise en cause du contenu et de la forme de la Jaune et La Rouge.

Avoir un contenu moins "lisse" que la Jaune et la Rouge qui souvent reste éloigné des problématiques de société/économie/sciences même si le contenu est souvent passionnant (ex : le numéro récent sur les océans)

Le contenu annoncé me paraît bien vague (encore plus en relisant une fois la description). Il s'agit bien plutôt de principes généraux -- le thème me semble peu clair. Il faut avouer qu'il n'est pas facile de faire parler d'une seule voix une communauté (?) aussi diverse. Je viens de lire l'annexe, elle ne focalise pas plus la revue.

Oh oui. Je crois que le modèle pour cette revue doit être celle du M.I.T., à savoir www.technologyreview.com Tout d'abord il faut assurer un vrai CONTENU SCIENTIFIQUE, de préférence appliqué, d'avant-garde et INNOVANT (ça c'est pour l'image de l'X scientifique, impliqué dans la vie sociale et technologique, et pas dans ses sphères théoriques). Ce contenu scientifique doit être orienté TECHNOLOGIE tout d'abord (par exemple avec des exemples de prototypes, les avancées scientifiques récentes, etc. - cf. les bulletins de l'ADIT). Il doit être orienté MANAGEMENT avec des cas concrets, des exemples d'illustrations de mises en oeuvre particulières. Il doit être orienté ENTREPRISE avec des exemples de réalisations de création, reprise, innovation, installation à l'étranger, etc. Enfin et seulement enfin, il doit être orienté RECHERCHE avec l'explication (à titre de formation continue) de théories avancées. A cela peut s'ajouter une section "Carrière" avec le récit de parcours de qques X jeunes et âgés. A l'image de la revue du M.I.T., je serais d'avis que cette revue (trimestrielle, très bien) soit prise en charge par des JOURNALISTES scientifiques, qui vont interviewer et montrer les travaux de Polytechniciens.

Parcours/biographies de grands anciens. Travaux de recherche en cours à l'X

Je ne vois pas l'intérêt en l'état. Je ne pense pas que la cible visé passera du temps à lire une revue voulue élitiste par des rédacteurs quelque peu nombrillistes. On retombe dans un travers typiquement polytechnicien : se croire le meilleur quoi qu'il arrive. Lancer une revue ou un magazine n'est pas une sinécure. Le contenu devrait davantage être ciblé sur des présentations ouvertement publicitaires de sociétés par des X. Les sociétés devraient être d'un même secteur correspondant à un thème chaque fois nouveau. L'approche publicitaire permettrait de facture les articles aux sociétés. Et la présence simultanée de plusieurs sociétés concurrents permet d'avoir une information globale pertinente. Cela pourrait permettre d'avoir une sorte de "conférence" sur papier. Il faudrait que les articles soient accessibles sur le web.

Sur le modele de la Harvard Business review

Il a existé une époque (existe-t-elle toujours ?)une revue de grande qualité tenue par les élèves en écoles qui s'appelait "X-Passion". Son style et son contenu correspondait exactement à l'esprit du projet. Pourquoi ne pas s'inspirer fortement de cette revue ?

Ouvrir si possible à des themes et a des personnalites hors de la communautes strictement X. Ca devrait permettre de susciter un interet maximum aupres du lectorat vise (absence d'esprit de clan)... Chercher l'originalites des themes (un minimum branche quoi). Rien de pire que les themes totalement soporifiques ou absconds abordes regulierement dans la JR (meme avec bcp de competence).

Idée de rubrique : faire un portrait, dans chaque revue, d'un X exercant une activité / un hobby de nature originale ou exceptionnelle.

La revue avait l'avantage de traiter de sujet divers en offrant un peu de recul par rapport a l'actualite; il faut a mon avis se mefier du style "journalistique" qui peut vite conduire a traiter de sujets a la mode en perdant ce recul. Ne tombons pas non plus dans le piege qui conduirait a vouloir donner telle ou telle image de la communaute polytechnicienne.

Il faut à mon avis rester sur une revue avec une identité "Ecole" forte. nous n'aurons pas la possibilité de faire une revue scientifique ou technique de très haut niveau de plus. Alors que nous pouvons profiter de la réussite profesionnelle et de la diversité des parcours des X pour avoir des articles originaux et intéressants. C'est d'ailleurs souvent le cas dans les numéros thématiques quand ils correspondent à un domaine investi par les X. Je me souviens notamment d'un numéro sur la route ou la pollution ou les points de vue étaient tous éclectiques et provenant de gens qu'on ne lit pas dans les autres journaux (chefs d'entreprise, hauts fonctionnaires, économistes, etc ...).

Quelles différences avec X-Passion ?

Le lectorat est pertinent... dans une approche franco-francaise. Il faut ABSOLUMENT que l'elite etrangere soit ciblee, et en consequence, que cette revue soit entierement bilingue ou disponible en Anglais. La vision d'une telle revue doit etre de devenir pour le monde scientifique ce que Harvard Business Review est au management. Il y a sans doute un creneau a occuper, au moins sur la scene europeene et il serait legitime que l'X l'occupe. Cela ne pourra se faire qu'avec des ambitions internationales fortes. Il faut que ce soit ambitieux intellectuellement mais que cela reste neanmoins accessible. Certains articles de la JETR aujourd'hui sont limites. La encore, le format d'HBS qui mele actualite, interview, articles de fond est un bon exemple. N'oubliez pas que les managers ont en general pas un temps infini...

Juste une remarque : il ne faudrait pas que cette nouvelle revue se confonde avec la revue, trimestrielle il me semble, X-Passion.

Pourquoi vouloir être si élitiste ? Le ton actuel de la JetR me semble bien équilibré, ni trop élitiste, ni pas assez. J'ajouterai comme lecteurs potentiels tous les scientifiques et ingénieurs (du public ou du privé). J'imagine la revue plutôt orientée vers la science et la technique que vers le management, mais c'est un avis très personnel.

le concept existe déjà, c'est X-Passion. Si c'est l'AX qui le fait, je crains que ce soit moins bien et surtout que cela ne rapporte pas d'argent à la communauté des anciens, alors qu'X-Passion en rapporte beaucoup aux élèves. Donc prenez garde à ne pas juste engraisser une boîte de comm. il faut capitaliser l'expérience d'X-Passion et mettre les moyens pour contrôler tout cela.

Un fréquence de parution plus rapprochée, pour coller avec l'emploi du temps de son lectorat. Contenu éditorial (qq propositions) : - réaction à l'actualité (sous-sections Politique / Business / Administration Publique / Social / International) - Les X du Mois (Scientifique / Business / Société / international) - Tribune libre des X sur des sujets d'actualité - Analyse : Thématique de fonds (1 ou 2 articles) - Carnet polytechnicien (nomination / évolution de carrières)? Attention à ne pas faire trop revue de l'X... Les sections utilisées dans la plupart des gd mensuel ou bimensuel me semble pertinente : la une / France / Europe / International / régions / Carnets / Analyse / Sciences / Culture... La Une en moins peut-être ? Il faudra intéresser le lectorat

Je suis d'accord sur le principe. Juste une remarque sur l'objectif "très ambitieux intellectuellement". C'est déjà pour moi une caractéristique de la Jaune et la Rouge actuelle(ou celle des quelques années précédentes, puisque je ne la lis plus), or la lire nécessite (logiquement) un effort intellectuel soutenu. Il me semble que conserver de tels articles à fort contenu est nécessaire, mais contribuera essentiellement à renforcer l'image de rigueur intellectuelle des X et leur aspect technique/technocratique. En revanche, si le but est de montrer que les X sont proches des réalités humaines, sociales et commerciales, de part leur expérience professionnelle quotidienne, et qu'ils peuvent constituer des interlocuteurs de valeur pour débattre de problèmes quotidiens, et pas seulement des questions techniques, alors il me semble qu'il faudrait faire des articles de synthèse plus directement accessibles, ce qui ne les rend pas moins intéressants ni d'une valeur intellectuelle moindre (au contraire, ils sont généralement plus difficiles à faire). Je pense donc qu'un mélange d'articles de fond assez long, et d'articles plus courts, pourrait être satisfaisant.

Le projet me paraît très intéressant. Il faudra être vigilant sur l'accessibilité des articles, car si les sujets sont traités de façon trop pointue, la revue risque de se faire une réputation de "rébarbativité".

Une petite remarque : il faut alors penser à qui va écrire ces articles. Sans doute faudra-t-il monter une équipe de journalistes pour coordonner tous les efforts et éventuellement rédiger les articles non techniques. IMPORTANT : l'image de l'école va être très liée au contenu de cette revue. Il est important qu'elle contienne des opinions politiques variées, qu'elle ne tourne pas au débat "bas de gamme" (moi je dis que l'autre a tord. Moi aussi). Par ailleurs, tous les polytechniciens auront le droit de s'exprimer. Mais il ne faut pas que cette revue se transforme en vecteur de communication des plus bavards. Il faut une équipe d'arbitrage dont le rôle serait, non pas de censurer, mais d'équilibrer les points de vue. Et aussi de vérifier la qualité des articles.

L'objectif de cette revue me parait difficile à atteindre. Trop d'ambition pourrait nuire à la raison d'être première de ce genre de journal, qui est de donner une image attractive de l'Ecole et de sa communauté d'élèves. Je trouve que le contenu actuel de "La Jaune et la Rouge" donne déjà actuellement une image trop arrogante et conservatrice de l'Ecole. Non, nous ne savons pas tout sur tout. Oui, nous acceptons l'idée que des gens qui ne sont pas des anciens élèves puisse avoir un avis interessant. Oui, nous nous interessons aussi à autre chose que la pétrochime ou l'aménagement du territoire. Si on devait réformer la revue, je donnerais plutôt la priorité aux points suivants : - ouvrir les colonnes à des intervenants extérieurs sur tous les sujets traitant du fonctionnement de la communauté polytechnicienne - mettre en avant aussi les hobbies ou activités extra-professionnelles des élèves (cf X-Passion) - ne pas trop se prendre au sérieux (l'humour est composante essentielle de notre culture !) Bref, faire une revue qui soit lisible aussi par des gens qui ne sortent pas du moule X. Et qui donne envie d'intégrer la communauté des anciens élèves (pas très vivace, surtout parmi les jeunes). Bon courage ;-) Olivier Kuhn (X94)

sur le modele de la Harvard Business Review

Outre les objectifs exprimés sur les débats de fond, il me semble important de mettre en avant des X dans ce qu'ils font - pas forcément et seulement professionnellement-, de mettre l'accent sur des réalisations particulières

- Compte rendus de debats/discussions: je pense aux Petits-Dejeuners polytechniciens, autres...? - Un point sur la Mondialisation: pour/contre, argumente scientifiquement.

Prévoir des débats réellement contradictoires : éviter par exemple les numéros spéciaux comme celui sur l'automobile dans la Jaune et la Rouge, où des constructeurs (français uniquement, je crois) expliquent que l'automobile ne pollue pas. Le numéro sur le nucléaire était su même style, avec un contradicteur alibi dont les critiques étaient muselées. C'est ce genre de numéro qui a fait que je me suis désabonné. Par ailleurs, une revue "prestigieuse, haut de gamme" est-elle compatible avec "l'originalité des points de vue et du ton" ?

N'y a t'il pas risque de double emploi avec X-Passion ?

Faire systématiquement intervenir des X expatriés. Ou créer une rubrique: X dans le monde.

Une question : quel est le positionnement par rapport à X-Passion ?

Y aura-t-il un espace pour : - la vie de l'Ecole - les jeunes Polytechniciens dans le monde professionnel - les projets qui font rêver (ceux qui entreprennent un tour du monde, qui construisent des avions, etc.), la culture, les livres et autres hobbies... Je crains une revue de prestige de vieux loups de mer au sommet de leur carrière où l'on substitue politique, management et pouvoir à l'image technocratique de l'X... La revue de prestige doit être représentative de l'ensemble de la communauté. Celle-ci n'est pas qu'un acteur de la société civile participant aux débats poublics, même en s'y démarquant avec originalité et solidité dans ses contributions. C'est avant tout un ensemble de personnes qui peuvent souhaiter présenter d'autres facettes de leur vie, à côté de celles qui intéresse principalement notre engagement social et républicain.

je suis tout a fait conscient qu'un objectif de rigueur et de qualité du contenu s'accomode mal d'un format trop exigeant; mais, d'experience, il me semble que la rédaction devrait veiller a reduire au maximum la taille des article, un page, un page 1/2 A4 étant un maximum. les références de bas de page guideront le lecteur avide d'approfondissements.

Attention à l'aspect 'originalité du ton'. Le risque est de voir l'image de l'X ou la communauté polytechnicienne attachée à une thèse extrèmement minoritaire par certains media.

Un melange 50% de l'ancienne Jaune et Rouge et 50% de X-Passion

faire une mise en page aérée qui donne envie de se plinger dedans contrairement à la revue d'aujourd'hui

Les articles que je lis dans la jaune et la rouge méritent de toute évidence une audience plus large. Cependant: -Il faut probablement ajouter arrogance, à l'image négative que nous avons dans la société. Créer une revue "prestigieuse,..., très ambitieuse intellectuellement" ne contribuera pas à changer ce point. -Mon sentiment est que le lectorat visé reconnait déjà les qualités des X, et qu'il n'a pas une image si étroite des polytechniciens, car ces lecteurs potentiels en cotoient. -pourquoi pas un lectorat plus large, et éventuellement une diffusion de masse sur internet ? Amicalement, Olivier Seller (95)

Les articles que je lis dans la jaune et la rouge méritent de toute évidence une audience plus large. Cependant: -Il faut probablement ajouter arrogance, à l'image négative que nous avons dans la société. Créer une revue "prestigieuse,..., très ambitieuse intellectuellement" ne contribuera pas à changer ce point. -Mon sentiment est que le lectorat visé reconnait déjà les qualités des X, et qu'il n'a pas une image si étroite des polytechniciens, car ces lecteurs potentiels en cotoient. -pourquoi pas un lectorat plus large, et éventuellement une diffusion de masse sur internet ? Amicalement, Olivier Seller (95)

Il sera très important de trouver un juste équilibre entre les articles très théoriques et conceptuels comme aiment à en produire les X et les articles 'terrains' relatant des expériences où le bon sens et la 'rigueur' sont mis en application. Bref pas une revue rébarbative 100% intello, belles idées et bonnes intentions. Un peu de pragmatisme et d'anticonformisme ne feraient pas de mal à notre chère communauté ;-).

1/ Il faut un titre qui fasse une allusion explicite aux polytechniciens sans restreindre cette notion à l'Ecole elle-même. 2/ Un gros effort de présentation et de rajeunissement de la revue est indispensable, elle est illisible car trop austère aujourd'hui. 3/ Proscrire les articles de plus de n pages (n=4 paraît être un maximum raisonnable).

S'inspirer de X-Passion. Au moins pour l'aspect matériel.

X-Passion devrait etre étudié attentivement. Il y a dedans des rubriques exemples. Les parcours et interviews d'X de TOUS les horizons sont tres enrichissants et souvent lus. Pourquoi ne pas faire une rubrique qui interviewe un X ou quelques X a chaque parution sur leur métier, la communauté polytechnicienne etc etc ? Veiller a un equilibre stars / jeunes X avec peu d'annees d'experience. Par exemple, relisez les interviews de VGE ou de Ernest-A Seilliere dans les recents X-Passion (dispo sur le site web d'X-Passion xpassion.polytechnique.org avec moteur de recherche!), vous verrez qu'il n'y a jamais eu une seule interview de cette qualite dans la JETR. On pourrait demander au Pdt de l'institut Pasteur les enjeux du futur sur la génétique, mais au lieu d'avoir un lours pavé type article JETR, avoir un contenu dynamique et interactif (interview) avec une touche humaine (que pensez-vous de l'evolution l'X ? quels conseils a un jeune X?)

Utiliser l'experience du binet X Passion accumulee et transmise de promo a promo pour la creation d'une revue de prestige.

Quid de X-passion, qui ressemble un peu a ca non ?

Vu la cible visée faire un peu de "pub" pour l'X, ses labos, ses stages, pourrait être une bonne idée. A condition bien évidemment de faire cela au travers des articles et pas directement.

La revue ne doit pas sombrer dans le lectoralisme de certaines revues, et continuer de representer assez fidelement la diversite des centres d'interet et des preoccupations polytechniciens. En particulier, si l'objectif de prestige amene a rechercher de trop nombreux articles de personnes exterieures, il faudra en conclure que l'AX n'a pas les moyens de le faire, plutot que de perdre le caractere "entre soi" de la publication, qui assure une grande liberte de parole, et qui par le biais du courrier des lecteurs permet les corrections de la plupart des erreurs. Pour le titre, afin de conserver l'esprit de la revue, je propose de garder le meme titre, ce qui intuitivement amenera chacun a conserver la meme image de la revue

Excellente idee que cette nouvelle revue! Quelques suggestions: Des articles sur des pays en particuliers, refletant la nouvelle dimension internationale de l'Ecole. La collabaration de grands dirigeants ne se contentant pas juste de donner un laius sur leur societe. Enfin, un point de vue sur les grands enjeux que sont la mondialisation, le deperissement de l'Etat-Nation, le role des multinationales, cette revue pourrait etre un forum non-ideologique ou s'exprimerai la diversite polytechnicienne (il n'y a qu'a voir: Lipietz, Messier!!), mais aussi la societe en generale: il est temps que la revue des anciens s'ouvre un peu. Bien cordialement, Esfand Raissi Ingenieur BP Exploration

Traiter de cas concrets d'expériences d'X (interviews...) an début milieu et fin de carrière... Mettre l'accent sur les X expat (pour rayonnement internationnal) Eviter le côté scientifico-hermétique de certains articles de l'AX

Attention au contenu "très ambitieux intellectuellement" ; il me semble que l'important est de donner une image plus humaine des X, donc pour moi les articles de la revue doivent se rapprocher du concret, et ne pas rester dans de hautes sphères abstraites qui conforteraient les lecteurs non-X dans leur opinion négative...

Surtout garder l'objectivité de la revue : si les cibles sont des personnes de décision (politique, grandes entreprises), il est important de ne pas donner une opinion unique, qui serait la vue d'une partie seulement de nos camarades. Plusieurs fois par le passé l'image de l'École et des polytechniciens a été entachée par les vues d'un camarade, qui, faute d'opinion contraire, ont été associées à toute l'École. Si cette revue doit diffuser les idées des X, ou au moins leur manière de raisonner, il est important de montrer aussi la diversité (à tous les points de vue) des (anciens) élèves.

Cette revue pourrait remplacer X-Passion.

De temps en temps, la Jaune et la Rouge publie des Articles écrits par des personnalités non-X. C'est peut-être une évidence pour vous, mais il me semble important de conserver un certain nombre d'articles écrits par des personnes de formation complètement différente.

A mon avis, il faudrait moins se centrer sur les X et en faire, là aussi, un instrument d'ouverture. Faire une revue de qualité, surtout au niveau du contenu, et dont les intervenants ne seraient pas seulement polytechniciens. S'appuyer sur l'image de l'X pour promouvoir un message de grande qualité. L'exemple du MIT Technology Review, magazine de référence (cf. Courrier International), est à mon avis à prendre en compte, sans pour autant le copier.

Exemples de parcours d'anciens tous univers (pas uniquementles dirigeants les plus connus), un peu à la X-Passion Dossiers thématiques sur les carrières à l'étranger

Revue bilingue français-anglais Aller voir le McKinsey Quarterly pour une approche similaire Faire contribuer les élèves de l'Ecole pour ne pas être qu'un journal d'Anciens.

Quel est son positionnement par rapport à X-Passion ? A priori, X-Passion est à vocation "culturelle", avec un public plus ciblé. C'est la revue des élèves. Cette nouvelle revue abordera davantage dans les sujets d'actualité (économique/politique/scientifique). Ces 2 revues s'adressent-elles à un même public ? Est-il souhaitable d'alterner les publications de l'une et de l'autre des revues ? Est-il prévu de faire de la promotion croisée : "ce mois-ci dans X-Passion, les thémes abordés sont l'origami, ...", "ce mois-ci dans la revue des X, untel s'exprime sur le développement durable ..."

Une bonne source d'inspiration pourrait etre X-passion. C'est une revue de grande qualite, qui a beaucoup de trait commun avec ce pojet.Peut etre faudrait il penser a une joit venture avec X-passion

Je souhaiterais que la revue conserve sa dimension "thématique", qui permet d'aborder un sujet sous plusieurs angles. A ce titre, je trouve d'ailleurs que les articles relèvent surtout d'une dimension scientifique ou "entrepreneuriale". La participation , mineure mais régulière, de "non-X" pourrait apporter une vision plus large d'un thème, en apportant par exemple un éclairage sur son importance dans la société, sur son aspect historique, etc... Ceci ne nierait pas la diversité et le rayonnement de la communauté polytechnicienne, mais prouverait au moins une certaine ouverture, et permettrait de faire évoluer la revue vers l'electorat visé et ne pas faire de cette revue une revue "par les X pour les X". Mais je viens de lire l'annexe, qui répond à cette suggestion.

Il me semble de maniere generale que les articles sont de grande qualite mais il est vrai que plus d'images de qualite seraient un plus appreciable. Il serait interessant aussi de servir de relais a des decouvertes scientifiques ou des aventures vecues par tel ou tel ancien (a la tete d'une grande entreprise... etc.) de maniere plus systematique.

- Insérer une rubrique "parcours" pour mettre en exergue les parcours des X qui ont fait l'actualité récente (sur le modèle de ce que fait "la lettre de la rue Saint-Guillaume", par exemple). Cela permettrait probablement de mettre en valeur la diversité des débouchés auprès d'une cible non X. - mettre en valeur les travaux des "groupes X" (compte-rendu des conférences les plus prestigieuses, etc...) - "bilinguiser" l'ensemble des articles (français d'un côté, anglais de l'autre), ce qui permettrait de toucher un lectorat international (en particulier les universités cibles du recrutement de l'X), et représenterait un signe fort de l'ouverture internationale de l'Ecole...

- ne pas mettre une revue mono sujet comme c'est le cas actuellement car si c'est un sujet pour lequel on a peu d'interet, on peut mettre la revue directement a la poubelle. Aborder 3-5 sujets majeurs me parait plus interessant. - accorder un regard sur l'actualite - histoire de montrer que les X sont "ancres" dans leur temps: d'ailleurs, il peut etre defini au prealable que sur les 3-5 sujets traites, un est d'actualite, un a caractere scientifique (sur les recherches en cours, explications sur un Nobel), un a caratere industriel, etc.) - laisser une place a des temoignages d'anciens (mais pas trop anciens non plu) sur leur carriere et son evolution. - la revue ne doit pas etre que trimestrielle: c'est trop espace entre chaque numero.

Je pense que la forme des articles de fond doit rester la meme, car elle reflete deja parfaitement l'image que vous voulez transmettre.

Inclure des petites histoires polytechniciennes (origine de tel ou tel mot du vocabulaire polytechnicien, brève histoire d'un polytechnicien célèbre, etc.). Cette intrusion dans l'univers polytechnicien offrerait beaucoup de piment. Je me rappelle encore un jour ou ma famille a découvert un livre de 1895 sur l'X, ils l'avaient trouvé passionant. Je pense que c'est pertinent dans la revue de prestige, parce que cela captive l'attention du lecteur, et ça lui donne un sentiment d'intimité et donc d'affection envers notre école. D'autre part, les "recréations scientifiques" et le bridge sont aussi à inclure dans cette revue. D'une part cela montre un côté amusant des X, et légendaire à la fois. Montrer le côté humain des X, et leurs capacités dans des domaines non scientifiques est essentiel, mais il est aussi essentiel de rappeler que les X affectionnent la logique, le raisonnement, et qu'ils ont de bonnes connaissances scientifiques. Je pense que c'est un très bon moyen de rappeler ça de façon informelle.

J'apprécie, dans La Jaune et La Rouge, la diversité des sujets et le haut niveau scientifique des articles. En particulier, ayant choisi une voie éloignée de la recherche ou des métiers d'expertise, la Jaune et la Rouge est pour moi un excellent moyen de garder un contact direct avec les évolutions du monde scientifique. Je suis globalement d'accord sur l'objectif de la nouvelle revue, mais le contenu scientifique ne doit pas en être amoindri : le soucis de vulgarisation ne doit pas cacher la complexité et le fonctionnement intime des phénomènes traités. Certains sujets d'actualité (nucléaire, OGM, Mathématiques et entreprise, économie et finance...), exigent un traitement approfondi de la réalité scientifique pour en comprendre les enjeux. De plus, je suis plutôt pour une édition bimestrielle plus que trimestrielle.

Il faut que les articles de cette revue restent des articles de fond, et non d'actualité, auquel cas elle n'aurait plus aucun intérêt.

Celà peut sembler futile mais je mettrais les récréations scinetifiques dans cette revue et non dans l'organe interne.

je trouve qu'il est peu dommage que la revue soit avant tout axée sur l'aspect "managérial" et "entreprise", alors qu'un nombre non négligeable de camarades exerce une activité de chercheur, souvent avec talent. "Poly"-technique, c'est aussi cela, il me semble. N'y aurait-il pas également une réfléxion à mener dans ce sens? Le niveau unificateur de la communauté polytechnicienne est en amont de ce que la Jaune et la Rouge montrait, je crois.

plusieurs thèmes différents par numéro, plutot qu'un numéro monothème du type "le consulting" qui n'intéresse qu'une cible réduite. avoir des rubriques thèmatiques qui reviennent à chaque fois, par exemple: technologies, banques-assurance, société et développement durable et un sujet phare traité en dossier principal comment sera constitué le comité éditorial? faire participer les groupes de l'AX pour piloter certaines rubriques. Attention à la place de la pub, nécessaire, mais qui doit laisser une grande clarté au contenu

une revue qui propose des themes d'actualité du point de vue de la science.

Relooker sérieusement la présentation et la mise en forme !

Je suis en effet d'accord avec le principe de cette revue. Il faudra cependant faire attention à ne pas la transformer en une revue d'articles de management baclés comme le sont souvent les articles de la jaune et le rouge. Pour être crésible il faut effectivement être de haut niveau, ce qui suppose une sélection plus accru des auteurs qui ne doivent pas écrire dans le seul but de se faire connaitre.

Il me semble essentiel de garder des thèmes récurrents (not. celui de l'environnement) sous la forme d'un dossier assez complet. Je pense qu'il faut aussi garder à cette revue une dimension culturelle récréative de qualité (critiques de théatre, cinéma, ou autre) et ne pas en faire quelque chose de trop "scientifique".

essayer de toucher un public/ de faire appel a des apports etrangers dans les perspectives ci-dessus.

On pourra certainement s'inspirer avec profit de la Harvard Business Review (etudes de cas, notamment) sans pour autant la copier, en essayant de restpecter une certaine PLURALITE IDEOLOGIQUE ET POLITIQUE (eviter d'etre tout le temps ultra-liberal de droite, ne serait-ce que pour l'image...)

Mettre en avant les hommes (en l'occurence les rédacteurs) plus que l'Ecole elle-même pour éviter à mon avis un aspect trop "corporatiste" de la revue, qui vraisemblablement nuirait à l'objectif initial.

Ne pas hésiter à s'ouvrir à d'autres disciplines qui répondent à des problèmes d'actualité, qui ne pas nécessairement purement scientifiques. Et abandonner la publication d'articles à la gloire de tel ou tel grand industriel polytechnicien, qui n'apporte strictement RIEN au lecteur, ainsi que certains articles dont les enjeux ont plus de dix ans de retard. Une revue enrichissante pour tous, rigoureuse, audacieuse tant dans son contenu (pas seumement des équations ou des bilans d'entreprise) que dans ses prises de position (que la revue peut publier tout en se mettant en retrait... Dans le respect des principes républicains et de dignité de l'homme bien sûr), et surtout inscrite dans l'actualité me semble être un beau et utile projet. (Quitte à accroître les demandes d'articles de la part des polytechniciens ou autres personnes au message intéressant, et accroître la sélection, gage de qualité, de ces articles en parallèle!)

Ne pas viser trop haut de gamme. Un journal écrit par les X doit être lisible par quiconque, afin de ne pas corroborer une image hautaine des X.

Donner des exemples d'X qui ont permis de faire grandir les personnes dont ils étaient responsables... Dimension humaine.

surtout pas que des X....J'espère que l'effort d'ouverture ne restera pas qu'un projet...

encourager les élèves à contribuer à cette revue, en leur proposant d'écrire des articles à thème comme pour X-Passion et reprendre une sélection d'articles parus dans la presse internationale et apportant un éclairage peu consensuel sur l'actualité Suivre par un site Internet d'e-learning assez pratique destiné à tous les scientifiques (se remettre à gout du jour en Informtique, découvrir les différents métiers, ...)

Parler plus de l'actualité de l'école, des enjeux de la formation. Donner la parole à des personnes plus proches de l'actualité. Un décryptage de l'actualité scientifique serait intéressant.

Peut-être souligner l'aspect scientifique de manière plus appuyé. J'ai l'impression que les X sont surtout présentés comme des chefs d'entreprises et moins comme des scientifiques. Il serait bon, je pense, de parler des contributions des polytechniciens dans des domaines plus techniques (biotechnologies, télécommunication, mathématiques, pourquoi pas, R&D en général).

est-il indispensable de vouloir la faire si "haut de gamme", alors qu'un des objectifs est de faire connaître ou découvrir plus largement l'originalité et la diversité des réflexions des X sur les thèmes proposés, commes vous le dites "au-delà de l'image convenue" ... donc lectorat plus large, également pas seulement des "comptes-rendus d'expérience" d'X responsables managériaux dans leurs domaines respectifs... mais aussi thèmes d'actualité, de culture (histoire p.ex.)... => ouverture

peut-être quelques efforts d'illustration, certaines pages sont un peu compactes

Est-ce que l'ambition intellectuelle ne se réalisera pas au détriment de la modestie et de l'ouverture d'esprit (en évitant l'intellectualisme stérile et pédant)?

Une mise en page plus claire et plus attrayante. Une revue structurée, avec des dossiers thématiques regroupant les points de vues de plusieurs acteurs du domaine concerné qui font part de leur expérience, et accompagnés d'un article de synthèse indiquant des perspectives, des évolutions possibles.

Portrait de jeunes X qui réussissent dans des domaines peu convenus

regardez ce qui se fait pour la revue de science po (lettre de la rue Saint Guillaume), souvent tres interessante.

ne pas hésiter à faire appel régulièrement à tous les X qui ont une position importante dans notre société, que ce soit dans le public ou le privé, et dans les domaines les plus divers possibles.

Il pourrait être de bon goût de faire intervenir d'autres avis que celles des X uniquement, même s'il me semble normal que dans l'esprit du nouveau journal, ce soit des X qui lancent les débats (sur un dossier mensuel par exemple).

Si je comprend bien ca existe déjà : Il existe X-passion (revue de "prestige") fait par les éléves et le petit facicule X-info sur ce qui se passe à l'ecole.

Présenter de manière claire la réforme x2000 aux entreprises de façon à ce que l'ambition nouvelle de formation soit connue.

A terme, une fois la réputation de la revue faite, faire intervenir dans la revue des personnes issues d'autres écoles que l'X, des intellectuels,...:montrer la volonté d'ouverture de l'X.









3 . Lectorat








LE LECTORAT ME PARAIT TROP ELITISTE ET SECTORIEL__. QUANT AUX ARTICLES DE FOND CERTAINS _ de grand interet souvent_ FONT PARFOIS APPEL A DES CONNAISSANCES POINTUES QUI EN RESTREIGNENT L'AUDITOIRE. UNE "VULGARISATION SCIENTIFIQUE DE HAUT NIVEAU " EST ELLE IMPOSSIBLE ?


"Revue prestigieuse" me donne des boutons...Le prestige est bien près de la vanité. Quant au "manageurial", il me rappelle le bon vieux slogan US "too many chiefs, not enough indians" ... Il faut une revue qui passionne les étudiants en général, et les cadres qui innovent réellement par leurs idées, qui créent réellement en mettent les mains dans le cambouis, non les vieux crabes des conseils d'administration,les jeunes loups des cabinets ministériels, et les innombrables cadres "supérieurs" qui passent leur vie à débattre dans des réunions qui décident de ne rien décider, mais d'en faire d'autres pour y voir plus clair ! C'est cette prolifération qui a tué notre efficacité, qui crée notre manque de productivité, d'entrprise, bien plus que le coût "trop élevé" de notre main d'oeuvre. Il faut retrouver l'état d'esprit des années 45-65. Je ne méconnais pas l'importance de l'économie, mais De Gaulle n'avait pas non plus tout à fait tort quand il disait : "décidons, l'Intendance suivra". L'X qui connaît son "métier" pour l'avoir exercéréellement pendant 12 ou 15 ans peut ensuite prendre ses responsabilités dans des décisions justes, commandant l'avenir. Voilà ce que je voudrais qu'une revue X réanime ... Nota : j'ai écrit ce "cri du coeur" avant d'avoir lu l'annexe. Elle atténue sérieusement mes réserves. Je le laisse tout de même.


On peut imaginer et réaliser une telle revue. La question qui se pose, est celle de son lectorat réel. Qui va payer un abonnement, pour connaitre le point de vue des polytechniciens sur les grands problèmes de la société en France et dans le Monde ?


L'initiative est louable,le projet est mal ficele. L'objectif est intellectuel,complique et marque d'arrogance ;ce n'est pas ainsi que l'on conquiert une nouvelle image et que l'on trouve un public elargi. L'objectif est tourne vers l'interieur de la communaute des X et non vers l'exterieur( la Jaune et la Rouge actuelle est illisible par des non-X ). La cible parait etre le microcosme politique/affaires/syndicats...parisien.On aimerait y voir souffler l'esprit du grand large a l'heure de l'Europe,de la mondialisation des echanges,de la percee des technologies nouvelles ( informatique,Internet, biotechnologies etc...). L'avant-garde du monde actuel,c'est le monde des entreprises,carrefour des innovations, des progres scientifiques et commerciaux par et a travers la satisfaction de clienteles de toutes sortes. Les sujets d'articles pourraient faire appel a beaucoup de pragmatisme, de preference des vecus exemplaires abondamment illustres (multimedia,images digitales ...),plutot que des traites techniques de specialistes fonctionnaires,en somme de bonnes histoires bien racontees ( envisager l'appui d'un journaliste de grande reputation ). Une revue trimestrielle ( frequence faible ) ne changera pas l'image aupres d'un public difficile a atteindre et d'autre part tres sollicite.Un vehicule plus moderne serait d'organiser les contributions de la revue autour d'un site Internet avec chat rooms organisees en plusieurs centres d'interet. Ainsi , on peut publier et consulter en continu , referencer et diriger sur de nouvelles cibles quand besoin est, organiser des conferences en temps reel avec des interlocuteurs aux 4 coins du monde.Il vaut mieux paraitre moderne voire d'avant-garde qu'academique et compasse. Pour toucher un public jeune necessaire pour creer une image nouvelle,en tout cas amelioree,une communication par Internet est une obligation. On ne peut faire a moins ( lorsque l'on peut acceder a la lecture du Figaro a toute heure et de partout).


ne pas oublier les milieux associatifs, ONG et l'ouverture internationale


chercher à atteindre : - en France un lectorat plus large, plus jeune et moins élitiste. - à l'étranger business et politique


J'ai en tête la Tech review du MIT. On pourrait penser aussi à la HBR ou à la nouvelle revue de la Sloan School. Cela dit pour moi l'X reste une école scientifique. La revue devrait d'abord s'adresser à la communauté des ingénieurs et scientifiques (et pas seulement de leurs patrons).


Rajouter le monde des enseignants dans les cibles.


j'ajouterais à la cible les universitaires (professeurs d'universités et autres écoles, y compris étrangères!!) et étudiants de haut niveau des sujets abordés


Il faut cibler les jeunes et en particulier les jeunes étudiants et les jeunes ingénieurs Il y a en France un déficité d'information sur la technologie. la revue evrait contribuer à combler ce déficit en ne restant pas trop "élitiste" et centré uniquement sur les "SCIENCES" réputées pures par opposition à la technologie "impure"


Une diffusion aux seuls responsables de GRANDES entreprises est incompatible avec une large diffusion.


...Je pense que le lectorat visé devrait inclure les milieux scientifiques et pas seulement les responsables des services publics ou privés de recherche et développement. (Dans la recherche publique et le monde académique règne une monoculture ENS, être X n'y a aucun poids; alors que la pluralité des très bonnes formations scientifiques est un atout, et une spécificité française). bonnes


Les X ont toujours image tellement élitiste qu'il faudrait amender; donc ouvrir plus la revue en question, y compris aux élus locaux, aux PME, aux syndicats, aux associations, en bref à la société et à tous les décideurs.


Il faut viser plus loin que les dirigeants économiques et politiques français ! La question sur l'aspect "formation continue" me paraît très intéressante ! Il faudrait, pour chaque thème aborder, indiquer une bibliographie permettant d'approfondir.


Complément au lectorat : corps enseignants d'autres écoles, journalistes - La tâche est difficile et honéreuse : il s'agit du lancement d'une revue... qui engendrera une attente de son lectorat, qu'il conviendra de satisfaire... à long terme.


Objectifs de la revue: intégrer l'idée de contribuer à développer l'image de l'X à l'International Lectorat: penser également aux grands cabinets de recrutement/Chasseurs de têtes, publics internationaux (pas seulement Europe et Usa...penser Amérique Latine), représentations francaises à l'étranger: ambassades, milieux enseignants... Diffusion: une diffusion internationale suppose traduction en anglais...et en espagnol ? Style rédactionnel: Ok pour des articles de fond. Si ils sont techniques, les rendre attractifs à la lecture. Prévoir des articles qui comportent une dimension humaine. Une écriture et une maquette moderne.


Cibler aussi les jeunes qui n'ont pas de pourvoir et ont besoin d'apprendre Réfléchir au rôle de la revue dans la capitalisation des connaissances Enfin donner une dimension résolument européenne, sans écarter le français


pourquoi se limiter aux décideurs ? une ouverture vers les intellectuels et "honnêtes hommes" intéressés par les problématiques de la vie de la cité me semblerait un plus.


La cible me parait trop etroite et devrait être élargie au monde economique, et scientifique (pas que les dirigeants)


Lectorat: et les etudiants? Voire les ('minables' a ce qu'il parait) patrons ou d'ailleurs pas patrons de PME, qui ne sont pas tous X? Et Monsieur tout le monde? C'est difficile mais si la revue peut a la fois etre tres prestigieuse mais tout de meme pas inabordable pour M. Toutlemonde ayant un interet intellectuel? Presence de resumes en anglais, voire autres langues? (Chinois, etc..) Interet de l'Epistemologie, la science ou l'X pourrait le mieux se retrouver.


N'oubliez pas les Scientifiques et les responsables de l'Education dans le lectorat cible. Reprise de sujets Europeens (aussi avec le but de positionner les X comme elite Europeenne). Dans ce contexte on pourrait envisager des resumes en anglais pour les articles de fond. Ainsi la revue pourrait s'adresser aussi a des elites Europeennes non parfaitement francophones.


La revue me semble devoir conserver ses côtés iconoclaste et rigoureux. Tel qu'affiché, je craint que le côté iconoclaste disparraisse. Quant au lectorat recherché, pourquoi les scientifiques ne sont-ils pas présents, la devise de l'Ecole aurait-elle changé sans qu'on me le dise ? Enfin, trimestriel me semble long. Vu la matière des articles de fond de la J et R, tous les 2 mois me semblerai plus satisfaisant


la diffision devrait être élargie aux intellectuels et militants, et pas seulement aux décideurs officiels et aux communicants.


l'école est trop fermée sur son élite sur le pays "France" sur la technique; pour accroître son rayonnement il faut qu'elle s'ouvre sur tout le reste;


Le lectorat cible me semble trop etroit.


Sur le projet : excellente idée, la JETR a besoin d'un coup de jeune, elle fait vaguement "années 70". Sur le lectorat (et l'objectif): - fait-on vraiment l'impasse sur les milieux scientifiques ? - n'y aurait-il pas également un intérêt à élargir le recrutement, donc à cibler les milieux de l'enseignement ? - et l'international (universités...) ?


- lectorat : ajouter la communauté scientififique (sciences dures, sciences humaines...), essentielle s'il s'agit bien d'une revue "think tank" - contenu : les "nouveaux sujets" ayant vocation à diversifier l'image ne doivent pas éclipser le "fond" scientifique de l'école. Faire une sorte de revue de sciences po serait une erreur. - formule : pourquoi ne pas continuer une "JETR" mensuelle avec un contenu plus diversifié, et une sélection trimestrielle d'articles, formant la plaquette "prestige" - ou bien une "JETR" avec des articles moins liés à l'actualité, complémentaires à la revue trimestrielle NB : bien que non-abonné, il m'arrive de lire la "JETR"


Rajouter à la cible les cabinets de consultants, les écoles de business (INSEAD, Harvard,...)


Lectorat : pourquoi pas les universitaires et les chercheurs (qui devraient être concernés par le contenu) Contenu : "il surprendra, sera alerte, vivant parfois impertinent. Il se rapprochera du style journalistique" : cette approche du ton ne me semble pas appropriée, la "dérive journalistique" étant pour moi à l'opposé de la qualité du contenu (illustration : "Science et vie" vs "Pour la science")


Les élèves de l'Ecole me paraissent aussi une cible, dans la mesure où ils ont besoin de s'enthousiasmer pour ce qui les attend (et je n'ai pas le souvenir que c'était véritablement le cas général il y a 10 ans, mais cela a peut-être changé). Amicalement


Je ne comprends pas pourquoi on intètre les historiens dans le lectorat cible


Ne pas oublier la communauté scientifique (aussi bien en ce qui concerne les sujets que la diffusion).


Ne pas limiter la diffusion de cette revue à une élite ! La France, et l'École Polytechnique, ont beaucoup trop souffert de cette vision élitiste qui veut que les "bonnes" informations et réflexions ne doivent pas être communiquées à n'importe qui. La communauté polytechnicienne peut apporter beaucoup au débat démocratique, mais ceci n'a de sens que s'il est ouvert à tous ! Pourquoi ne pas envisager une diffusion beaucoup plus large, comme des abonnements ouverts à tous, une diffusion (gratuite ?) sur le web, éventuellement une diffusion via le réseau de la presse magazine (je ne sais pas si cette dernière idée est viable). Bien sûr cette revue ne sera pas forcément accessible intellectuellement à tout le monde (nous ne devons en effet faire aucune concession sur le niveau intellectuel de cette revue), mais ce n'est pas à nous de déterminer qui est apte à accéder à cette revue!


ajoutyer les scientifiques et labos dans le lectorat cible, ainsi que les universités (france, etranger) au moins par l'intermédiaire de leur blibliotheque.


Quid des PME et des cadres intermédiaires ? Pourquoi ne pas en faire une revue internationale mensuelle en anglais, sur le modèle de Harvard Business Review ou MIT ? L'approche me semble trop orientée grosse structure.


+ d'actualité (meme si ce n'est qu'une illustration d'une problematique donnee) lectorat + large, cadres sup


la revue devrair viser un public plus large


Je pense souhaitable de viser aussi des lecteurs plus jeunes, comprenent éventuellement les classes prépas, les universités ... Pourquoi ne pas l'étendre aussi à quelques lycées dont les élèves se sentiraient ainsi plus motivés pour le concours d'admission à l'X ?


il s'agit peut etre d'etre vraiment plus large dans la diffusion, tout du moins au regard de l'objectif affiché


ne pas restreindre le lectorat aux historiens mais l'ouvrir à l'ensemble de la communauté scientifique, en particulier : sociologues, économistes, OST... Certes, il est toujours attrayant de faire du presigieux et du "haut de gamme". Mais la vraie question est de savoir ce que peut apporter comme valeur ajoutée spécifique la communauté polytechnicienne.


Même s'il est plus gratifiant de s'adresser à une élite (c'est dit autrement mais c'est bien de ça dont il s'agit), je ne crois pas que ce soit à eux qu'il faille adresser un message sur ce qu'est l'école polytechnique... S'il y en a qui ont une bonnne image des polytechniciens, ce sont peut être eux...


Les articles que je lis dans la jaune et la rouge méritent de toute évidence une audience plus large. Cependant: -Il faut probablement ajouter arrogance, à l'image négative que nous avons dans la société. Créer une revue "prestigieuse,..., très ambitieuse intellectuellement" ne contribuera pas à changer ce point. -Mon sentiment est que le lectorat visé reconnait déjà les qualités des X, et qu'il n'a pas une image si étroite des polytechniciens, car ces lecteurs potentiels en cotoient. -pourquoi pas un lectorat plus large, et éventuellement une diffusion de masse sur internet ? Amicalement, Olivier Seller (95)


Le lectorat visé doit être plus large : il peut passer de main en main dans l'entourage de chaque polytechnicien, ce qui fait une diffusion assez large. Je passe moi-même La Jaune et La Rouge à mes amis et proches quand j'estime un article ou un dossier intéressant et bien traité. C'est ça, le rayonnement !


Afin d'atteindre l'objectif fixé, c'est à dire donner une image des X plus conforme à la réalité, il me semble que la diffusion ne doit pas être limitée à un lectorat haut de gamme. Pour autant, le contenu doit être effectivement extrêmement rigoureux et traitant des sujets ambitieux.


J'ai répondu "non" à la question III.2 ci-dessus parce que le lectorat visé n'est pas assez large. Je pense qu'une revue "prestige" ne doit pas s'adresser aux grands de ce monde (lobbying passif) mais bien à l'ensemble de la société, plus particulièrement pour une école comme la nôtre, républicaine avant toutes les autres. Chacun doit pouvoir avoir accès à cette revue, en termes pratiques comme d'intérêt pour les sujets traités. Son excellente qualité viendra aussi de la richesse et de la variété intellectuelles de son lectorat. Constituer une revue intéressante pour les sphères dirigeantes ne me semble pas très intéressant. Construire une revue de référence pour l'ensemble de notre société me semble beaucoup plus riche (mais certes plus difficile) et bien plus digne de notre école. J'ai répondu "oui" à la question III.3 ci-dessus simplement parce que le contenu ne m'a pas paru très clair, donc au bénéfice du toute...


Le lectorat visé pour l'instant (dirigeants, historiens, hommes politiques...) n'ignore pas, à mon avis, les arcanes des Grandes Ecoles, qui demeurent l'un des principaux viviers des élites françaises. Il faudrait davantage élargir la cible vers la société civile : organisations sociales, syndicats, oeuvres caritatives.


Il est aussi important de s'adresser à des gens un peu moins hauts placés : petits chefs d'entreprises, notables, maires, Chefs de services déconcentrés ou décentralisés... Ce sont souvent eux qui ont la plus mauvaise image des X !


Diffusion plus large a long terme ?


je pense que c'est une mauvaise idée de cibler les "dirigeants" en général et "les journalistes". Le but est me semble-t-il de contribuer au débat public donc il ne faut pas la destiner à un microcosme. A une élite peut-être, mais pas à un microcosme.


est-il indispensable de vouloir la faire si "haut de gamme", alors qu'un des objectifs est de faire connaître ou découvrir plus largement l'originalité et la diversité des réflexions des X sur les thèmes proposés, commes vous le dites "au-delà de l'image convenue" ... donc lectorat plus large, également pas seulement des "comptes-rendus d'expérience" d'X responsables managériaux dans leurs domaines respectifs... mais aussi thèmes d'actualité, de culture (histoire p.ex.)... => ouverture


Ouvrir un peu plus le lectorat visé aux lecteurs du milieu de la Recherche, et aux lecteurs étrangers. une revue bilingue? pourquoi pas.

Pour le lectorat, il me semble trop réducteur de se limter aux responsables des grandes entreprises et administrations, c'est tomber dans un des travers dant on nous accuse. Il faudrait, au minimum,l'adresser à tous les responsables des organisations professionnelles patronales, et, pourquoi pas, de salariés. Etudier aussi la possibilité d'informer les structures fixes des clubs genre Rotary, Lions etc...


Plutot que les journalistes le lectorat devrait viser le milieu Universitaire.


Le grand public devrait aussi être visé. Il faut donc éviter que la revue ne donne l'impression de ne s'adresser qu'à un public "choisi".


Essayer d'élargir le public. Rubriques scientifiques. Mins chercher à colporter l'image d'un groupe d'influence fermé.





4.Suggestions relatives à l’ouverture sur l’international




L'X doit devenir une école qui,en particulier au niveau européen,doit devenir un modèle pour les sciences et la recherche scientifique et s'ouvrir aux élèves étrangers


.En voici quelques unes: 1)En ce qui concerne la cible le choix parait terriblement traditionnel et purement hexagonal: administration, services publics, syndicats.....C'est l'X de 1950, pas du siècle nouveau.Partant du constat que l'Ecole devient une Institution d'education scientifique de haut niveau, visant l'excellence mondiale,il faudrait, me semble t il, viser les partenaires ("stake holders") au niveau mondial ou à tout le moins Européen (malgré l'obstacle de la langue): candidats, décideurs de toute nature, milieux universitaires internationaux. 2)Le positionnement proposé ne me parait pas assez clairement défini:Revue de réflexion sur des sujets d'intérêt général mais est ce notre vocation ? ou Revue de management mais pourquoi faire ?etc.....Il me semble que nous trouverions mieux notre place en positionnant notre communauté par rapport aux évolutions de la Société abordées sous l'angle scientifique ou technique au sens large. 3)Je note en effet avec surprise qu'il est question de rigueur(?) de tradition et d'intérêt général(?) mais pas d'Innovation, ni de Science ou de Technologie ? Or il me semble qu'une Ecole qui draine une bonne partie des meilleurs scientifiques de chaque génération pourrait chercher à se construire une image très positive dans ce domaine.Je renvoie sur ce point particulier à la revue "TECHNOLOGY" du M.I.T. que je me trouve recevoir et qui marie de façon attrayante et intelligible la présentation des avancées technologiques majeures dans des domaines variés,la présentation des travaux des laboratoires du campus, et les nouvelles des anciens élèves. 4)La rédaction actuelle des articles de fond, malgré de récents progrès, reste souvent indigeste au moins pour des non spécialistes.Il me semble qu'il est important que cette dimension soit mieux prise en compte à l'avenir.



Il y a peut etre un deficit d'image de l'X en France, mais ce deficit est massif a l'etranger. Si une telle revue trimestrielle est faite, elle devrait etre bilingue francais-anglais, et etre diffusee en priorite a l'etranger. Je suis conscient que cela represente un effort de beaucoup plus grande envergure, mais je pense qu'une telle revue purement francaise ne presente en fait que peu d'interet. La Fondation X pourrait participer a cet effort de diffusion a l'etranger. Par ailleurs, je trouve les sujets actuales de la J&R generalement interessants. Par contre ce qui limite ma lecture est qu'ils sont en general ennuyeux: je commence, mais ne finis pas !


OUVERTURE INTERNATIONALE. LA SCIENCE OUVERTE A TOUS. OK POUR HAUT DE GAMME MAIS EVITER L'ELITE ET L'INTELLECTUEL.


1.La Jaune et la Rouge montre actuellement des réalisations qui ne sont pas uniquement issues de polytechniciens. C'est tant mieux. L'X n'est pas un résumé du monde à soi tout seul. Il faut aussi savoir reconnaître et promouvoir les complémentarités. L'image du polytechnicien doit autant être celui qui fait que celui qui entraîne et coordonne. 2.Tout en étant incapable de citer par coeur la liste des thèmes des derniers numéros, je trouve que les sujets autour de la banque, de la finance et du conseil sont sur représentés. Je jette certains numéros quasi immédiatement après les avoir reçus. Je pense qu'il doit y avoir une variété thématique dans chaque numéro (par exemple: sciences & technique/ management / politique / art ). 3.Je me méfie du mot 'prestige' qui est difficilement compatible avec 'intérêt collectif'. 4.Que veut-on faire du prestige, se rengorger entre soi, français du même milieu, ou attirer des hommes et femmes de coeur et intelligents, dans des études qui les conduiront à être eux mêmes leader dans une tradition de bien public. Prévoir une distribution européenne au moins. 5.Haute tenue intellectuelle OK, mais pas trop chiant, ni trop austère!!


En anglais! Diffusion européenne + US si possible


L'X souffre d'un deficit de reputation a l'international. Un des buts vises devrait etre de promouvoir l'ecole au niveau des autres institutions figurant au sommet au niveau mondial.


En ce qui concerne le lectorat visé, il me semble indispensable de ne pas se limiter à la seule communauté nationale, mais viser également les élites européennes (à travers le choix des sujets abordés, ou par exemple en proposant en fin de revue un digest des principaux points abordés traduits en anglais).


La revue doit absolument s'ouvrir au-delà de la France, traiter des sujets internationaux, et être diffusée a l'étranger via les divers réseaux d'expatriés.


lui donner une orientation plus internationale en ayant une version anglaise et une diffusion bien plus large à l'extérieur du monde francophone.


Il n'est fait aucune mention dans la description du lectorat cible de l'international. Il est sans doute visé, mais demande une activité spécifique dans dans la façon dont il est ciblé que dans le contenu lui même. Au delà des dossiers faits par 1 X, il peut être intéressant de croiser ou rassembler des opinions différentes sur un même sujet (la communauté polytechnicienne étant dans des doamines suffisamment variés pour que les dossiers fait par une seule personne ne soient pas forcément représnetatifs de l'activité ou l'avis de l'ensemble des X travaillant sur ce domaine. En bref : plus de partage et pas seulement des exemples uniques.


Viser un lectorat international, traduction anglaise...


diffusion à un lectorat INTERNATIONAL


Il faut somme toute un positionnement similaire au McKinsey Quarterly ou au Harvard Business Review, avec des etudes peut-etre de nature plus scientifique. Il faut s'inspirer plus de l'actualite et allier des travaux de recherche business avec des experiences ou analyses d'operationnels X. La revue serait sans doute mieux en version anglaise, non ??? En terme de mise en place, il faut un vrai service de presse professionel qui s'adonne a la diffusion du contenu et de faire en sorte que le contenu soit ensuite repris et cite.


parution peu frequente mais reguliere : bilan annuel ? diffusion internationale et particulieremnt en europe : autres ecoles et universites ?


l'INTERNATIONAL : en faire une version en anglais et la diffuser à l'international.

Ce n'est pas parce que je ne lis pas certaines rubriques qu'il faut les supprimer; ex: je ne m'intéresse pas aux vins, mais d'autres y portent grand intéret Le but principal de la modification envisagée est de porter VERS L'EXTERIEUR une image cohérente de l'X qui vient d'être profondément modifiée et que même les très anciens (comme moi promo 37) ne connaissent plus ; le type même d'organisation n'est en rien comparable aux Ecoles et université du monde anglo saxon; c'est cela la cible principale à toucher Nous avons vécu pendant des siècles dans le monde hexagonal; la France n'est plus le centre du Monde mais l'X reste doit rester, peut rester l'une des meilleure ecole de formation de ce monde nouveau que nous découvrons et qui doit nous decouvrir BONNE CHANCE !!! G DREYFUS X 37


Faire connaitre l'X dans les pays anglophones (langue de l'internet) en particulier aux USA (universités, MBA, et grandes affaires).


Un résumé des articles de fond devrait paraître dans un site internet "Polytechnique" ouvert à tous. Ces résumés devraient être traduits au moins en anglais. Ainsi, ces réflexions issues de l'expérience de responsables souvent de haut niveau pourraient se répandre hors du milieu réduit des X.


Ce n'est pas une revue, qui se verra dans les salles d'attente du lectorat extérieur aux X, qui créera une image L'image existe et n'est pas si convenue que vous l'affirmez et elle est due à deux cents ans d'action sur le terrain. ce qui est précisé dans l'annexe m'inquiète car on risque des prises de position politiques, religieuses ce qui est contraire à l'esprit polytechnicien qui est fait d'une véritable tolérance. Enfin la participation de journalistes professionnels n'a rien à voir avec l'image que l'X est censé vouloir créer d'après le projet Si cette revue devait finalement être créée,l'utilisation de l'anglais dans des résumés précis devrait être examinée,voire pour des articles entiers si l'anglais est la langue de l'auteur avec dans ce cas résumé en français


quelle audience viser à l'étranger? Peut - on envidager une édition anglaise?


Surtout, ne pas faire une Revue franco-française. Titre comprehensible par les anglophones. Recherche d'un lectorat étranger.


Attacher une grande importance à l'ouverture européenne et internationale de la revue.


L'ouverture me parait importante, mais il me parait essentiel de ne pas perdre de vue le lien avec la communauté polytechnicienne


Ne pas donner la plume qu'aux seuls X de renommée... Ne pas négliger le "bulletin" . Revue payante ou gratuite? Distribution à l'étranger? Textes ou sommaires anglais? (désolé d'avoir plus de questions que d'apports positifs...Quant au titre, il mérite plus de réflexion)


Ce n'est pas une suggestion mais une information : j'ai de nombreux amis belges de l'industrie. Ils ont une appréciation très élogieuses de la revue et pourraient être une cible (cadres économiques et industriels étrangers)


compte tenu de l'internationalisation de l'X,il faudrait examiner la possibilité de faire une fois par an un numéro en anglais destiné à avoir une large diffusion mondiale,notamment dans les pays d'où viennent les élèves;certes eux sont francophones,mais leur environnement ne l'est pas forcément


Changer l'"image" de l'X auprès de communautés administrativo-politico-professionnelles françaises me paraît un objectif aussi utopique qu'inutile. Plus important serait - à mon modeste avis- de faire en sorte que des étudiants étrangers, y compris US, puissent et veuillent intégrer l'X comme alternative aux plus prestigieuses universités US. Devinant la profondeur et l'étendue des changements de mentalité qu'entraînerait une telle approche, je suis conscient d'être, moi aussi,dans l'utopie...


prévoir une diffusion européenne et auptès des grandes écoles et universités scientifiques


mettre en evidence les liens entre science, technique et decision se situer davantage dans un contexte européen et international en donnant par exemple la parole à des ecoles etrangeres


Une édition abrégée en anglais pourrait s'envisager ; du moins si la revue atteint au rayonnement escompté. Elle serait destinée à un lectorat étranger choisi.


La cible doit inclure les grandes Universités étrangères et naturellement être bilingue.Peut-être aussi certains centres de décision étrangers et internationaux peuvent-ils ëtre visés,quils soient publics ou privés?


Prévoir une large diffusion à l'étranger( Administrations, Instituts,Entreprises


Les questions ne correspondent pas au projet. Quel est l'objectif? Peut être notre "modestie" doit elle en souffrir, mais nous n'existons pas à l'étranger. Une revue de prestige ne peut pas se cantonner à l'hexagone voire à Palaiseau. La seule école un peu connue est l'INSEAD. Un petit coup d'oeil vaudrait peut être mieux qu'une mauvaise impasse§


Elargir lectorat et le sujet au monde des affaires global avec, biensûr une version en anglais


Je pense que le lectorat cible occupe une position encore plus convenue que celle des X, qu'il entretient à dessein, car impliqué dans des circuits d'influence, groupes de pression ou filières notamment administratives et politiques dont l'intérêt est d'entretenir cette image. J'aurais mieux compris que cette publication se fixe comme objectif de nous faire connaître à l'étranger car dans bon nombre de pays même européens, Polytechnique signifie Zurich ou Varsovie. Par ailleurs il me semble que la Fondation dispose de moyens suffisants pour assurer elle même sa promotion. Donc finalement, le projet envisagé a toutes chances de se résumer à beaucoup d'efforts et d'argent engagés pour un piètre résultat.


PARMI LES TRES BONNES ECOLES, L'X EST CERTAINEMENT LA MOINS CONNUE DE TOUTES, ET DE LOIN, DE LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE. TOUTE DEMARCHE QUI N'INCLUE PAS UNE REDACTION EN ANGLAIS (ET NON PAS UNIQUEMENT UN RESUME) NE FERA PAS AVANCER CETTE SITUATION. ET ON PEUT SE POSER LA QUESTION DE L'AVENIR D'UNE ECOLE QUI N'A PAS DE RAYONNEMENT INTERNATIONAL


(1) Une version en American English ? (2) Il ne faut pas changer la carrosserie, il faut simplement bien l'astiquer et ameliorer l'interieur. J'imagine que le mensuel est cher et que le trimestriel permettra d'avoir une meilleure qualite pour les articles ?


on ne peut que souscrire à un projet aussi ambitieux; cela dit, il faudrait absolument éviter qu'il aboutisse à l'exaltation de notre image de caste, d'élitisme et d'arrogance, qu'il faut dépasser.La revue trimestrielle doit être OUVERTE et "GLOBAL"( avec articles en anglais si les auteurs sont anglais par exemple) pour espérer toucher le public visé:la description faites ci-dessous me paraît encore trop introvertie.


Cibler aussi sur les adminitrations et les entreprises tournées vers l'international francophone. Peut être prévoir aussi une version anglaise ?


Si j'ai bien compris, le lectorat cible semble plutot français. Cela n'est pas precisé de façon claire mais semble sous-jacent. Il me semble important d'élargir le lectorat, malgré l'obstacle de la langue française. Cependant elle est relativement bien lue des élites étrangères qui peuvent contribuer à faire l'opinion (même aux USA!). Mais je conçois que l'identification précise de ce lectorat (pour être efficace) ne soit pas simple. Cependant on pourrait commencer par élargir la cible à la communauté francophone (essentiellement Amérique du Nord - Canada/Louisiane - et Europe dans un premier temps), les alliances françaises et les lycées français, sans oublier des embassades importantes, françaises à l'étranger ou étrangères en France par le biais de leurs sections culturelles.


Destinataires : Cibler l'Europe, comme si la france n'en était qu'un échantillon


Abandonner la fréquence mensuelle pour le bulletin destiné aux X (6 bulletins devraient suffire) La partie de prestige doit avoir une édition en anglais


Le lectorat visé doit comprendre l'étranger ; le problème majeur est alors celui de la langue ; je propose de maintenir le français et d'adjoidre les résumés en anglais. Vraisemblablement les promoteurs de la nouvelle revue ont regardé en France... et à l'étranger ? L'intérêt d'une telle revue se situera dans ses aspects originaux (évidemment direz-vous) et c'est le plus difficile à accomplir : une revue "généraliste" mais "polytechnicienne"... (plus facile à dire qu'à faire je le reconnais). J'aperçois maintenant une Annexe : un peu tard.


Une ouverture plus grande sur le monde, avec des articles traduits de magazines comme Atlantic Monthly, etc. Il faudrait une vraie équipe de journalistes, polytechniciens ou non.


La "doubler" par un site Internet, l'éditer en bilingue, la relier à d'autres écoles européennes, la compléter par des forums et séminaires, ainsi qu'une Fondation, voir comment "absorber" l'école de paris du management de Berry et Aveline ...


Penser à une couverture européenne , voire encore plus internationale, avec des sujets (ou des résumés) traduits en anglais et/ou d'autres langues europénnes (espagnol, italien, allemand,...)


version anglaise pour le rayonnement hors des limites très étroites de la francophonie, notamment vers l'Union Européenne


je ne vois pas le bénéfice que retirerait la communauté X de cette revue Si nous voulons faire valoir une contribution à certains sujets de fond, il vaudrait mieux organiser /participer à des colloques spécifiques dont les actes pourraient être diffusés. Il faut penser également à ne pas viser uniquement l'environnement franco-français, pour lequel la revue dans sa forme actuelle est bien suffisante. Nos défis en entreprise sont européens et mondiaux.Cela devrait conduire à une réflexion sur la langue utilisée....


Les mots du mail 'revue iconoclaste, rigoureuse, originale ' résumaient au mieux le concept que je soutiendrais, et ils pourraient figurer sur la 1ère ou 4ème de couverture, comme un engagement éditorial. Garder un thème principal à chaque numéro, avec 4 à 10 contributions dont 1 à 3 de non X, plus quelques articles accrocheurs annoncés sur la 1ère de couverture, complétés systèmatiquement par des réponses + brèves de 1 à 3 contradicteurs sollicités. Inclure au moins 1/3 d'auteurs de chaque sexe, et au moins étranger(e) à chaque numéro. Inclure un descriptif de contenu en français en 1 page,complété en fin de numéro par sa traduction en anglais, allemand, espagnol, italien, arabe, les 5 langues des voisins de la France. Prévoir rubrique de compte-rendus de lecture d'ouvrages décapants/originaux/utiles, d'auteurs X et non X. PS: j'ai écrit ça avant d'avoir lu vos paragraphes in fine.


- comme pour les revues de bord des compagnies aériennes , il faudrait peut-être qu'elle soit bilingue .


L'ouvrir aux non polytechniciens donnant leur point de vue sur les X + éventuellement des annonces (emploi, ...) Faire aussi le lien avec l'étranger (les X à l'étranger, les liens avec des écoles "similaires" à l'étranger, ...


Le lectorat cible devrait être plus ouvert : - milieux universitaires et recherche - international, notamment européen. La revue devrait comprendre un encart présentant le sommaire, éventuellement un peu étendu, en anglais (voir par exemple celui de la revue Air


Je suggérerais que certains articles ou interviews soient rédigés par (ou avec) des anglo-saxons (et qu'il soient transcrits directement en anglais). Cela montrerait l'ouverture internationale des X, pour qui, j'en suis persuadé, la langue de Shakespeare n'est plus un obstacle.


La revue doit-elle contribuer au rayonnement international des X (oui) et comment y parvenir ? Eviter en tout cas qu'elle soit ciblée exclusivement sur l'establishment administratif français et ses appendices.


Pour un rayonnement international, il vaudrait mieux changer de nom : être plus explicite, et inclure "polytechnique" dans le nom de la revue, de type "Harvard Business Review". Concernant la publicité : sans vouloir totalement l'exclure, il serait bon d'en limiter la place. Le dernier numéro de novembre sur le conseil en management est surchargé de publi-rédactionnel et d'annonces publicitaires. J'apprécie particulièrement ce numéro qui fait le point sur les nouvelles approches de management, mais il tourne depuis peu à la vache à lait de la revue.


Cibler aussi les jeunes qui n'ont pas de pourvoir et ont besoin d'apprendre Réfléchir au rôle de la revue dans la capitalisation des connaissances Enfin donner une dimension résolument européenne, sans écarter le français


Ne pas oublier le caractère international des problèmes!!! Pourquoi ne pas envisager une version anglaise à l'attention des décideurs européens?


C'est plus encore vis-à-vis de la communauté internationale que nous souffrons d'un déficit d'image. Je rèverais plutôt d'une revue qui serait à notre communauté ce que le Lancet est à la communauté médicale. (devrait-on faire une revue bilingue ?) Le dossier mensuel est en général très bien. Il ne devrait cependant représenter que la moitié des articles de fond afin de conserver à ce journal cet aspect multi centres d'intérêts qui rime si bien avec polytechnique.


. quid du rayonnement international, ie. version anglophone (me parait important)? . pas "iconoclaste", originale/attirante/stimulante/facile d'accès . des résumés d'articles, en tête des articles. .parler de l'école, de ses succès, des anciens qui ont "réussi" (R&D, entreprise, politique, social,...)


articles en anglais possibles


Resume des articles en anglais; articles de toutes provenances, pas seulement des X; certains en anglais


prévoir des résumés des articles multilingues


diffusion internationale; bilingue; auteurs étrangers la qualité actuelle des articles est de niveau suffisant mais il faudrait sélectionner les sujets qui intéressent la cible visée


Lectorat: et les etudiants? Voire les ('minables' a ce qu'il parait) patrons ou d'ailleurs pas patrons de PME, qui ne sont pas tous X? Et Monsieur tout le monde? C'est difficile mais si la revue peut a la fois etre tres prestigieuse mais tout de meme pas inabordable pour M. Toutlemonde ayant un interet intellectuel? Presence de resumes en anglais, voire autres langues? (Chinois, etc..) Interet de l'Epistemologie, la science ou l'X pourrait le mieux se retrouver.


N'oubliez pas les Scientifiques et les responsables de l'Education dans le lectorat cible. Reprise de sujets Europeens (aussi avec le but de positionner les X comme elite Europeenne). Dans ce contexte on pourrait envisager des resumes en anglais pour les articles de fond. Ainsi la revue pourrait s'adresser aussi a des elites Europeennes non parfaitement francophones.


Le present objectif et surtout ses cibles sont trè orientées sur la France.Il me semble fondamental de plus ouvrir la revue sur le monde et de toucher ceux qui connaissent moins l'Ecole que les francais;une distribution internationale avec une part de traduction ou des articles en anglais est nécessaire.


Il faut une régularité "métronomique" pour la publication. Il faut des abstracts en anglais pour chaque article Il faut imposer un langage limpide aux rédacteurs (l'image "techno" nous colle à la peau)


Remarques de détails : - 1) sur les rubriques "culture" (théatre, spectacles) : ne servent à pas grand-chose si elles arrivent 3 mois après. l'intérêt est à la marge, si elles sont d'excellente qualité (ex, celles sur le cinéma dans Etudes) - 2) le décalage dans le temps est un peu moins important pour les rubriques livres/disques : il s'agit d'avoir / de donner des analyses profondes ... là encore, le style compte pour beaucoup, en plus du choix de la sélection(celles de Esprit par exemple) 3) le lectorat visé - doit être d'emblée international, ce qui pose le pb de la langue, évidemment. en tout état de cause, on peut viser la francophonie, et envisager sérieusement une traduction en anglais au moins. - peut inclure les universités (étrangères notamment) les centres de recherche sur l'action publique si on s'en tient à l'intérêt général (government studies aux US, etc.) ou centres de recherche scientifiques plus généralement (économie, politiques, ...) 4) le prestige de la revue est peut-être lié à celui de l'Ecole. celui-ci est une trauction de la recherche de l'excellence, dans les domaines des sciences comme dans ceux de l'administration. La revue doit refléter la valeur de ceux-ci et l'expérience de ceux-là. 5) il y a des tas d'X spécialistes ou généralistes intéressants qu'on n'entend pas beaucoup (Lagadec, d'Iribarne, institut Pasteur, ...), et d'autres qui éprouvent le besoin de fonder un institut pour être entendu ... la revue pourrait donner un espace à ceux qui n'ont pas les moyens de se payer un institut ! organiser des colloques, des travaux etc. 6) il est peut-être utile d'alterner des analyses théoriques avec des études de cas réels. Il est essentiel d'avoir un rédacteur en chef pro, une ligne éditoriale serrée, des articles bien rédigés (ou relus). ça paraît évident, mais ne semble pas si courant. Sur la méthode à employer pour refonder la JETR, quels modèles avez-vous en tête ? y-a-t-il un groupe de travail ouvert ? Je serais heureux de contribuer au projet de refonder la JETR. Bien amicalement, claude perez (X80)


articles bilingues diffusion plus large (moins franco-française)


Je pense qu'il faut absolument sortir du cadre franco-francais et proche de l'administration. L'Ecole et ses anciens élèves ont besoin d'une augmentation significative de son rayonnement et un bon objectif serait à mon avis de se rapprocher d'une image de "Harvard des sciences". Par nature scientifique et modeste, nous répugnons en France devant les moyens parfois racoleurs des universités américaines mais en final les résultats en termes d'attractivité leur donnent raison. L'industrie française étant de plus en plus dépendante de capitaux étrangers, il est important que les X puissent trouver des carrières à leur mesure dans des groupes internationaux et cela passe aussi par cette revue dont vous avez le projet


Cette revue ne doit se limiter a une cible Francaise. Importance du rayonnement internationnal. Edition en Anglais necessaire.


un résumé en anglais au début ou à la fin...


Etendre la diffusion à l'international avec une version anglaise La lecture du questionnaire est rendue pénible à cause des apostrophes qui deviennent rsquo;


Revue bilingue ?


Le lectorat doit etre plus international. Le rayonnement de l'X a l'etranger est tres tres faible. Tout le monde connait le MIT ou stanford en France. Personne ne connait l'X aux USA (ou j'habite). Un objectif de la revue pourrait etre de renverser cette situation. La langue sera bien sur un obstacle.


Illustrer des cas concrets de réalisations remarquables ou originales, conduites par des X; Editer une version en anglais?


Il me semble essentiel de viser un lectorat international. Il est nécessaire pour cela de prévoir une édition en Anglais, et de cibler un lectorat pertinent: dirigeants des grands groupes, universités et centres de recherche, ministères, ambassades,...


publier la revue (uniquement) en anglais, puisque le rayonnement doit etre international; s'inspirer du Harvard Business Review pour le format; les auteurs des articles doivent avoir un lien avec l'X;


Trois remarques seulement: - il me semble important de vérifier régulièrement l'impact de la revue sur le public visé. - le rôle du comité éditorial est fondamental, l'assistance d'un professionnel pourrait peut-être s'avérer bénéfique. - une partie internationale en anglais pourrait être intéressante.


L'impact de l'ecole a l'etranger est nul. Dans le monde d'aujourd'hui la revue doit etre bilingue Francais - Anglais En anglais le nom 'Polytechnique' evoque tout sauf le haut de gamme. Plutot donc capitaliser sur le 'X' pour le titre de la revue


introduire des articles ou des résumés en Anglais


Une version anglaise ? Un bon titre évoquerait les notions de rigueur et de précision des faits et analyses présentés, sur lesquels seraient fondées les opinions et/ou les théories avancées. (Par opposition à la presse adaptant les faits et analyses aux opinions ou fantasmes mis en avant). De ce fait, la revue aurait nécessairement un esprit mêlant paradoxe et réalité (et non pas provocation et fantasme). La synthèse se faisant sous les auspices de l'esprit de finesse. Exemples de titres : "Paradoxes et Réalités", "X-Files" (pour ceux qui connaissent la série), "L'Esprit de Finesse", "Décryptages", ...


S'inspirer des revues de type Harvard Business Review, qui inclue aussi des articles de reflexion de personnes non diplomées d'Harvard mais dont les reflexions peuvent être d'interet pour la communauté des lecteurs. Ne pas se contenter d'articles scientifiques mais inclure aussi des reflexions du type business, organisation, corporate management... Pourquoi pas une Version Anglaise (renom de l'ecole...)? Pourquoi pas une version online des articles (payée par subscription par ex.) voir: http://www.hbsp.harvard.edu/


Diffusion en dehors de France, obtenir la contribution de grands dirigeants et de hauts responsables etrangers en general Utiliser ce qui fait le succes de la Harvard Business Review - je ne suggere pas d'en "copier" le contenu mais uniquement ce qui fait sa notoriete et contribue a la notoriete d'Harvard


quand on fait des sondages, il est bien vu de laisser croire au lecteur qu'on s'intéresse à ce qu'il pense, et pour ce faire, lui laisser des espaces de commentaires. donc, j'ai trouvé un espace, je m'exprime : question I1 : je ne savais pas qu'on pouvait être membre de l'ax sans s'abonner. maintenant que je le sais, je vais en profiter q. I5 : la réponse que je voudrais faire est : "oui et c'est dommage !". merci de n'y voir aucun mauvais esprit d'une manière générale, ce genre de revues de "prestige" n'est lu par personne, sauf les visiteurs dans les cabinets de chasseurs de têtes. tant qu'à faire, on pourrait racheter la revue politique et parlementaire, elle vient de déposer le bilan... et si jamais vous la lancez qd même, ayez la bonne idée de la rédiger en ANGLAIS !!!!!!


les dossiers thématique recellent quelques perles, mais pas toujours (points de vue iconoclastes, vision très pointue...). Il faut cultiver cela en étant plus exigeant avec les auteurs (éviter le confort de la présentation institutionnelle), y compris les non X. S'inspirer du niveau de "Esprit" ? Ne faudrait-il pas une revue bilingue français-anglais ? Il faut y mettre les "In memoriam"


Pour atteindre son objectif, il faut instituer un comité éditorial ayant pouvoir de décision sur la parution, et constitué d'experts reconnus des différents domaines traités, X et non X. Ce comité doit être international, avec des membres académiques et de l'entreprise. Il faut bannir les articles de camarades "amateurs éclairés" sur les sujets. Cette revue doit être le reflet de la recherche et de l'innovation dans les domaines de compétences de l'Ecole, sciences "exactes", sciences sociales, gestion... Cette revue doit être résolument ouverte sur l'international et l'europe. Pourquoi ne pas la publier en anglais ?? Elle doit être dans les domaines de compétences de l'Ecole et pour l'Europe ce que la Harvard Business Review est aux US.


Envisager un rayonnement international. L'X reste trop granco-française, et cette initiative semble pâtir du même problème. Nous vivons dans un monde globalisé. Il ne faut pas nous "regarder le nombril".


- Prévoir une édition en anglais pour une diffusion à l'étranger - Prévoir un accès des articles sur le web - Y aura-t-il un comité de lecture qui approuvera la publication (et validera le respect du sens éditorial)?


L'ouverture sur l'international, dans la diffusion et le contenu est tres importante. S'inspirer des revues des business schools anglo-saxonnes peut etre utilePas d'idee precise sur le titre, mais je pense qu'il serait souhaitable de ne pas avoir "X" inclus, si nous souhaitons changer la perception actuelle


La revue des anciens HEC est beaucoup plus vivante, et moins austère. On pourrait s'en inspirer. Pour une diffusion plus large, il faudrait que la revue soit en Anglais.


Cette revue devrait être écrite en anglais pour montrer l'ouverture internationale de l'Ecole. Sinon elle risque d'être une revue franco-française. Bien montrer la modernité de l'Ecole, en rapport avec la réalité de la vie économique : éviter les récréations mathématiques complétement ringuardes...


Je soutiens tout à fait l'orientation prise, en particulier montrer la diversité des métiers et filières suivies par les X en France et à l'étranger. La revue devrait être un fin mélange entre articles de fond/thématiques, réflexions sur l'actualité (et comment les X y contribuent), et témoignages d'X sur leur expérience professionelle. J'introduirais bien quelques pages en anglais et la participation des nouveaux diplomés étrangers. Cette revue doit être un vecteur de l'image et du rayonnement international de l'X.


Je suggererai: - de traduire les articles an anglais et/ou d'accueillir des articles an anglais pour atteindre un lectorat internatinal. - demander des articles de scientifiques, chercheurs, economistes sur des sujets d'actualites - differentes sections: sciences appliquees, sciences fondamentales, sciences sociales, economie, management.. - resumes et exposes thematiques et references pour approfondir


1. Pour le format et les thèmes, un bon exemple serait de s'inspirer de la revue "McKinsey Quarterly", trimestriel du cabinet de conseil destiné principalement aux dirigeants d'entreprises. Le format, la périodicité, la nature des articles et leur mode de traitement pourrait correspondre en partie aux objectifs visés par la nouvelle revue ciblée. (pour plus d'infos, site www.mckinsey.com 2. Dans un but de "reconnaissance internationale" de l'Ecole, il faudrait probablement envisager une partie de la revue en anglais (ou un "abstract" ?)


Le mail reçu m'invitant à remplir ce questionnaire pointe l'ouverture à l'internationale. Cependant, les objectifs semblent assez hexagonaux. Il me semble que l'X manque aujourd'hui de reconnaissance internationale bien que les récentes réformes intègrent cette priorité. Cette revue de haute tenue ne devrait-elle pas viser l'étranger ? L'emploi de l'anglais (qq articles, résumés, ...) ne serait-il pas une bonne chose ? rem : je viens de lire l'annexe qui précise que la revue ne dois pas être franco-française : donc la question est déjà prise en compte, reste à savoir sous quelle forme.


En quelle langue doit paraître cette revue ? Je pense en anglais et en francais


Du point de vue d'un expatrie, la principale lacune dans le rayonnement de l'X est l'international. Je doute fort qu'une revue, aussi attrayante soit-elle, puisse reellement modifier la perception francaise de l'X. Peu de gens connaissent l'X a l'etranger. Des publications comme la Harvard Business Review contribuent beaucoup au prestige de leur universite d'origine. Le probleme est que qui trop embrasse mal etreint, et il est difficile d'envisager un sujet federateur (inutile, par exemple, de faire un sous-HBR). Une suggestion: une revue trimestrielle destinee aux lectorat envisage, mais international, avec comme theme celui d'expliquer les ressorts de l'economie et du marche francais (avec implicitement une perspective polytechnicienne, naturellement). On pourrait imaginer des contributions de sociologistes comme Philippe d'Iribarne, ou de hauts fonctionnaires, ou de cadres superieurs. Si une telle revue devient la lecture de reference pour les cadres britanniques, allemands, americains ou japonais qui interviennent en France, nous comblerions un vide et prendrions une position strategique pour devenir les interlocuteurs de reference pour nos partenaires commerciaux.


Avoir une partie ou toute la revue en Anglais. La revue se doit de developper une image et une reputation internationale. Utiliser non seulement les anciens eleves, mais les enseignants de l'Ecole pour contribuer a des articles.


Concernant les articles, la ligne editoriale doit clairement empecher que rigueur rime avec exposé exhaustif des problematiques abordées (et donc eviter l'ecueil de certains articles de la JR developpant en longueur des sujets de specialistes). Dans le sens de l'ouverture internationale, il faudrait peut-etre envisager une mise en page laissant la place à des traductions ou "synthèses" en anglais des différents articles.


Il serait important de faire paraitre des profils d'X ayant reussi en France et a l'etranger. Souvent les etrangers ne comprennent pas bien l'Ecole et son diplome mais connaisse bien certains des anciens.


Il faut s'ouvrir au maximum. Je pense que des rapprochements ponctuels avec d'autres grandes écoles, scientifiques ou autres (HEC, ENA, etc...), ou autres grandes organisations (pourquoi pas l'Académie Française, ou l'Hôpital, ou la NASA, etc) donneraient une image plus attractive d'un monde qui paraît, somme toute, assez fermé pour les gens de l'extérieur. Ce serait tout à notre honneur de montrer que nous allons vers les autres. Ne faut-il pas également penser à en faire une revue exportable hors de France. Qui sait ce que vaut un X hors de nos frontières. Par expérience, pas grand monde... Au moins quelques pages en anglais seraient les bienvenues. Enfin, n'oublions pas de montrer qu'on peut faire quelque chose de grandiose et rigoureux, sans se prendre trop au sérieux... Rions un peu à nos propres dépends (tout en restant raisonnables, attention à la presse), nous n'en paraîtrons que plus humains. Good luck. J'aime bien ce projet.


Essayer de dénicher auprès des camarades ou à l'extérieur de la communauté X des initiatives ou des réalisations significatives qui font avancer la société ou l'économie. En particulier, une rubrique "vu ailleurs" pourrait nous ouvrir les yeux sur des façons de faire à l'étranger qui pourraient être utilement appliquées en France.


- résumés des articles en anglais (favorise une diffusion internationale - universités ou davantage) - contributeurs X et non-X, pas nécessairement 50/50 - cadrage cible : "Revue", vitrine technologique, "la vie des X", un peu de tout ? cf. notamment le positionnement des revues de grandes universités étrangères (MIT, EPFL) qui se servent de leur revue à la fois pour attirer des étudiants, pour valoriser leurs initiatives industrielles, etc. Pas nécessairement pour faire "réfléchir la société"


- les rédacteurs devraient rester majoritairement des X - la revue devrait également viser un lectorat étranger, quitte à être publiée dans une version en anglais.


je pense que viser un lectorat international peut apporter beaucoup (positionnement de l'X vis à vis des grandes universités étrangères). Envisager des articles en anglais peut être un plus.


L'X reste tres mal connue et peu appreciee a l'etranger. Une attitude purement centree sur le milieu et le "public" francais me parait etre une erreur. Pourquoi ne pas envisager une formule mixte, avec par example 3 (ou 4)numeros par an en francais cible sur la communaute francophone, et un numero special annuel en anglais avec une orientation mondiale? Ou meme plus aggressif: 2 numeros en francais, 2 numeros en anglais?


Quid des PME et des cadres intermédiaires ? Pourquoi ne pas en faire une revue internationale mensuelle en anglais, sur le modèle de Harvard Business Review ou MIT ? L'approche me semble trop orientée grosse structure.


1) Viser non seulement un lectorat francophone mais aussi, dans une mesure raisonnable, un lectorat international. Pour cela, inclure des articles en anglais voire meme dans d'autres langues. 2) Accorder davantage de priorité au contenu qu'au contenant (des articles médiocres sur papier glacé ne font pas une bonne revue).


- Prévoir une traduction en anglais des principaux articles pour s'adresser aux cibles anglo-saxones (=> RAYONNEMENT A L'ETRANGER) - Déclinaison Internet indispensable (archives, forum, ...) - Maquette moderne - Prévoir des rubriques traitant de l'actualité internationale


En anglais, au moins partiellement, seul moyen d'obtenir un rayonnement hors de France, qui me semble être une ambition légitime de l'X Il me semble que regarder ce que font les business school comme HBS ou Insead (INSEAD quaterly) pourrait être instructif


1) On pourrait rattacher cela à une fondation, à créer, type fondation à l'américaine (ou fondation St-Simon..., ou fondations que veut aujourd'hui créer l'UMP), mais qui aurrait l'avanatge d'être indépendante politiquement. 2) Pour être lue par lectorat viser, il faut que les X puissent construire une image d'intellectuels, concurrencçant les énarques, et que nous n'avons pas à cejour. La revue est un bon intrsument, si elle est reliée à une fondation, à un lieu d'échange , qui peremtte de faire témoigner d'autre horizon professionnels. Par exemple les groupes X (j'ai l'expérience de X-Banques) pourraient être mis à contribution pour créer de véritbales groupes de réflexion sur des sujets de sociétés, destinés à influencer les décisions notamment politiques. 3) Sur la volet entreprises/managériale, il faudrait des cas concrets de réalisation, permettant de montrer des solutions originales, mais aussi... que les X sont à des postes clés.C'est à mon avis important en terme de promotion externe et également pour être écoutés des chefs d'entreprises ou grandes entreprises. 4) Volet international : au moins un sujet par revude devrait avoir été traité en "partenariat" avec soit une revue similaire de grande université européenne ou américaine, soit des responsables (politique, entreprises)implantés hors de France.


Elargir la diffusion à un lectorat international ??


Il me semble que le lectorat visé est trop centré sur la France alors que c'est une ouverture sur l'Europe et le monde qui est visée


Traduction de l'article principal ou des synthèses en anglais...


version bilingue franco-anglais pour se faire conaître à l'étranger (le point faible de l'école)


Ecellente idée que de promouvoir l'Ecole de cette manière, d'autant que d'autres (l'ENA pour ne citer qu'elle) s'y sont déjà mises. Puisqu'il s'agit notamment de faire connaître l'Ecole à l'étranger, il me semble indispensable que les articles - ou à tout le moins leur "executive summary" - soient traduits en anglais.


Le lectorat est pertinent... dans une approche franco-francaise. Il faut ABSOLUMENT que l'elite etrangere soit ciblee, et en consequence, que cette revue soit entierement bilingue ou disponible en Anglais. La vision d'une telle revue doit etre de devenir pour le monde scientifique ce que Harvard Business Review est au management. Il y a sans doute un creneau a occuper, au moins sur la scene europeene et il serait legitime que l'X l'occupe. Cela ne pourra se faire qu'avec des ambitions internationales fortes. Il faut que ce soit ambitieux intellectuellement mais que cela reste neanmoins accessible. Certains articles de la JETR aujourd'hui sont limites. La encore, le format d'HBS qui mele actualite, interview, articles de fond est un bon exemple. N'oubliez pas que les managers ont en general pas un temps infini...


Il faut ABSOLUMENT etendre le perimetre de cette revue : a minima, aux dirigeants europeens sinon, a la francophonie internationale au mieu au dirigeants US/Asie et Europe


si nous voulons faire decouvrir l'X a l'etranger (ce qui me semble un but important de ce changement) il faudra qu'au moins une partie du contenu soit en Anglais. Peut-etre certains des articles de fond devraient-ils etre ecrits soit entierement en Anglais, soit dans les deux langues. Autre possibilite: avoir une version electronique de la revue en anglais, et garder la version papier en francais.


orientation plus internationale (les X sont trop franco-francais, un peu d'air frais venu d'autres horizons ne ferait pas de mal)


Cette revue pourrait integrer des articles en anglais.


Peut-on imaginer une revue plus internationale ?( auteurs étrangers, diffusion dans les universités étrangères...)


Revue bilingue français-anglais Aller voir le McKinsey Quarterly pour une approche similaire Faire contribuer les élèves de l'Ecole pour ne pas être qu'un journal d'Anciens.


Il serait essentiel que cette revue soit egalement editee en anglais. Les revues d'ecoles "de reference" a l'echelle mondiale sont en effet celles des Business Schools americaines.


- Insérer une rubrique "parcours" pour mettre en exergue les parcours des X qui ont fait l'actualité récente (sur le modèle de ce que fait "la lettre de la rue Saint-Guillaume", par exemple). Cela permettrait probablement de mettre en valeur la diversité des débouchés auprès d'une cible non X. - mettre en valeur les travaux des "groupes X" (compte-rendu des conférences les plus prestigieuses, etc...) - "bilinguiser" l'ensemble des articles (français d'un côté, anglais de l'autre), ce qui permettrait de toucher un lectorat international (en particulier les universités cibles du recrutement de l'X), et représenterait un signe fort de l'ouverture internationale de l'Ecole...


Ouverture/influence des X a l'etranger, pour une reflexion veritablement globale...


Quelle langue pour cette revue? Un objectif de diffusion a l'international imposerait une version en langue anglaise.


Ouvrir un peu plus le lectorat visé aux lecteurs du milieu de la Recherche, et aux lecteurs étrangers. une revue bilingue? pourquoi pas.


(Remarque pour la coherence de mes reponses : je ne suis pas abonne mais je le lis regulierement, grace a ceux deposes au Bataclan) Pourquoi ne pas en etendre la diffusion a l'international, deja vers les pays francophones (Canada, ...), mais aussi vers les universites etrangeres (US, Europe, Asie, ...) pour des lecteurs francophones (X emigres, chercheurs et professeurs en lien avec ceux de l'ecole), ce qui contribuerait au rayonnement a l'international si cher a l'ecole ! Quitte a faire (oui, terrain glissant argh... ) un ou deux articles en Anglais ;) Sinon sur la premiere page de la revue, mettre une adresse internet (importance, emplacement et taille a determiner) donnerait une image dynamique (que ce soit celle de l'ax, de polytechnique.fr ou .edu, ou d'un site cree pour la revue...).


diffusion à l'étranger...









5. Suggestions relatives à Internet


Utiliser internet, y publier le sommaire des numéros de la revue. Annuaire des sites internet des abonnés, avec description succincte du contenu.

A l'heure d'Internet, on pourrait peut-être avoir un digest de la revue sur le site ?

Un résumé des articles de fond devrait paraître dans un site internet "Polytechnique" ouvert à tous. Ces résumés devraient être traduits au moins en anglais. Ainsi, ces réflexions issues de l'expérience de responsables souvent de haut niveau pourraient se répandre hors du milieu réduit des X.

L'initiative est louable,le projet est mal ficele. L'objectif est intellectuel,complique et marque d'arrogance ;ce n'est pas ainsi que l'on conquiert une nouvelle image et que l'on trouve un public elargi. L'objectif est tourne vers l'interieur de la communaute des X et non vers l'exterieur( la Jaune et la Rouge actuelle est illisible par des non-X ). La cible parait etre le microcosme politique/affaires/syndicats...parisien.On aimerait y voir souffler l'esprit du grand large a l'heure de l'Europe,de la mondialisation des echanges,de la percee des technologies nouvelles ( informatique,Internet, biotechnologies etc...). L'avant-garde du monde actuel,c'est le monde des entreprises,carrefour des innovations, des progres scientifiques et commerciaux par et a travers la satisfaction de clienteles de toutes sortes. Les sujets d'articles pourraient faire appel a beaucoup de pragmatisme, de preference des vecus exemplaires abondamment illustres (multimedia,images digitales ...),plutot que des traites techniques de specialistes fonctionnaires,en somme de bonnes histoires bien racontees ( envisager l'appui d'un journaliste de grande reputation ). Une revue trimestrielle ( frequence faible ) ne changera pas l'image aupres d'un public difficile a atteindre et d'autre part tres sollicite.Un vehicule plus moderne serait d'organiser les contributions de la revue autour d'un site Internet avec chat rooms organisees en plusieurs centres d'interet. Ainsi , on peut publier et consulter en continu , referencer et diriger sur de nouvelles cibles quand besoin est, organiser des conferences en temps reel avec des interlocuteurs aux 4 coins du monde.Il vaut mieux paraitre moderne voire d'avant-garde qu'academique et compasse. Pour toucher un public jeune necessaire pour creer une image nouvelle,en tout cas amelioree,une communication par Internet est une obligation. On ne peut faire a moins ( lorsque l'on peut acceder a la lecture du Figaro a toute heure et de partout).

- tous les articles doivent être disponibles sur internet (y compris la récupération des 5 dernières années de LJR) - rechercher des accords avec des homonymes européens

le site internet de l'AX doit être le reflet de cette revue; de plus, il permet par des forums, des liens et des contacts e-mail de rendre interactive la communication entre les acteurs, X ou non X, français ou étrangers.

Doit être construite pour consultation par internet: hypertexte et liens... cf. exemple de www.webencyclo.com

il me semble aberrant si l'on vise un rayonnement mondial de ne pas cibler une revue sur le web, accessible via X.edu et bien référencée Il me semble qu'il faudrait reprendre chacune des finalités de la communication de la communauté polytechnicienne (PA, Carnet, rédactionnel, vie des groupes,rayonnement international..)et et pour chacun d'entre eux se poser la question du vecteur le plus approprié (papier, newsletter, web,...) et d'examiner la périodicité la plus pertinente et l'équilibre économique Il me semble que celà nécessite une réflexion beaucoup plus fondamentale que celle qui est entreprise ici jm

La "doubler" par un site Internet, l'éditer en bilingue, la relier à d'autres écoles européennes, la compléter par des forums et séminaires, ainsi qu'une Fondation, voir comment "absorber" l'école de paris du management de Berry et Aveline ...

Pas reelement d'opinion sur le sujet, mais globalement assez sceptique. Personellement, je lis plus facilement une 'newsletter electronique' qu'une revue. (quelques unes sont excellentes) S'agit-il d'une entreprise commerciale ou quasi commerciale ? y-a-t il d'autres revues de haut niveau comme ce projet de part le monde ? Y a -t-il des precedents (success ou echecs) ? etc...

Prevoir une version WEB

donner la parole aussi à des non-X sur les sujets de fond afin d'éclairer chaque sujet par quelques vues pertinentes développées par "les meilleurs" je me pose la question de la langue : français bien entendu, mais pourquoi pas d'autres langues la version web

OUI: une telle revue releve du passe. Les gens sont deja debordes d'info. la harvard business review existe depuis longtemps, mais se lis de moins en moins. Il faut vous projeter dans le futur, et penser quelque chose autour de Web, online. Cela permet de mettre en oeuvre des communautes, plsu efficace et plus rapide. moins cher, et plus ecologique (on ne coupe plus des arbres pour imprimer du papier qui finit a la poubelle). Si je ne recoit pas la jaune et la rouge, c'est pour eviter de payer le prix de la revue. en ligne, l'equation economique sera meilleure.

Je suis un peu perplexe. Veut-on faire un "Commentaire" ou "Le Débat" dont les auteurs ne seraient que X ? Veut-on faire un "témoignages des X" ? Veut-on faire la revue de quelques "think tank" polytechniciens ? Je ne suis pas sûr qu'on accroche tellement en dehors de notre propre communauté (mais c'est le sondage qui dira si on s'abonne à la JR d'abord parce qu'on est à l'AX). Je crois nécessaire que, dans cette revue, il y ait une bonne partie sur l'histoire de l'école et des X. Je souhaite qu'y collaborent notablement des écrivains et journaliste réguliers non X. Je crois utile que le rayonnement de la revue soit également assuré par sa présence sur un site Internet, avec d'importantes possibilités de recherche des articles.

La lier à un site Internet comprenant en particulier des forums de discussion, permettant de poursuivre le débat sur les sujets évoqués dans la revue.

Etre associé à un forum électronique pour le courrier des lecteurs, et les réactions etc.. Traiter des sujets d'actualités scientifiques avec une logique de débats et d'explications (ex: OGM, inspection armes Iraq, Réchauffement, ..) et renseigner les sources d'informations accessibles sur le Web ("pour en savoir plus...")

Le support : on parle ici de support papier pour cette revue ou est il envisagé d'autres supports de diffusion (internet, cd rom,....) Une remarque : il me semble difficile , de traiter de sujets trés variés et d'être extrèmement pointu sur les sujets à traiter tout en voulant séduire un public extrèmement large.

L'accompagner par un site Web permettant d'interagir avec la rédaction.

S'inspirer des revues de type Harvard Business Review, qui inclue aussi des articles de reflexion de personnes non diplomées d'Harvard mais dont les reflexions peuvent être d'interet pour la communauté des lecteurs. Ne pas se contenter d'articles scientifiques mais inclure aussi des reflexions du type business, organisation, corporate management... Pourquoi pas une Version Anglaise (renom de l'ecole...)? Pourquoi pas une version online des articles (payée par subscription par ex.) voir: http://www.hbsp.harvard.edu/

- Prévoir une édition en anglais pour une diffusion à l'étranger - Prévoir un accès des articles sur le web - Y aura-t-il un comité de lecture qui approuvera la publication (et validera le respect du sens éditorial)?

Je suis d'accord sur le principe. Mais par contre les spécifications (voir ci-dessous) sont encore trop vagues pour que je puisse répondre aux questions 3 4. Le principal reproche que je ferais à la Jaune et la Rouge est sa complête opacité dans le choix des thématiques ainsi que des articles illustrant ces thématiques. La procédure qui me semblerait normale serait que chacun puisse faire des propositions de thèmes, que ces propositions soient diffusées suffisamment à l'avance(dans la revue, sur un site web), et qu'il y ait vote, ou dans un comité éditorial ouvert à tous les membres de l'AX, ou par internet. De même chacun devrait pouvoir proposer des articles sur les thèmes sur lesquels il s'estime compétent et le comité de rédaction aura pour fonction de sélectionner les meilleurs résumés. C'est en résumé le mode de fonctionnement de toute revue qui se veut scientifique. Si l'on reste avec le système de co-optation opaque actuel, rien ne changera quant à la renommée et au prestige de la revue.

- donner le profil d'X "atypiques" ou ayant réussi - créer un comité de lecture pour sélectionner les articles (éventuellement comité différent selon les thèmes) - archiver les numéros anciens et mettre à disposition via internet car les articles sont en général de très bon niveau et doivent viser à faire référence dans leur domaine - distribuer une synthèse / introduction du numéro mensuel par mail (format pdf par exemple) - réaliser des entretiens avec des personnalités variées - améliorer la mise en page : plus aérée avec des graphes / photos afin de rendre l'ensemble plus lisible - envisager une traduction en anglais de certains numéros spéciaux - envisager une "approche" commune des numéros spéciaux : un angle "scientifique" du thème traité, un angle "business", un angle "humain", un angle "historique" ...

- donner le profil d'X "atypiques" ou ayant réussi - créer un comité de lecture pour sélectionner les articles (éventuellement comité différent selon les thèmes) - archiver les numéros anciens et mettre à disposition via internet car les articles sont en général de très bon niveau et doivent viser à faire référence dans leur domaine - distribuer une synthèse / introduction du numéro mensuel par mail (format pdf par exemple) - réaliser des entretiens avec des personnalités variées - améliorer la mise en page : plus aérée avec des graphes / photos afin de rendre l'ensemble plus lisible - envisager une traduction en anglais de certains numéros spéciaux - envisager une "approche" commune des numéros spéciaux : un angle "scientifique" du thème traité, un angle "business", un angle "humain", un angle "historique" ...

Il faudrait avant tout une maquette plus moderne. Les sujets sont des sujets de fond, donc pas facile à lire, mais ce n'est pas pour cela qu'il faut faire "Paris Match"... En bref, il faut plus changer la forme que le fond. Je suis tout à fait d'accord sur l'idée d'en faire une revue plus ouverte, et de séparer la vie de l'école (qui m'intéresse) des articles de fond. Par ailleurs, il faudrait plus utiliser internet, l'e-amil, etc: je veind de plublier un article, j'aurais bien aimé avoir un exemplaire électronique.

Je ne vois pas l'intérêt en l'état. Je ne pense pas que la cible visé passera du temps à lire une revue voulue élitiste par des rédacteurs quelque peu nombrillistes. On retombe dans un travers typiquement polytechnicien : se croire le meilleur quoi qu'il arrive. Lancer une revue ou un magazine n'est pas une sinécure. Le contenu devrait davantage être ciblé sur des présentations ouvertement publicitaires de sociétés par des X. Les sociétés devraient être d'un même secteur correspondant à un thème chaque fois nouveau. L'approche publicitaire permettrait de facture les articles aux sociétés. Et la présence simultanée de plusieurs sociétés concurrents permet d'avoir une information globale pertinente. Cela pourrait permettre d'avoir une sorte de "conférence" sur papier. Il faudrait que les articles soient accessibles sur le web.

si nous voulons faire decouvrir l'X a l'etranger (ce qui me semble un but important de ce changement) il faudra qu'au moins une partie du contenu soit en Anglais. Peut-etre certains des articles de fond devraient-ils etre ecrits soit entierement en Anglais, soit dans les deux langues. Autre possibilite: avoir une version electronique de la revue en anglais, et garder la version papier en francais.

encourager les élèves à contribuer à cette revue, en leur proposant d'écrire des articles à thème comme pour X-Passion et reprendre une sélection d'articles parus dans la presse internationale et apportant un éclairage peu consensuel sur l'actualité Suivre par un site Internet d'e-learning assez pratique destiné à tous les scientifiques (se remettre à gout du jour en Informtique, découvrir les différents métiers, ...)









6. Suggestions relatives au format


D'accord pour la séparation d'un bulletin. La revue actuelle avait déjà fait beaucoup de progrès. Le ciblage ne me paraît pas encore clair: ferons-nous une revue économique, technique, manageriale, prospective, etc.? Dans quelles proportions? Rapports avec la politique et l'actualité? Irons-nous jusqu'à en faire une revue rendant compte des travaus d'une sorte de club ou think tank polytechnicien sur les grands problèmes de société? Auquel cas il faudrait organiser la réflexion et l'AX ne serait pas le meilleur vecteur, etc.


Je souhaite que La J et la R ne soit pas dissociée en deux revues


Eviter la dominante "publicite" et le melange de genres info - pub qui caracterise souvent la revue


A mon avis, il ne s'agit pas de SCINDER, mais de créer : sinon, la Jaune et la Rouge risque de n'être plus qu'une feuille de chou du style les anciens du 47° d'Infanterie. Alors il y a un risque énoorme de faire faillite : combien de revues se sont créées et ont arrêté leur parution après 6 mois ? Branchez vous avec Normale, les Mines, l'ENA...


une telle revue peut changer de cible ou de contenu sans changer de nom ; celà se voit fréquemment dans la presse spécialisée (ou non) .


Le Cout de la revue,dans son etat actuel, me semble trop élevé pour ce qu'elle m'apporte. Il ne faudrait pas que la publication d'une nouvelle revue de prestige plus un bulletin accroisse encore ce cout. si c'était le cas, je ne suis pas sur de continuer à m'abonner. La nouvelle revue de prestige devrait etre non seulement accessible par abonnement, mais aussi etre vendue au numéro pour ceux qui ne veulent pas s'y abonner. Autrement vous risquez de perdre des abonnés pour l'ensemble le la revue trimestrielle et pour le bulletin.


Pour une revue qui semble se situer à mi chemin entre "Nature" et un support de "lobying", la périodicité trimestrielle me parait excessive.


a) Faire un Magazine trimestriel UNIQUE ayant deux Sections bien distinctes ... Les "Informations Polytechniciennes" font partie du "contenu de Prestige" ...! b) SURTOUT ne PAS "cloner" , ni en contenu, ni en style, le Magazine d' HEC ... !!!


Abandonner la fréquence mensuelle pour le bulletin destiné aux X (6 bulletins devraient suffire) La partie de prestige doit avoir une édition en anglais


La périodicité trimestrielle est trop faible. La matière ne manque pas et le niveau général des articles actuels dépasse nettement celui des revues des autres écoles d'ingénieurs. Il faudrait se comparer aux revues des meilleures écoles de commerce ou de l'ENA Un autre bon exemple serait la Revue de Défense Nationale, même si les thèmes différent.


On peut faire une revue MENSUELLE de bonne qualité. Une revue trimestrielle est "trop rare"; les gens en oublient l'existence. Le problème de la revue actuelle est son comité de lecture. Lorsque j'ai fait récemment un numéro spécial "les mathématiques du réel", je me suis heurté à une véritable opposition. Les problèmes sont davantage liés aux hommes (nécessité d'un complet renouvellement) qu'aux structures.


L'idée de séparer la Jaune et la rouge en un "bulletin des anciens" réservé aux anciens élèves, et une revue technique de haut niveau donnant uneimage plus ouverte et en pointe est séduisante dans l'absolu. Elle ne peut se concrétiser que s'il y a un marché pour cette revue de prestige : à ma connaissance peu de ceux qui s'y sont essayés ont réussi leur pari, le taux des abonnements "de courtoisie" à servir aux responsables économiques, sociaux et politiques que l'on voudrait toucher étant disproportionné par rapport au lectorat "payant".


Ancien rédacteur en chef de plusieurs revues, je trouve maladroit la proximité d'un article avec la publicité de la boîte de son auteur: dans tout autre contexte, ceci établirait la NON indépendance rédaction / publicité. Ici, cela ne fait que la suggérer...mais n'est-ce pas déjà trop?


Séparer les nouvelles de la communauté de la revue est une bonne chose. Quand on vise le haut de gamme, très bien sur le principe, avec toutefois : - attention au coût, les X ne sont pas tous à des revenus si ékevés que ça - donner une image de sérieux et de rigueur, c'est bien si ça ne devient pas élitiste : l'insertion dans la société est un point important à manifester. Or l'Ecole (même si elle s'en défend) a tendance à induire chez les élèves l'idée que la société leur doit quelque chose à la sortie : carrière, revenu,... Cela peut être très dangereux, et ne correspond pas à la réalité. De ce point de vue, l'interview récente de P. Suard à la TV est ambigüe : tous les X ne sont pas destinés à devenir de grands managers. L'excellence technique peut se manifester autrement. En résumé, oui sans réserve à l'excellence, non si elle se traduit par une forme de supériorité d'autant plus insupportable qu'elle est non-dite.


Pour un rayonnement international, il vaudrait mieux changer de nom : être plus explicite, et inclure "polytechnique" dans le nom de la revue, de type "Harvard Business Review". Concernant la publicité : sans vouloir totalement l'exclure, il serait bon d'en limiter la place. Le dernier numéro de novembre sur le conseil en management est surchargé de publi-rédactionnel et d'annonces publicitaires. J'apprécie particulièrement ce numéro qui fait le point sur les nouvelles approches de management, mais il tourne depuis peu à la vache à lait de la revue.


La revue me semble devoir conserver ses côtés iconoclaste et rigoureux. Tel qu'affiché, je craint que le côté iconoclaste disparraisse. Quant au lectorat recherché, pourquoi les scientifiques ne sont-ils pas présents, la devise de l'Ecole aurait-elle changé sans qu'on me le dise ? Enfin, trimestriel me semble long. Vu la matière des articles de fond de la J et R, tous les 2 mois me semblerai plus satisfaisant


Cette revue doit etre disponible en kiosque Elle doit accepter la publicite haut de gamme Les X doivent avoir un abonnement preferentiel mais payant Une grande partie de la cible devra vraisemblablement etre servie gracieusement.


En tant qu'ancien de Wharton (MBA),je recois une revue de bonne tenue qui inclut des articles sur l'école ainsi que le "carnet" (professionnel et familial), sans que cela nuise au prestige de la revue. Je pense qu'une forme de carnet doit rester dans la revue "externe". D'une façon générale, je pense que l'on peut rehausser la qualité de la jaune et la rouge pour la rendre attrayante et intéressante pour d'autres que les X, sans pour autant dissocier une partie "vitrine" d'une partie "placard". Il suffirait de supprimer les rubriques qui relèvent de l'habitude ou du remplissage. Leur taux de lecture, au travers du sondage, devrait permettre de les identifier


Je suis d'accord avec le contenu de la revue mais avoir la revue et le buletin ensemble me plait !! Pourquoi vouloir les séparer ? Il y a d'autres moyens d'augmenter le rayonnement de l'X dans la société. N'y a-t-il pas un risque que la revue disparaisse à terme par problème de financement ? Dans ce cas le bulletin seul serait d'un intérêt bien mince.


- lectorat : ajouter la communauté scientififique (sciences dures, sciences humaines...), essentielle s'il s'agit bien d'une revue "think tank" - contenu : les "nouveaux sujets" ayant vocation à diversifier l'image ne doivent pas éclipser le "fond" scientifique de l'école. Faire une sorte de revue de sciences po serait une erreur. - formule : pourquoi ne pas continuer une "JETR" mensuelle avec un contenu plus diversifié, et une sélection trimestrielle d'articles, formant la plaquette "prestige" - ou bien une "JETR" avec des articles moins liés à l'actualité, complémentaires à la revue trimestrielle NB : bien que non-abonné, il m'arrive de lire la "JETR"


1. Pour le format et les thèmes, un bon exemple serait de s'inspirer de la revue "McKinsey Quarterly", trimestriel du cabinet de conseil destiné principalement aux dirigeants d'entreprises. Le format, la périodicité, la nature des articles et leur mode de traitement pourrait correspondre en partie aux objectifs visés par la nouvelle revue ciblée. (pour plus d'infos, site www.mckinsey.com 2. Dans un but de "reconnaissance internationale" de l'Ecole, il faudrait probablement envisager une partie de la revue en anglais (ou un "abstract" ?)


Reduire légèrement le nombre d'annonceurs


Il me paraît souhaitable d'éviter la publicité dans un tel périodique "de prestige", à moins _ si l'on ne peut s'en passer _ de la regrouper dans un cahier central par exemple.


Zéro info concernant les promos, pour bien montrer que, même si c'est une revue faite par des X, elle ne s'adresse pas qu'à des X.


- ne pas mettre une revue mono sujet comme c'est le cas actuellement car si c'est un sujet pour lequel on a peu d'interet, on peut mettre la revue directement a la poubelle. Aborder 3-5 sujets majeurs me parait plus interessant. - accorder un regard sur l'actualite - histoire de montrer que les X sont "ancres" dans leur temps: d'ailleurs, il peut etre defini au prealable que sur les 3-5 sujets traites, un est d'actualite, un a caractere scientifique (sur les recherches en cours, explications sur un Nobel), un a caratere industriel, etc.) - laisser une place a des temoignages d'anciens (mais pas trop anciens non plu) sur leur carriere et son evolution. - la revue ne doit pas etre que trimestrielle: c'est trop espace entre chaque numero.


les abonnements au bulletin des X et à la revue devraient être indépendants


J'apprécie la longueur et la fréquence de la Jaune et la Rouge actuelle, prévoir une revue trimestrielle me semble vouloir faire une revue de taille trop grosse et viser à focaliser sur seuls quelques sujets, trop peu souvent.



La couverture doit rester toujours la même. Couleur constante. Logo définitif. un peu comme l'annuaire. Seule la date change.


Je suppose que la raison de ce projet, est qu'il est difficule d'editer de facon mensuelle un "dossier" tel que la Jaune et la Rouge l'ont. Ca me parait une tres bonne idee de compenser la "perte de diffusion" cause par le passage a une diffusion trimestrielle, par une diffusion ouverte sur les non-X.



7. Suggestions relatives à l’organisation


1- Eviter le piège d'une revue purement centrée sur le domaine socio-économique. Donner une large place aux problèmes techniques et scientifiques, à impact potentiel majeur. 2- Nécessité d'un comité de lecture de haut niveau comprenant : - des X à facette technique et scientifique - des X à facette managériale et socio-économique - des personnalités non-X

Le projet est à considérer exclusivement sous l'angle "FONDATION X"

il faudrait faire quelques "numéros zéro" avant de médiatiser je n'ai pas répondu à la question 3 car le projet de contenu n'est pas annoncé

Partenariat avec les equipes (et les supports?) des Mines et des Ponts et ,de façon générale ,des autres ecoles d'applications de l'X

- tous les articles doivent être disponibles sur internet (y compris la récupération des 5 dernières années de LJR) - rechercher des accords avec des homonymes européens

Définir le contenu et le format de la nouvelle revue est l'affaire de professionnels. N'hésitons pas à faire appel à eux. Pas de bricolage ! D'où un problème de coût et de marketing pour viser à l'équilibre financier Michel PECHERE X 55

Pourquoi les Enseignants de l'Ecole ne seraient-ils pas membres de droit du Comité de Rédaction ?

Ne pas hésiter à confier la rédaction des articles à des professionnels. Jouer sur les interviews et les enquêtes. Eviter que les personnes appelées à nourrir la revue n'y soit incités à satisfaire leur vanité sociale ou littéraire.

pour repondre il faut voir le n0 Veut on concurrencer Hardward business rewiew Il me semble difficile de faire cela tout seul une association avec une grande universte americaine berkeley standford eviterait d etre franco francais un peu restreint aujourd hui

l'iconoclastie n'est pas une fin en soi; la faisabilité du projet devrait s'appuyer sur au moins dix numéros prévisionnels.

Une ouverture plus grande sur le monde, avec des articles traduits de magazines comme Atlantic Monthly, etc. Il faudrait une vraie équipe de journalistes, polytechniciens ou non.

Il me semble qu'il faudra de sacrés rédacteurs pour soutirer les infos de nos camarades qui ont des choses à dire (mais qui seront généralement trop occupés) puis les rédiger de manière attrayante... un bon investissement qui assurera, je pense, un meilleur succès.

Les objectifs assignés me parraissent plus cohérents avec une revue qui serait portée par l'école polytechnique que par son association d'anciens élèves.

Journal proposant des articles de référence => Comité de lecture. Voir La Recherche ou Pour la Science = articles de fond "approuvés" par le board éditorial + articles divers n'engageant que la responsabilité de leurs auteurs. Comité de lecture = problème intéressant. Election ? Représentation des minorités, si tu vois ce que je veux dire ... ?

Ouvrir à des auteurs non polytechniciens Banir tout esprit de chapelle Disposer d'un rewriting par un journaliste professionnel Avoir une section sur tout ce qui est nouvelles technologies qui aille au fond des choses techniquement et sociétalement

Les objectifs présentés dans l'annexe sont à mon avis louables. Ce qui me gêne souvent dans la Jaune et la Rouge acrtuellement, c'est : son style "vieux", surtout dans la forme et en particuleir dans la présentation des graphiques (voir dernier numéro sur le management par exemple) l'aspect un peu trop "polytechnicien" du style. Là je ne sais pas très bien comment faire, mais j'ai souvent l'impression que le style n'est pas toujours très convaincant car il est à la fois un peu pérelmptoire et pas toujours très convaincant. On n'a pas une impression très forte de légitimité et d'autorité. Il faudrait à mon sens faire relire et reformuler les articles par des professionnels de la rédaction. je ne sais pas si cela est fait actuellement.

Trois remarques seulement: - il me semble important de vérifier régulièrement l'impact de la revue sur le public visé. - le rôle du comité éditorial est fondamental, l'assistance d'un professionnel pourrait peut-être s'avérer bénéfique. - une partie internationale en anglais pourrait être intéressante.

Pour atteindre son objectif, il faut instituer un comité éditorial ayant pouvoir de décision sur la parution, et constitué d'experts reconnus des différents domaines traités, X et non X. Ce comité doit être international, avec des membres académiques et de l'entreprise. Il faut bannir les articles de camarades "amateurs éclairés" sur les sujets. Cette revue doit être le reflet de la recherche et de l'innovation dans les domaines de compétences de l'Ecole, sciences "exactes", sciences sociales, gestion... Cette revue doit être résolument ouverte sur l'international et l'europe. Pourquoi ne pas la publier en anglais ?? Elle doit être dans les domaines de compétences de l'Ecole et pour l'Europe ce que la Harvard Business Review est aux US.

- Prévoir une édition en anglais pour une diffusion à l'étranger - Prévoir un accès des articles sur le web - Y aura-t-il un comité de lecture qui approuvera la publication (et validera le respect du sens éditorial)?

1) On pourrait rattacher cela à une fondation, à créer, type fondation à l'américaine (ou fondation St-Simon..., ou fondations que veut aujourd'hui créer l'UMP), mais qui aurrait l'avanatge d'être indépendante politiquement. 2) Pour être lue par lectorat viser, il faut que les X puissent construire une image d'intellectuels, concurrencçant les énarques, et que nous n'avons pas à cejour. La revue est un bon intrsument, si elle est reliée à une fondation, à un lieu d'échange , qui peremtte de faire témoigner d'autre horizon professionnels. Par exemple les groupes X (j'ai l'expérience de X-Banques) pourraient être mis à contribution pour créer de véritbales groupes de réflexion sur des sujets de sociétés, destinés à influencer les décisions notamment politiques. 3) Sur la volet entreprises/managériale, il faudrait des cas concrets de réalisation, permettant de montrer des solutions originales, mais aussi... que les X sont à des postes clés.C'est à mon avis important en terme de promotion externe et également pour être écoutés des chefs d'entreprises ou grandes entreprises. 4) Volet international : au moins un sujet par revude devrait avoir été traité en "partenariat" avec soit une revue similaire de grande université européenne ou américaine, soit des responsables (politique, entreprises)implantés hors de France.

Si l'objectif (ambitieux), la clientèle cible et le contenu me semblent assez cohérents, je ne crois pas que l'X, seule, ait les moyens de cette ambition, en terme de "marketing" d'abord, mais également en terme de contenu. Un moyen de cette ambitieux projet serait peut-être un partenariat avec HEC ou l'ENA ou les deux, pour créer une HBR à la française ?

La cohérence du paragraphe en fin de questionnaire me paraît contestable. Comment en effet demander des artciles iconoclastes et courageux pour susciter un débat, s'ils ne peuvent s'appuyer que sur des arguments indiscutables ? Au contraire, ce sont des prises de position engagées, argumentées, mais contestables comme tout ce qui est engagé, qui pourront nourrir un "laboratoire d'idées" comme cette nouvelle revue semble avoir l'ambition de l'être. Par ailleurs, je ne suis pas au fait du fonctionnement actuel de "la jaune et la rouge", mais il me semble souhaitable que la revue en gestation se dote d'un comité éditorial d'une grande diversité (... enfin, parmi les X... : âge, activité professionnelle (ou extra-professionnelle), lieu de résidence) afin d'ouvrir au maximum le champ des thèmes traités et surtout des points de vue présentés. Il est souvent regrettable que les thèmes traités dans la jaune et la rouge ne soient qu'une succession d'articles techniques assez froids, conformistes, et obéissant parfois, on ose à peine le dire, à ce qu'on baptise parfois la "pensée unique". On peut aussi envisager que ce comité éditorial s'établisse en "comité de lecture", non pour censurer, mais pour maintenir un niveau de qualité conforme aux objectifs énoncés ici, et rejeter sans pitié des articles n'obéissant pas aux règles amibitieuses que vous souhaitez établir. Le comité éditorial devrait avoir pour mission principale de rechercher l'expression la plus large et la plus diverse, parmi la communauté polytechnicienne notamment.

Il serait bon d'avoir un comite editorial compose de personnalites exterieures et reconnues. Peut etre inviter pour chaque numero un redacteur en chef different ?

Une petite remarque : il faut alors penser à qui va écrire ces articles. Sans doute faudra-t-il monter une équipe de journalistes pour coordonner tous les efforts et éventuellement rédiger les articles non techniques. IMPORTANT : l'image de l'école va être très liée au contenu de cette revue. Il est important qu'elle contienne des opinions politiques variées, qu'elle ne tourne pas au débat "bas de gamme" (moi je dis que l'autre a tord. Moi aussi). Par ailleurs, tous les polytechniciens auront le droit de s'exprimer. Mais il ne faut pas que cette revue se transforme en vecteur de communication des plus bavards. Il faut une équipe d'arbitrage dont le rôle serait, non pas de censurer, mais d'équilibrer les points de vue. Et aussi de vérifier la qualité des articles.

Faire une revue ouverte, type Harvard Business Review, ou des Professeurs chercheurs de l'X, et d'autres pourraient publier. C'est ca ce qui fait qu'une univeriste est prestigieuse, pas ce qu'en diront les journalistes du Point. Globalement le lectorat cible connait l'X au moins indirectement par le biais d'un X. S'il est important d'ameliorer la cooperation au sein des X, il faut surtout passer a l'etape au dessus et faire de cette revue un objet de promotion internationale qui ferait connaitre la marque Ecole Polytechnique, et la reconnecterai avec la realite. Il ne faut pas faire de la vulgarisation pour faire de la vulgarisation, il faut faire de la vulgarisation de concepts qui ont un sens dans le mond ed'aujourd'hui et qui pourraient donner des articles etudies en cours de part le monde. C'est la ou doit aller l'AX. Une collaboration avec des professeurs de l'INSEAD, HEC, Supelec/Telecom pourraient faire de cette revue LA revue des managers/chercheurs en management et technologies. N'hesitez pas a me contacter pour continuer cette discussion par mail ou au telephone (650) 498 1861

plusieurs thèmes différents par numéro, plutot qu'un numéro monothème du type "le consulting" qui n'intéresse qu'une cible réduite. avoir des rubriques thèmatiques qui reviennent à chaque fois, par exemple: technologies, banques-assurance, société et développement durable et un sujet phare traité en dossier principal comment sera constitué le comité éditorial? faire participer les groupes de l'AX pour piloter certaines rubriques. Attention à la place de la pub, nécessaire, mais qui doit laisser une grande clarté au contenu


La revue actuelle est une excellente liaison entre les anciens, avec des articles de fond, par thème, trés intéressants, participant à une formation continue des anciens. Une revue de promotion de l'école destinée au monde extérieur est trés souhaitable, sous la forme présentée dans l'enquête. Elle devrait être assurée par l'administration de l'école en coopération avec l'AX, le collége Polytechnique, la Fondation Polytechnique, les responsables des études mais par l'AX seule.


Y aura-t-il un comite de lecture pour filtrer les articles ? L'objectif a l'air louable mais est encore flou. Il s'agit plus ou moins de faire une tribune "elististe" et/ou de faire du lobbying -- enfin c'est l'impression que j'ai en lisant le cours descriptif. Mais ca ne semble pas assume pleinement ou en tout cas, il faut lire entre les lignes.









8. Questions


J'ai beaucoup plus de questions que de suggestions. Le 2° et le 3° alinéa de l'exposé des motifs ne recouvrent pas la même population. Rien n'est dit du Comité de Rédaction. Ni du format (nombre d'articles par n°, longueur des textes) Les deux objectifs a) d'une très grande rigueur dans l'argumentation b) de coller à l'actualité sont-ils compatibles ? ....... cela se saurait Veut-on créer une tribune pour les savants qui travaillent dans les laboratoires associés? Les auteurs seront-ils des X (ligne 1 de l'annexe) ou pas seulement (plus loin dans l'annexe) En quelle langue cette prestigieuse revue scientifique sera t'elle éditée ? Pourquoi afficher aussi clairement que l'on ne vise qu'un lectorat français? (même si l'annexe concède que les sujets pourront être traités dans une perspective plus large) Quelqu'un a t'il une idée du budget ? de son financement ?Etc, etc, etc....

La description du contenu est très générale , il faudrait la préciser à partir d'une enquête qualitative auprès des lecteurs visés - que liraient-ils chaque trimestre qu'ils ne sachent déjà?

Pas reelement d'opinion sur le sujet, mais globalement assez sceptique. Personellement, je lis plus facilement une 'newsletter electronique' qu'une revue. (quelques unes sont excellentes) S'agit-il d'une entreprise commerciale ou quasi commerciale ? y-a-t il d'autres revues de haut niveau comme ce projet de part le monde ? Y a -t-il des precedents (success ou echecs) ? etc...

Il me semble que c'est un peu la même idée que celle de la coexistence à l'Ecole de la revue "X-Passion", très luxueuse et éclectique (qui doit se financer uniquement par de la pub), et de la lettre "X infos", entièrement dédiée à la vie à l'Ecole, que j 8217;ai découverte récemment un peu par hasard car j8217;ai un fils actuellement élève à l 8217;Ecole. Il est vrai que la plupart des articles de fond parus dans la JETR sont très bons, et qu8217;il est un peu dommage qu8217;ils ne bénéficient « que » à la communauté des X (encore que toutes les contributions ne doivent pas être originales). Toutefois je me demande si créer une revue "prestigieuse, haut de gamme", soulignant par là même un certain élitisme, est vraiment susceptible de montrer un rapprochement avec les "réalités humaines, sociales ou commerciales". Par ailleurs la diversité des sujets d8217;intérêt des X, à explorer dans seulement 4 numéros par an, ne va-t-elle pas amener à un produit insuffisamment ciblé pour susciter l 8217;intérêt récurrent de lecteurs autres que ceux formant la communauté des X ? Une étude de marché a-t-elle été réalisée ? Les articles de fond en question ne toucheraient-ils pas mieux leur public par une diffusion dans des canaux existants, avec un « label » X à définir ? Enfin je ne connais pas grand chose au domaine de la presse, mais je suppose que passer du statut de « simple » magazine interne à celui d8217;une revue vendue au grand public (en kiosque ? sur abonnement ?), change radicalement les choses en termes de responsabilité (de fait, les auteurs ne deviennent-ils pas en quelque sorte des porte-parole de la communauté vis-à-vis de l8217;extérieur) et de risque financier pour l8217;association (les invendus ?). Mais je fais confiance au groupe de travail pour aborder ces questions !

Je suis d'accord sur la cible générale résumée en annexe. Je suggère de bien analyser les revues de même nature publiées par les grandes universités scientifiques à l'étranger : formule, succès, degré d'autorité (MIT, Oxbridge, Allemagne, Japon,...).

Une revue pour éviter une image trop technicratique des X, pourquoi pas... mais l'essentiel est notre comportement, individuel et collectif, chaque jour. C'est avant tout parce que les responsables et les leaders d'opinion auront avec eux des X dynamiques, imaginatifs, fonceurs et opérationnels qu'ils s'en feront une bonne image. Dans ces conditions, la revue peut être un catalyseur, un aiguillon, pourquoi pas: ce sera une vitrine, il en faut sans doute une. Autres points: Comment, sur quels critères, seront choisis les rédacteurs ? Appels à contributions assez larges ou très ciblés ? À l'heure d'internet, pensez-vous accompagner le support papier par un site internet ? Pourquoi ne pas profiter de cet éventuel site pour donner un accès libre (tout public) à la revue ? Que diriez-vous d'un forum polytechnicien, où les X pourraient échanger leurs idées sur certains thèmes (ce forum ne serait ouvert qu'aux X, nous offrant un lieu de débat "entre nous" comme nous le faisions à Palaiseau). Un tel "forum" pourrait aussi se situer en amont de la revue, pour tester certaines idées et faire mûrir les débats, comme une "pouponnière" à contributions. Bref, il y aurait sans doute d'autres idées à creuser, parallèlement à cette revue de prestige. En tous cas, les initiatives méritent d'être encouragées, alors bonne chance à la vôtre !

Autres rubriques possibles: - l'activite recherche a l'X - portraits d'X actuels (et non seulement les disparus) Questions: - au vu du lectorat ciblé, qui empechera cette revue d'avoir une orientation economique ou politique tranchée? - l'objectif ciblé est torp franco-français - quelle place est accordée aux X etrangers, qui contribuent enormément au rayonnement à l'etranger - quel prix? quel financement?

Je suggère de regarder ce que fait le cabinet McKinsey &Co en la matière, qui publie le McKinsey Quarterly, avec la même cible que la revue qui est prévue

Le danger de cette revue est qu'elle devienne une sorte de voix officielle, un outil de propagande, au détriment de la liberté d'expression aujourd'hui présente dans les articles de la JETR : attention à la langue de bois qui pourrait pointer son nez ! Sans oublier le risque d'autocensure ! Par ailleurs, est-on si sûr ce faisant de donner une "bonne image" ? Et saura-t-on alimenter cette revue en "articles de qualité" ? Et qu'entend-on par cette dernière expression ? Il faudrait donner des exemples et des contre-exemples... Pour conclure, il est difficile de courir deux lièvres à la fois ; les clients de la JETR sont les X, ne l'oublions pas, et cette dernière doit avoir pour but de les informer et de stimuler leur réflexion.

Quel % du budget accorde t-on à cette revue trimestrielle ? La resituer par rapport aux priorités budgétaires de l'AX. Merci

Quelle articulation entre ce projet et la revue trimestrielle X-Passion, qui existe déjà chez les élèves et remplit à peu près les mêmes objectifs? JETR deviendrait-il un X-Passion Senior? Ou faut-il fusionner les deux?

il est très difficile de se prononcer sur cette proposition car elle est trop vague ! Je ne vois pas ce que peut être le contenu. Quelques exemples sont indispensables. L'objectif semble clair, mais trop vague : pris au mot, c'est de la publicité. Si ce n'est pas le cas, expliquez ce que vous voulez vraiment changer. La cible est trop étroite, trop proche des anciens élèves pour être crédible. Pourquoi spécifiquement les historiens ?? Et les économistes ?, les sociologues ?, les philosophes ??

Quel est le but, in fine ?

Des questions surtout : vous voulez faire une revue de prestige "très haut de gamme, bla bla bla, etc." Mais cela n'en dit pas beaucoup sur le contenu !! Mais de quoi donc parleront les X dans cette revue ? Des 35 heures, du Sida, de la dette du secteur des télécoms ?? La Jaune et la Rouge s'apparente à une discussion que deux camarades auraient eu à l'école au détour d'un couloir, et qui aurait été interrompue quelques années. La discussion qu'ont les techniciens entre eux est différente de "l'épatage de galerie" qu'il s'agirait de faire dans une revue plus "prestige"... Se pose immédiatement la question, d'ailleurs, de la coloration politique de cette publication à partir du moment où elle sort du domaine technique : risque d'être à droite, à gauche, ou pire (!!) de tomber dans le syndrome "papier glacé" de la neutralité gnangnan façon X-Passion ou Marie-Claire Décoration... Bref, l'équipe de rédaction devra donner la tonalité et à mon avis, cela requerra beaucoup plus de doigté que la Jaune et la Rouge. Bref, pour le moment je ne suis pas très convaincu puisque vous n'avez aucune idée du contenu éventuel de la revue, la seule chose qui compte visiblement étant qu'elle en jette aux politiques et aux journalistes... Mais après tout, pourquoi pas si c'est plus argumenté...

J'ai plutot des questions : Quel en sera le prix ? Quelle sera la maquette ? L'objectif est-il de la diffuser en kiosque ?






9. Doutes


Le projet d'éclatement de "la Jaune & la Rouge" en une revue trimestrielle à large diffusion et un bulletin de liaison est à bien des égards naïf et,même amélioré; présente plusieurs dangers-et pas seulement financier. Je ne réponds donc pas aux questions correspondantes,mais vais écrire au président de l'AX pour préciser celà et lui donner des informations qu'il ne semble pas avoir,notamment sur la charte de "La Jaune & la Rouge",le comité éditorial et le long travail de réflexion qui a conduit à cette charte ,ainsi qu'a la création de ce comité;. Qu'on se préoccupe,plutôt que d'utopie,de réunir les conditions d'une meilleure application de cette charte et,plus important encore,d'établir enfin un collaboration bien plus étroite -et pas seulement pour la revue-entre l'AX,l'Ecole,les anciens élèves (des différents âges) , les élèves et la Fondation de L'Ecole polytechnique. J'ajoute que je n'ai pas répondu à la première partie de la question I-5,car elle présuppose qu'il est important de donner-à qui?-une image de la communeauté polytechnicienne-et qu'entends-t-on par là?-.Or d'autres questions sont incomparablement plus importantes-et singulièrement celles de la seconde partie de la rubrique I-5.


...je n'ai pas coché le point 1 parce que je ne suis pas convaincu de la necessité de l'entreprise. La revue actuelle ne répond-elle pas un peu à l'objectif ? Celle qui est envisagée ne risque-t-elle pas d'etre moins lue que l'actuelle ?


.Je ne suis guère favorable à la création d'une (N+P)ème revue ayant les mêmes objectifs même si le lectorat et le contenu sont pertinents avec l'objectif affiché. De nombreuses assoc d'anciens élèves ont eu la même ambition et se sont "ramassées". Chacun son métier:le marché est encombré de revues traitant peu ou prou des mêmes sujets. Bon courage quand même, mais une règle absolue doit être fixée au départ: le projet doit s'autofinancer et ne doit pas utiliser les cotisations (ceci n'est pas valable pour le bulletin, bien sûr)


Une remarque: risque de renforcer une image de caste


Je ne pense pas qu'une telle revue soit attendue par les cibles envisagées : cela ne fera qu'une revue de prestige de plus, et il y en a déjà beaucoup (tous les organismes qui font du lobbying sérieux);elle sera donc archivée pieusement, sans être lue.


Rappellez vous qu'il existe des entreprises où les X sont très mal vus et où être un X est un handicap. Auprès de ce genre d'entreprises, une revue à la gloire de l'X confirmerait le caractère insupportable des X.


Il faudrait "durcir" le contenu si l'on souhaite intéresser des lecteurs n'ayant pas une sympathie a priori pour la revue. Il faut être rélaise: un chef d'entreprise ou un politique lambda ne lirait pas la Jaune et la rouge aujourd'hui. Les articles ne sont pas du tout à la hauteur de "une revue prestigieuse, haut de gamme, très ambitieuse intellectuellement". L'idée est bonne, mais trop ambitieuse. Comment l'AX se découvrirait la compétence pour devenir éditeur d'une véritable revue. C'est un métier! On est en droit de se poser la question de la vocation de l'AX par rapport à ce projet. Je suis personnellement contre le fait que les cotisations des anciens -dont la finalité est la caisse de secours, rappelons-le- soient investies dans une activité de diversification non-stratégique et pour laquelle l'AX n'a ni compétence ni légitimité. Je crains très fortement le fiasco financier. Ce serait impardonnable d'une association déclarée d'intérêt public, qui bénéficie du soutien fiscal de l'Etat et du soutien sympathique de la communauté polytechnicienne. Un échec desservirait d'ailleurs terriblement l'image de la famille polytechnicienne.


"Es-tu d'accord avec l'objectif de cette revue?" La réponse à cette question est-elle forcément binaire? J'ai répondu "non" car la majeure partie du descriptif de cet objectif me paraît trop vague, à la limite du discours publicitaire, pour avoir envie de répondre d'un "oui" franc et clair. Par ailleurs, le paragraphe de l'annexe sur le "ton", qui "devra" être ceci et cela, est quant à lui beaucoup plus précis et m'inquiète... Ceux de nos camarades qui seraient susceptibles d'être perçus comme "sérieux" ou "conformistes" par les non-X (et il y en aura) se verront-ils interdire d'office la possibilité de s'exprimer dans cette revue parce que leur discours ne saurait être compatible avec ses objectifs? Je n'ai aucune difficulté à comprendre l'intérêt de pouvoir corriger une image "convenue" éventuellement incorrecte des X, pourquoi pas par le biais d'une revue de prestige. Je ne peux pourtant pas pour autant m'empêcher de penser que certaines des lignes directrices qui apparaissent à la lecture de l'annexe relèvent d'une volonté claire d'imposer certaines contraintes artificielles (sur le style, l'actualité des sujets...). Contraintes dont il ne me semble pas totalement exclu de penser qu'elles risquent de transformer le préjugé actuel de certains sur les X en un nouveau préjugé, différent, peut-être plus positif, mais pas forcément plus proche de la réalité de ce que sont les X. Est-ce vraiment souhaitable?


*: & &
Je pense qu'une revue faite par les X devrait rester entre nous - inutile de donner l'impression d'une "mafia" qui voudrait influencer le monde décisionnel via une revue, elle n'aura rien de productif. La Jaune et la Rouge est une revue qui me plait en tant que telle, mais une plus large diffusion n'apportera aucune valeur ajoutée, les non-X ne la percevront qu'en tant que "revue des X". Accentuer notre "singularite" ne peut pas améliorer notre image de marque...



On peut imaginer et réaliser une telle revue. La question qui se pose, est celle de son lectorat réel. Qui va payer un abonnement, pour connaitre le point de vue des polytechniciens sur les grands problèmes de la société en France et dans le Monde ?

J'estime que l'argent des cotisants à l'AX serait bien mieux employé autrement qu'en créant une revue béni-oui-oui prestigieuse destinée à caresser dans le sens du poil les puissants du moment. Si la revue est financée par la publicité, ce ne sera peut-être pas l'argent des cotisants à l'AX qui sera dépensé, mais c'est la liberté d'expression de la revue qu'on pourra mettre en doute. Je ne suis pas convaincu par la description de la revue trimestrielle que vous donnez en annexe. Je pense qu'inévitablement, une telle revue sera (ou deviendra rapidement) conformiste, en accord avec les idées des dirigeants du moment, et évitera soigneusement toute question gênante. Il ne me semble pas possible de faire une revue qui soit à la fois "prestigieuse" dans sa présentation (papier glacé, belles photos, etc.), donc coûteuse, et qui en même temps ose aborder des thèmes gênants pour les puissants de ce monde. Il est dit en annexe: La revue n’est pas l’expression d’une "pensée unique polytechnicienne". Elle rassemble au contraire des points de vue courageux, originaux, éventuellement iconoclastes. La "langue de bois" est bannie. Je n'y crois guère, mais je ne demande qu'à être convaincu du contraire...

Il y a déjà beaucoup de revues spécialisées ou généralistes, je ne vois pas ce qu'ajouterait une revue X supplémentaire

A mon avis, il ne s'agit pas de SCINDER, mais de créer : sinon, la Jaune et la Rouge risque de n'être plus qu'une feuille de chou du style les anciens du 47° d'Infanterie. Alors il y a un risque énoorme de faire faillite : combien de revues se sont créées et ont arrêté leur parution après 6 mois ? Branchez vous avec Normale, les Mines, l'ENA...

Projet intéressant mais très ambitieux : avons-nous les moyens d' une telle ambition ?

Dans la masse des revues et documentations qui nous attirent tous les jours, pourquoi des gens liraient-il cette revue de "prestige" ? Mais la décision est visiblement prise …

Il est clair que sur cette base, je resilierai mon abonnement. La formule actuelle, qui si elle peut etre amelioree sur certaines rubriques (principalement les rubriques X)correspond grosso-modo a mes attentes. Le type de revue proposee, je l'achete au numero quand le sujet m'interesse, mais je ne m'abonnerai pas. Cela pose aussi la question de la mission de l'AX. J'ai adhere et renouvelle de facon constante mon adhesion en raison des valeurs de solidarites qui etaient pronees. Je vois bien a lire les C/R de CA depuis 2 ou 3 ans que l'association souhaite se réorienter en abandonnant dans les actes ces valeurs (supression des annonces d'emplois de la JETR sauf les recurrentes, abandon de Joigny) et en donnant dans le strass et les paillettes. C'est un choix, mais je ne le partage pas. quand au bulletin destine aux seuls X, il devient vide de contenu, si ce n'est anecdotique. C'est la principale critique que je fais a la JETR actuelle, la baisse de la qualite des rubriques ci-dessous, principalement vie de l'ecole, carnet. Quand aux groupes X, ils sont du niveau "chiens ecrases". En remettant à niveau ces rubriques, la formule actuelle serait de qualite.

Je ne suis pas sur de la pertinence d'une telle revue. J'ai peur qu'elle soit mal reçue et que son existence même soit perçue comme une manifestation élitiste des X (l'adjectif prestigieuse m'inquiète un peu...).

1. je ne vois pas l'intérêt cette revue. Il ne s'agira que de la N+1ème revue que les décideurs de tous bords mettront à la poubelle après 5 min de lecture comme toutes les autres. 2. Qui avons nous (nous les X)besoin d'éblouir? On se sent tellement malheureux et mal considérés que l'on a besoin de montrer nos muscles? 3. La qualité intellectuelle des articles n'est pas un objectif en soi. 4. Qui va écrire dans cette revue haut de gamme, et qui va payer pour cela. l'AX ferait mieux d'organiser des conférences d'anciens X, avec des intervenants prestigieux et buffet à la sortie. Cela serait plus efficace. 4. Un bulletin inter X de news serait le bienvenu. istribution par mail pour réduire les coûts. Que se passe-t-il à l'école, des articles ciblés d'X volontaires sur des sujets variés... Excusez ma franchise, mais c'est ma position!

1) Le lectorat visé ne lira jamais cette revue, faute de temps 2) Il sera difficile pour la presse de reprendre les thèmes abordés par cette revue, dont on ne saura jamais le point de vue de qui elle représente 3) Quelle référence avons nous? la revue de l'INSEAD? Mc Kinsey? des revues d'anciens d'universités américaines?

Je ne suis pas sur que ce genre de revue interesse les non-X (sans etre moi mem sur de ce point...)

1.le projet me semble encore bien flou. Attention à ne pas se payer de mots ! Concernant l'objectif, il me parait un peu nombriliste : améliorer l'image des X en diffusant une revue ... je préfererais un projet tourné vers l'extérieur : "faire benéficier les autres des ressources des X" ! Le lectorat pourrait être élargi au milieu scientifique, avec lequel nous avons des affinités naturelles (CNRS, universitaires) le contenu reste intégralement à définir ! quels moyens se donne-t-on ? quelles contraintes ? je suppose que loin de limiter les contributions à celles des X, on cherchera plutôt à ouvrir le champ ?

Je ne voudrais pas paraître trop négatif en répondant par la négative à la question 1 ci-dessus. C'est ma réaction instinctive. "Modifier l'image des X dans la société" est-ce vraiment nécessaire? Si oui, dans quel sens? Personnellement, je pense que s'il y a des préjugés à démonter, ce sont d'abord ceux qui présentent les X soit comme des êtres "exceptionnels", presque "surhumains" soit comme des personnages imbus de leur personne, inhumains, déconnectés de la réalité, ... quoi qu'il en soit inaccessibles. Est-ce vraiment avec une revue "haut de gamme" sur papier glacé que l'on peut parvenir à briser ce type d'images d'Epinal? Existe-t-il en France ou à l'étranger des exemples de revues éditées par des assciations d'anciens élèves de grandes écoles ou d'institutions universitaires comparables, et diffusées auprès du lectorat visé par le projet actuellement à l'étude? Si oui, quel écho ces revues ont-elles? Cordialement, Frank Laporte, X-1987

Je ne crois pas que ce projet soit susceptible d'intéresser un public non-polytechnicien. Il existe déjà bien des revues orientées vers le débat d'idées, auxquelles les polytechniciens sont libres de participer ; que revendiquer / proposer de plus ?

Des revues intellectuelles elitistes existent deja en nombre suffisant en France. Pourquoi en rajouter une de plus ? Le rayonnement des X se diffusera mieux par l'action des anciens eleves que par des articles savants dans une revue intellectuelle donc fermee a la majorite des Francais. La communaute des X ne se rassemble pas uniquement sur un carnet mondain, mais egalement sur des valeurs de rigueur, d'excellence, d'eigence et d'ouverture intellectuelle. Je ne trouve pas bonne l'idee de separer l'intellectuel (articles de fond) et le temporel (vie de la communaute)








  1. Statu quo


La formule actuelle me parait très bonne. Le contenu de la J. et la R. s'est grandement amélioré depuis plusieurs années,et a pris de l'épaisseur. Un bulletin mensuel est indispensable pour l'information sur les groupes X (ex. GPX, dont je m'occupe). Une revue trimestrielle me semble un objectif fallacieux. Elle serait peu lue, et ne servirait qu'à décorer les salles d'attente des sociétés.

La forme actuelle est bien au point et je ne vois aucun besoin d' en changer. Nous avons à la fois des informations polytechniciennes et des sujets d'intérêt général bien traités par des membres de notre communauté. Quel intérêt de courir après un autre lectorat ? Inutile de créer une revue dite de prestige , il y en a déjà tant !!L'AX n'est pas une maison d'édition !

En anglais on dit "If it ain't broke, don't fix it!" Si ce n'est pas cassé, surtout ne le réparez pas! Ne touchez pas à la Jaune et la Rouge qui remplit parfaitement son role dans sa forme actuelle. L'idée d'une revue trimestrielle est franchement mauvaise: Cette fréquence ne permettra pas d'aborder la variété de thèmes qu'on a actuellement ave la parution mensuelle. Jean Ichbiah X 60

je suis très content de la situation actuelle!!

ne rien changer

ras le bol du haut de gamme. La formule de numéros thématiques de la J et la R me convient très bien;je lis tout (les math et l'entreprise, le bois) ou rien (le management). Je ne vois pas quel suivi on peut avoir pour fidéliser les lecteurs "haut de gamme" n'ayant pas d'attache avec l'Ecole que vous ambitionnez de séduire.

Je trouve que la Jaune et la Rouge dans son état actuel donne déjà une très bonne idée de l'éclectisme et des contributions de la communauté polytechnicienne. J'apprécie en général beaucoup les articles de fond, et je ne suis pas sûr qu'en cherchant à accentuer le côté "publicitaire", on ne passe pas finalement à côté de l'objectif.

ne pas lâcher un existant pour un futur insuffisamment évalué

NE JUSTIFIE PAS POUR MOI UNE AUGMENTATION DE LA COTISATION . SURCOUT A FINANCER D'UNE AUTRE MANIERE, NI UNE DIMINUTION DE LA FREQUENCE DE LA JAUNE ET LA ROUGE. JE SOUHAITE GARDER LA JAUNE ET ROUGE TELLE QUELLE A PERIODICITE MENSUELLES

La commercialisation ne sera pas aisée. Qui va payer pour les exemplaires diffusés gratuitement? Je pense que l'on devrait commencer par rendre le contenu des articles de fond moins rébarbatif au seul bénéfice de la communauté polytechnicienne avant d'aller monter cette affaire.

Les numéros thématiques déjà existants, lorsqu'ils traitent de sujets de société, technico-économiques, sociaux, environnementaux, sectoriels, etc... écrits par des spécialistes du secteur, issus très souvent de la communauté des anciens, mais pas seulement, me semblent être d'une très bonne tenue, et dignes d'être diffusés très largement. Exemples récents: climatologie, ville et environnement, démographie, médecine et santé. Il faudrait pour cela les débarasser des nouvelles purement "polytechniciennes" internes, et réduire le nombre de parutions à 4 à 6 par an (il semble que nous ayons du mal à alimenter plus que ce nombre-là de sujets intéressants). Mais en dehors de cela, j'en ai été très satisfait, et ai conservé des numéros entiers, qui sont pour moi des références sur des sujets rarement traités dans des titres de presse autres. Le côté "prestige" et luxe me semble très inapproprié: l'objet est de contribuer à la réflexion sur la société, à partir d'informations de qualité, d'ordre technique et scientifique (ce qu'on ne trouve pratiquement nulle part ailleurs, et manque au débat public). Le souci de créer / imposer une image artificielle, de communication, avec un objectif implicite de revendication de pouvoir / influence du "technicien terne" face au "brillant énarque" m'est également étranger. Ces numéros thématiques déjà écrits, avec sérieux et l'esprit de service à la communauté, apportant des propositions concrètes, souvent originales et toujours solidement argumentées, transmettent une image dans laquelle je me reconnais. Elle est forte, unique, contribue au débat dans des proportions importantes, surtout à un moment où les questions de société sont aussi des questions techniques et scientifiques (environnement, industrie, économie, démographie, médecine et biologie...). Élargir le cercle des questions traitées: pourquoi pas? Surtout si nous avons de la ressource interne ou externe mobilisable pour écrire des réflexions de qualité, qui enrichissent effectivement le débat public. Se faire plaisir, (se) démontrer qu'on est beaux, intelligents, et qu'on a autant le droit que les énarques de revendiquer le pouvoir, n'a aucun intérêt à mes yeux.

Je trouve l'actuel Jaune et Rouge très bien fait et j'aimerais le voir continuer a vivre tel qu'il est.






  1. Divers


lui garder son intérêt actuel.

le questionnaire comporte de larges parties illisibles : l rsquo; OElig; hellip; la lecture est donc pénible. Je n'ai pas de réponse claire à toutes les questions, il est difficile d'intéresser des personnes surchargées.

J'ai répondu comme j'ai pu:nombreux défauts de transmissions (du style l%qpr).!

Pour la France, soit on s'efforce de lancer quelque chose de nouveau et l'on sait le prix et le temps, soit on s'appuie sur ce qui est positivement connu, ce qui doit se réduire à Polytechnique ou Polytechniciens ...

Je n'ai pas répondu, car j'ai eu un problème lié au codage des caractères du texte proposé.Cela m'arrive souvent avec les caractères spéciaux, qui deviennent des et je me débrouille. mais quand j'ai "L rsquo;image" ou "L rsquo;Entrepris" etc JE CAPITULE. Avec mes regrets

Je ne comprends pas ce qu'on y lira! J'ai compris ce qu'on espere faire passer, mais il y a d'autres parametres a expliquer: sera-ce du style de la savate, ou des numeros speciaux de la JETR, ou de la Recherche? Quant au titre il devra dependre de ce qu'on veut mettre en avant!

SURTOUT PAS PAYANTE (pour les X) A livrer en complément du bulletin de liaison mensuel

Il faut absolument garder le mot "Polytechnique" dans le titre !

Ma position est mitigée pour le maintien ou le changement proposé. L'argument pour le maintien est mon intérêt égoïste de recevoir ce document classique chaque mois L'argument pour le changement est de ne pas encombrer un document de plus lerge diffusion avec de petites choses...

Cahiers polytechniciens- Ordre et progres ...

il faut que le nom de Polytechnique soit dans le titre de la revue.

Je pense que ce genre de revue n'a aucun sens ...sauf aux yeux des retraités, comme ceux qui la promeuvent aujourd'hui..il faut bien s'occuper et rêver de sa jeunesse passée. La notoriété d'une école tient à la qualité de ses diplômés, à la reconnaissance de ses laboratoires dans le monde entier et non dans le microcosme parisien. Force est de constater que l'Ecole Polytechnique est plutôt mal connue à l'étranger où, à la différence de la France, on n'accorde pas autant d'importance aux diplômes, surtout plus de dix ans après leur obtention. Alors continuez à vous occuper avec ce projet, mais acceptez au moins que quelqu'un comme moi puisse vous avoir dit tout le mal qu'il en pensait ...

qui s’y colle? le papier a l’avantage de mieux fonctionner que les systèmes électroniques quand ces derniers sont mal employés

Que les textes de ce message soient compatibles avec mon système : Mon irritation, perceptible il me semble, vient de ce que pour une bande de joyeux techniciens, qu'ils soient polis ou non, vous êtes incapables de m'envoyer autre chose que rsquo; à la place d'une simple apostrophe !!!!

cf § précédent + suggestions (les grands mouvements) sur la revue interne qui pourraient être reprises dans une revue à plus forte diffusion. L'annexe en fin de questionnaire me laisse toutefois un peu perplexe par rapport à ce qui est annoncé plus haut (III Le projet, la revue trimestrielle, deuxième item) le risque pouvant être de se retrouver dans le premier item de ce même §.

cible non pertinente si restreinte a la france difficulte de l'exercice( cf les demarches de michel berry pour transformer les annales des mines ou creer l'ecole de paris....) utiliser les memoires de fin d'etudes des eleves ou leurs trav de these ( ne pas payer la pantoufle si article paru ds la revue???) comite de lecture a definir

Je suis perplexe sur la diffusion et la lecture reelle. Cela me semble tres (trop?) "X", donc susceptible de n'interesser qu'un lectorat tres restreint. Je ne suis pas sur de l'interet, de l'impact et de la rentabilite... Je viens de lire les precisions en fin de page. Elles sont utiles. Comment interesser une cible assez large?

Garder le titre actuel, qui est connu et reconnu.

il faut donner un autre nom que la Jaune et la Rouge, nom compréhensible que par les initiés et trop "convenu"

THOT: C'est un dieu sage, savant, l'assistant et le secrétaire-archiviste des dieux. Il préside à la mesure du temps : le disque sur la tête est la lune, dont les phases rythment les jours et les nuits. C'est Thot qui escorte le mort dans le tribunal d'Osiris, et note le résultat de la pesée du coeur. Inspirateur de toute science, il a enseigné aux hommes les hiéroglyphes, ce qui fait de lui le patron des scribes. Maître des paroles divines, c'est un puissant magicien. Il est représenté comme un ibis, ou un homme à tête d'ibis, ou encore comme un babouin.


Ce changement est une excellente idée ! Je n'ai pas d'idée pour le titre mais il me semble qu'il faut trouver un titre ne faisant pas autant référence à des traditions internes que "la Jaune et la Rouge"

Ok, tant que une diffusion ou cible plus large n'incite pas à la langue de bois dans les articles. Peut être un très bon point pour la communauté si les articles sont reconnus pour leur qualité. A tenter.

Dans la mesure ou la frequence de publication est moindre, il convient de réduire les frais d'abonnement à la JETR.

Il est souhaitable que la refernce a l'ecole soit indiquee dans le titre par contre ne pas mettre X, cela contribuerait a une non comprehension par le public.

Je ne crois pas que le carnet polytechnicien puisse intéresser des élus ou des syndicats ! Il serait néanmoins dommage de se priver de cet outil de communication interne (la revue en elle-même bien sûr et pas exclusivement le carnet..) Attention à ne pas édulcorer la spécificité de l'école en voulant cibler trop large !

Pour une fois que l'on demande son avis à la communauté polytechnicienne plutôt que de confier plusieurs millions à un cabinet de conseil pour refaire en moins bien ce qui est déjà fait par les élèves... (polytechnique.org, X-Passion,etc.)

Si la cible n'est plus les X seulement, il faut que le titre de la revue fasse référence à Polytechnique (ou à X).

ne pas inclure la lettre x dans le titre

Pourquoi un autre titre pour ce qui constitue le pôle de rayonnement à l'extérieur, que le titre de la revue dans son format actuel. C'est plutôt au bulletin de prendre un autre nom ("Le Bulletin de la Jaune et la Rouge, par ex)

autres titres : le Polytechnicien de demain Expérience ou Xpérience AnaliX parole aux X

la question 3 est inappropriée : on ne parle nulle part du contenu de cette revue, à part quelques banalités qui volent très haut. heureusement qu'il y a l'annexe pour donner quelques précisions quand même.

Je trouve dommage que la revue de l'AX soit au sein meme de l'école très mal distribuée. Je ne l'ai en effet eu entre les mains qu'une seule fois

pourquoi pas

Il faut que l'on n'ait aucune ambiguité sur le fait que cette revue, même si elle contient des articles écrits par des non-X, a pour origine les anciens X

Non, mais une question : le courrier des lecteurs et le Forum social : un canular? ou existent-ils de temps en temps?

Et c'est parti pour l'élitisme échevelé. Au passage je ne crois pas que les lecteurs comprendront que l'X forme encore aux métiers de l'ingénieur. A force de vouloir singer les écoles de gestion et ne parler que de gestion, vous allez scier la brache sur laquelle l'X repose. Je ne suis pas sûr que cette revue démontrera la spécificité du Polytechnicien. Regardez le Corps des Mines qui, à force de se gargariser de gestion, sera un corps en extinction d'ici quelques années !! Parce qu'il ne rend plus aucun service à l'Etat en tant que corps administratif.

je n'ai pu répondre à certaines questions qui apparaissent avec des lettres bizarres développer les exposés moins complexes; c'est trop une revue obscure de spécialistes

Je ne pense pas nécessaire de changer le titre, la revue a déjà une certaine notoriété sous ce nom.